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bonne fête nico
Par Anonyme, le 05.12.2024
youpi! bientôt noël!
Par Anonyme, le 27.11.2024
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Par Anonyme, le 30.08.2024
le taux de tristesse est en hausse chez moi depuis quelques et mon moral est de plus en plus bas. souhaitons l
Par Anonyme, le 11.08.2024
sublime
Par Anonyme, le 22.07.2024
Date de création : 12.01.2009
Dernière mise à jour :
23.01.2013
36505 articles
Le 25 décembre... Ce jour là, ce fut certainement le plus beau jour de ma vie!
Tu es venu, tôt le matin, nous voir moi et mes frères. Nous étions tous dans le panier familial avec maman pas loin pour surveiller tes faits et gestes. Tu as dis à mon papa "ils sont vraiment tous trop mignons!". A ce ton de voix, j'ai tout de suite su que je voulais venir avec toi! Je me suis approché, ma petite bouille toute timide, ma queue qui battait l'air, pour venir lécher tes mains. Je ne sais pas ce qui t'a plu, mais tu as craqué et tu m'as emporté. Dans la voiture j'étais si content... j'allais enfin vivre dans une vraie maison, devenir un grand chien, je serai ton fidèle compagnon! Et puis nous sommes arrivés. Devant moi se dressait un magnifique jardin avec plein de belles fleurs, des lumières ornaient les murs de ton foyer. Je ne savais pas pourquoi, mais j'allais bientôt le découvrir! Tu m'as mis un nœud rouge autour du cou, un chapeau rouge et un joli manteau tout aussi rouge, puis tu m'as emmené. Une petite fille est arrivée en courant et tu as crié "JOYEUX NOËL MA CHÉRIE!". Elle était vraiment contente de m'avoir comme compagnon, mais elle était si petite et si brutale! Souvent, elle me faisait mal en me tirant la queue ou les pattes, en criant trop fort dans mes oreilles, mais je l'aimais et elle aussi m'aimait! J'ai vite pris mes aises dans ta maison et je crois que ça ne t'a pas plu. Chaque jour, je faisais pipi et caca dans ta maison, je jouais avec les belles fleurs de ton jardin, tirais les guirlandes du sapin, mais j'étais si petit, il fallait m'éduquer. Petit à petit, tu oubliais de me donner à manger, de me promener et me câliner comme au début. Heureusement, ta fille te le rappelait souvent... elle était trop petite pour le faire elle- même, et toi, las de ces corvées journalières, tu repoussais toujours ce moment jusqu'à oublier. Mais j'étais heureux car il y avait Cloé, cette petite fille si fragile, si brute mais que j'aimais tant! On passait des heures à jouer ensemble. Deux semaines s'étaient écoulées depuis mon arrivée, je jouais avec ta fille et tu es arrivé, tu as dit à Cloé "et si on allait promener le chien". Je me souviens que tu ne prenais jamais la peine de m'appeler par mon nom, pour toi, j'étais "le chien". Seule Cloé m'avait surnommé "petit cœur" et elle te rapellait souvent mon nom quand, par malheur, tu l'oubliais. Comme promis, nous sommes partis en ballade. Tu as pris la voiture et, après quelques longues minutes de route, nous nous sommes arrêtés à une station essence. Tu as donné des sous à Cloé et tu lui as dit d'aller s'acheter des bonbons. Je l'ai vue s'éloigner jusqu'à ce que tu m'appelles, la porte grande ouverte. Je suis sorti avec toi, content de me dégourdir les pattes. Nous nous sommes éloignés dans la forêt et tu as enroulé ma laisse autour d'un tronc d'arbre. Je t'ai vu partir, tout content, enfin débarrassé d'un poids qui te pesait! J'avais si peur, j'ai pleuré, mais tu semblais ne pas m'entendre, mais, moi, je vous ai entendu... quelle leçon de vie tu as donné à ta fille! Elle est revenue