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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour :
31.01.2016
113496 articles
Création ! figure en deuil ! Isis austère !
Peut-être l’homme est-il son trouble et son mystère ?
Peut-être qu’elle nous craint tous,
Et qu’à l’heure où, ployés sous notre loi mortelle,
Hagards et stupéfaits, nous tremblons devant elle,
Elle frissonne devant nous !
Ne riez point. Souffrez gravement. Soyons dignes,
Corbeaux, hiboux, vautours, de redevenir cygnes !
Courbons-nous sous l’obscure loi.
Ne jetons pas le doute aux flots comme une sonde.
Marchons sans savoir où, parlons sans qu’on réponde,
Et pleurons sans savoir pourquoi.
Homme, n’exige pas qu’on rompe le silence ;
Dis-toi : Je suis puni. Baisse la tête et pense.
C’est assez de ce que tu vois.
Une parole peut sortir du puits farouche ;
Ne la demande pas. Si l’abîme est la bouche,
Ô Dieu, qu’est-ce donc que la voix ?
Ne nous irritons pas. Il n’est pas bon de faire,
Vers la clarté qui luit au centre de la sphère,
A travers les cieux transparents,
Voler l’affront, les cris, le rire et la satire,
Et que le chandelier à sept branches attire
Tous ces noirs phalènes errants.
Nais, grandis, rêve, souffre, aime, vis, vieillis, tombe.
L’explication sainte et calme est dans la tombe.
Ô vivants, ne blasphémons point.
Qu’importe à l’Incréé, qui, soulevant ses voiles,
Nous offre le grand ciel, les mondes, les étoiles,
Qu’une ombre lui montre le poing ?
Nous figurons-nous donc qu’à l’heure où tout le prie,
Pendant qu’il crée et vit, pendant qu’il approprie
A chaque astre une humanité,
Nous pouvons de nos cris troubler sa plénitude,
Cracher notre néant jusqu’en sa solitude,
Et lui gâter l’éternité ?
Être ! quand dans l’éther tu dessinas les formes,
Partout où tu traças les orbites énormes
Des univers qui n’étaient pas,
Des soleils ont jailli, fleurs de flamme, et sans nombre,
Des trous qu’au firmament, en s’y posant dans l’ombre,
Fit la pointe de ton compas !
Qui sommes-nous ? La nuit, la mort, l’oubli, personne.
Il est. Cette splendeur suffit pour qu’on frissonne.
C’est lui l’amour, c’est lui le feu.
Quand les fleurs en avril éclatent pêle-mêle,
C’est lui. C’est lui qui gonfle, ainsi qu’une mamelle,
La rondeur de l’océan bleu.
Le penseur cherche l’homme et trouve de la cendre.
Il trouve l’orgueil froid, le mal, l’amour à vendre,
L’erreur, le sac d’or effronté,
La haine et son couteau, l’envie et son suaire,
En mettant au hasard la main dans l’ossuaire
Que nous nommons humanité.
Parce que nous souffrons, noirs et sans rien connaître,
Stupide, l’homme dit : — Je ne veux pas de l’Être !
Je souffre ; donc, l’Être n’est pas ! —
Tu n’admires que toi, vil passant, dans ce monde !
Tu prends pour de l’argent, ô ver, ta bave immonde
Marquant la place où tu rampas !
Notre nuit veut rayer ce jour qui nous éclaire ;
Nous crispons sur ce nom nos doigts pleins de colère ;
Rage d’enfant qui coûte cher !
Et nous nous figurons, race imbécile et dure,
Que nous avons un peu de Dieu dans notre ordure
Entre notre ongle et notre chair !
Nier l’Être ! à quoi bon ? L’ironie âpre et noire
Peut-elle se pencher sur le gouffre et le boire,
Comme elle boit son propre fiel ?
Quand notre orgueil le tait, notre douleur le nomme.
Le sarcasme peut-il, en crevant l’œil à l’homme,
Crever les étoiles au ciel ?
Ah ! quand nous le frappons, c’est pour nous qu’est la plaie.
Pensons, croyons. Voit-on l’océan qui bégaie,
Mordre avec rage son bâillon ?
Adorons-le dans l’astre, et la fleur, et la femme.
Ô vivants, la pensée est la pourpre de l’âme ;
Le blasphème en est le haillon.
Ne raillons pas. Nos cœurs sont les pavés du temple.
Il nous regarde, lui que l’infini contemple.
Insensé qui nie et qui mord !
Dans un rire imprudent, ne faisons pas, fils d’Ève,
Apparaître nos dents devant son œil qui rêve,
Comme elle seront dans la mort.
La femme nue ayant les hanches découvertes,
Chair qui tente l’esprit, rit sous les feuilles vertes ;
N’allons pas rire à son côté.
Ne chantons pas : — Jouir est tout. Le ciel est vide. —
La nuit a peur, vous dis-je ! elle devient livide
En contemplant l’immensité.
Ô douleur ! clef des cieux, l’ironie est fumée.
L’expiation rouvre une porte fermée ;
Les souffrances sont des faveurs.
Regardons, au-dessus des multitudes folles,
Monter vers les gibets et vers les auréoles
Les grands sacrifiés rêveurs.
Monter, c’est s’immoler. Toute cime est sévère.
L’Olympe lentement se transforme en Calvaire ;
Partout le martyre est écrit ;
Une immense croix gît dans notre nuit profonde ;
Et nous voyons saigner aux quatre coins du monde
Les quatre clous de Jésus-Christ.
Ah ! vivants, vous doutez ! ah ! vous riez, squelettes !
Lorsque l’aube apparaît, ceinte de bandelettes
D’or, d’émeraude et de carmin,
Vous huez, vous prenez, larves que le jour dore,
Pour la jeter au front céleste de l’aurore,
De la cendre dans votre main.
Vous criez : — Tout est mal. L’aigle vaut le reptile ;
Tout ce que nous voyons n’est qu’une ombre inutile.
La vie au néant nous vomit.
Rien avant, rien après. Le sage doute et raille. —
Et, pendant ce temps-là, le brin d’herbe tressaille,
L’aube pleure, et le vent gémit.
Chaque fois qu’ici-bas l’homme, en proie aux désastres,
Rit, blasphème, et secoue, en regardant les astres,
Le sarcasme, ce vil lambeau,
Les morts se dressent froids au fond du caveau sombre,
Et de leur doigt de spectre écrivent — DIEU — dans l’ombre,
Sous la pierre de leur tombeau.
Andrea Pirlo a été le véritable chef d'orchestre de la Squadra Azzurra, qualifiée dimanche soir pour les demi-finales de l'Euro. Le meneur de jeu italien, inspiré et précis, a parachevé son récital d'une splendide Panenka lors de la séance de tirs au but fatale à l'Angleterre. Le talent du joueur de la Juventus, à 33 ans, a rejailli sur tous ses partenaires.
Andrea PIRLO: 8
Il a su éclairer le jeu italien grâce à la précision de ses passes. Sa clairvoyance mise au service du collectif a donné du relief au jeu offensif des Italiens et il est pour beaucoup dans la domination territoraile de son équipe pendant la quasi totalité de la rencontre. S'il a été un peu moins percutant sur la fin de match, l'un des vétérans de la Squadra a quasiment toujours joué juste et dans le bon tempo avec un déchet minimum dans son jeu et des passes qui auraient été décisives si les attaquants avaient fait preuve de plus de réalisme. Une prestation d'artiste, saluée par un modèle de Panenka sur son tir au but. Somptueux.
Gianluigi BUFFON: 7
Mis à contribution très vite, le fidèle portier de la Juve a sorti un arrêt réflexe de grande classe en repoussant le ballon d'une main suite à une frappe à bout portant de Johnson (5e). Il a ensuite passé une soirée plus tranquille que son vis-à-vis, mais s'est montré vigilant quand il le fallait, comme sur ce coup franc fuyant de Gerrard qui cherchait la tête d'un de ses partenaires (76e). Décisif dans la séance de tir au but en repoussant la tentative de Cole.
Ignazio ABATE: 6.5
Sa vitesse a souvent perturbé la défense anglaise lors de ses incessantes montées, à l'image de cette accélération et de ce bon centre qui n'a pas trouvé preneur (47e). Sérieux défensivement, le défenseur milanais a été remplacé par Christian MAGGIO (89e) juste avant la fin du temps réglementaire. Son suppléant, sobre, a rarement été mis en difficulté par les attaquants anglais.