avec des bonbons pleins les mains, comme si ça allait pardonner ton acte! Je me rappelle très bien ce moment: elle a crié mon nom plusieurs fois, puis a couru vers toi en pleurant, "où est tit cœur?" a-t'elle crié "je ne le trouve plus!". Comme un lâche, la seule réponse que tu as trouvée à lui dire était "Je suis désolé, ma chérie, mais il ne t'aimait plus et a décidé de partir". En entendant cela, j'ai eu envie de crier que c'était faux, mais vous ne m'entendiez pas, j'étais trop loin. Cloé a pleuré encore et encore, disant que tu mentais, et vous avez fini par partir. J'ai entendu le bruit du moteur s'éloigner, les pleurs s'estomper, et je me suis retrouvé seul, avec pour seul compagnie cette arbre et l'odeur de Cloé encore sur la laisse. La nuit est tombée, je me suis recroquevillé en boule, espérant que tu allais regretter ton geste, céder aux pleurs de Cloé, comme quand tu as cédé à ses envies. Mais les jours ont passé et tu ne revenais pas. Combien de temps suis-je resté là, mon ventre me tenaillant, le froid m'immobilisant, sous cette neige qui m'engloutissait? Peut-être 4 jours, ou 5, j'avais l'impression que cela faisait des mois que j'étais là! J'étais si petit, si fragile! Je priais dieu pour qu'il vienne enfin me chercher. Et enfin, quelqu'un est passé par là, un homme qui, en me voyant, l'horreur a traversé son regard et il a couru vers moi. Il m'a mis dans son manteau et, pour la première fois depuis des jours, j'ai cru que j'étais enfin mort, qu'enfin, j'avais gagné le paradis. Il m'a mis dans sa voiture et nous avons roulé. Cette promenade était bien trop courte à mon goût. Il m'a emmené dans un grand bâtiment rempli de chiens et de chats, seuls dans leurs boxes. Une dame nous a accueillis, si triste de me voir les rejoindre, et, à contre cœur, elle m'a mis dans un des boxes qui était vide. Les mois ont passé, j'ai grossi, j'ai grandi, on me faisair des câlins, me promenait de temps à autre, mais je me sentais si seul! Personne ne s'intéressait à moi, il y avats bien plus beau! Et enfin, il y a eu cette délivrance! La dame qui s'occupait de moi est venue me voir, m'a pris dans ses bras et je crois que jamais je n'ai eu un si beau câlin. Elle m'a conduit dans cette pièce qui sentait la mort. Une autre femme, qui parfois venait me voir quand j'allais mal, m'a immobilisé et, enfin, m'a donné la piqûre de la délivrance. Je me suis endormi, tout près de vous qui pleuriez sur mon sort. Mais ne vous en faites pas, je vous aime vous qui avez du prendre cette décision. Et mon maître, sache que si un jour tu revenais, la porte de mon cœur serait grande ouverte, j'irais te lécher les mains comme au premier jour et je serais ton fidèle compagnon, même si tu ne l'as jamais été.
Petit cœur.
Texte de POKIE : 13 ans
son site
http://zoo-land.forumactif.com/forum.htm
Merci àFILOUTE sur le blog de laquelle j'ai trouvé cet article que je me devais de poster à mon tour.
Les illustrations sont mes créations... SERVEZ-VOUS, SI VOUS AIMEZ!
Merci, ma douce Angel, pour cette image que je poste avec plaisir sur mon blog car il est vrai qu'il faut savoir s'opposer à la violence sur les animaux!!! Les animaux sont des êtres vivants que l'Homme n'a pas le droit de maltraiter ni pour des tests médicaux ou pharmaceutiques, ni pour se divertir, ni pour se nourrir!!!
Tu as bien raison de le rappeler, ma puce!!! Merciiiiiiiiiii du fond du coeur. Slurrrrrrrps
Image trouvée sur le net - Merci à son(sa) créateur(trice)
Il semblerait que ce genre de réflexions soient plus courantes qu'on ne le pense!!! C'est écoeurant!!!