Andrea BARZAGLI: 6
Il a rassuré son équipe grâce à des interventions propres et a très bien éteint les velléités de Rooney. Des relances précises qui ont permis aux Italiens de vite repartir de l'avant. Averti, un peu sévèrement, pour un tacle sur le ballon avant de toucher le tibia de Cole (82e)
Leonardo BONUCCI: 6
Comme son compère de la défense centrale, sa prestation ne souffre d'aucun raté. Présent dans les duels, à l'image de cette belle intervention sur un centre en retrait (12e), il a découragé les attaquants anglais au fil des minutes.
Federico BALZARETTI: 6
Moins prompt à se projeter vers l'avant qu'Abate, le joueur de Palerme s'est d'abord contenté de ses tâches défensives avant de sortir davantage de sa zone au fur et à mesure que le match avançait. Il a créé le danger sur un bon centre que Diamanti n'a pas concrétisé (112e). S'est dépensé sans compter.
Claudio MARCHISIO: 6
Sobre mais efficace, le joueur de la Juve a réussi un match plein, tant à la récupération qu'à la distribution. Moins en vue que certains de ses compères du milieu de terrain, il a pourtant contribué à la mainmise des Transalpins sur la possession du ballon.
Riccardo MONTOLIVO: 6.5
Quelques gestes techniques de grande classe, comme cette passe dosée au millimètre pour Balotelli (31e). Il aurait pu marquer s'il avait réglé la mire sur une reprise de près suite à une triple occasion de la Squadra Azzurra (52e). S'est quelque peu éteint au fil du match mais une grosse performance pour le meneur de jeu de la Viola, juste ternie par un tir au but à côté. Un raté sans conséquences...
Daniele DE ROSSI: 6.5
Le milieu de terrain de la Roma a beaucoup pesé sur les débats. Une frappe vrillée de l'extérieur du gauche des 30 mètres aurait pu changer la donne du match dès l'entame si le ballon n'était pas retombé sur le poteau anglais (3e). Très prompt à tenter sa chance de loin, il a adressé une belle reprise du gauche de près qui n'a pas trouvé le cadre alors que la défense anglaise l'avait oublié sur une remontée rapide (48e). Une autre grosse frappe repoussée par Hart (52e). Remplacé par Antonio NOCERINO (80e) qui aurait pu mettre tout le monde d'accord avant la prolongation si sa frappe, enchainée après un contrôle dans la course, n'avait pas été repoussée par un tacle de Johnson (88e). Il a cru, en toute fin de match, avoir fait la décision mais sa reprise de la tête dans les filets de Hart avait été effectuée dans une position de hors-jeu (114e). Il a marqué son tir au but.
Mario BALOTELLI: 6
Le controversé attaquant de City s'est procuré beaucoup d'occasions mais a manqué de réussite. Il a raté un un-contre-un face à Hart, son coéquipier à Manchester (25e). Ses tentatives, souvent pas assez précises ou trop molles, ont soit fait briller le gardien anglais soit manqué le cadre (31e, 43e, 52e). Une tentative spectaculaire en ciseau retourné non cadrée (59e). Alerte pendant les 120 minutes, "Super Mario" a peut-être trop voulu en faire au fil des minutes. Mais il n'a pas craqué face à Hart, qui l'a pourtant longuement défié avec le sourire aux lèvres, au moment de lancer la séance de tirs au but.
Antonio CASSANO: 5.5
Le virevoltant attaquant de la Squadra a livré une prestation moyenne. S'il a su se montrer dangereux, à l'image de son tir détourné par Hart (37e) après deux premières tentatives moins précises ou sur une parfaite remise en retrait de la tête pour Balotelli (41e), il a aussi parfois péché par excès de gourmandise. Remplacé par Alessandro DIAMANTI (78e) qui s'est mis de suite en évidence sur une frappe du gauche captée par Hart (80e). La précision de son pied gauche a encore prévalu sur un centre-tir enroulé venu mourir sur la base du poteau (101e). Il a en revanche manqué de précision suite à un bon centre de Balzaretti (112e) juste avant d'adresser une offrande pour Nocerino qui a marqué de la tête mais dans une position illégale (114e). Auteur du penalty de la qualification.