Combien d'animaux suivent leur maître jusqu'à la mort?! Certains donnent leur vie pour sauver un maître qu'ils aiment ou seraient capables de mourrir d'épuisement pour le retrouver, pour lui plaire(courses derrière des vélos ou marches forcées...). Mais quelle personne se sacrifierait pour son animal???!!! Certains ne sont même pas capables de sacrifier un peu de leur budget vacances pour leurs animaux et préfèrent lâchement les abandonner! C'est honteux!!!
S'il le faut vraiment, rationnez- le!!! Mais, ne l'abandonnez pas!!! Votre animal se nourrit aussi de votre amour!!!
Abandonneriez-vous vos enfants??? Non! Et bien, un animal c'est pareil! Il ne vous a rien demandé et pourtant vous l'avez adopté!!! Maintenant, assumez!!!
Prendre un animal c'est prendre une réelle responsabilité! Evidemment, il est petit et craquant quand vous l'adopter, mais n'oubliez pas qu'il va grandir!
Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois,
Depuis deux ans, je souffre d'avoir trop cru en toi.
Tous les jours, je t'attends, certain que tu viendras.
Tous les soirs, je m'endors sans que tu ne sois là.
Pourtant, j'en suis certain, je te reconnaîtrai.
Viens me tendre une main, je te la lècherai.
Je me souviens très bien quand je sautais sur toi,
Que tu me carressais, que je dansais de joie.
Que s'est-il donc passé pour que, ce 16 juin,
Heureux que tu étais, je me rappelle très bien,
Tu sifflais, tu chantais en bouclant tes valises,
Que tu m'aies attaché, là, devant cette église?
Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais,
Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais!
Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays.
Mais quand tu reviendras, moi, j'aurai trop vieilli!
Ton absence me pèse et les jours sont si longs.
Mon corps s'épuise et mon coeur se morfond.
Je n'ai plus goût à rien et je deviens si laid
Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.
D'ailleurs, je ne veux pas que l'on me trouve un maître!
Je montre bien mes dents et je prends un air traître
Envers qui veut me prendre ou bien me caresser
Pour toute illusion, enfin, lui enlever!
Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner,
A te combler de joie du mieux que je pourrai.
Et je suis sûr, tu vois, qu'ensembles nous saurions
Vivre des jours heureux, en réconciliation!
Pour cela, je suis prêt à faire de gros efforts,
A rester près de toi, à veiller quand tu dors,
Et à me contenter, même si j'ai très faim,
D'un vulgaire petit os et d'un morceau de pain.
Je n'ai jamais rien dit lorsque tu m'as frappé,
Sans aucune raison, quand tu étais énervé.
Tu avais tous les droits, j'étais à ton service,
Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.
Tu m'as mis à la chaine ou tu m'as enfermé.
Tu m'as laissé des jours sans boire et sans manger.
J'ai dormi, bien souvent, dans une niche sans toit
Paralysé, raidi, tellement j'avais froid.
Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensembles.
Nous franchirons en choeur la porte qui ressemble
A celle d'une prison, que je ne veux plus voir
Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé trop de noir.
Voilà, mon rêve se termine car je vois le gardien,
Puis l'infirmière et le vétérinaire plus loin.
Ils entrent dans l'enclos et leurs visages blêmes
En disent long pour moi sur ce qui les amène.
Je suis heureux, tu vois, car, dans quelques instants,
Je vais tout oublier et, comme il y a deux ans,
Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami,
Je dormirai toujours, grâce à... l'euthanasie.
Et s'il t'arrive un jour de repenser à moi,
Ne verse pas de larme, ne te prends pas d'émoi!
Pour toi, je n'étais "qu'un chien"... Tu préfèrais la mer.
Tu l'aurais su avant, je l'aurais payer moins cher!
A vous tous les humains, j'adresse une prière:
Me tuer tout petit aurait peiné ma mère,
Mais il eut mieux valu, pour moi, cette manière
Et vous n'auriez pas eu, aujourd'hui, à le faire!
Poème de M. Gilbert DUMAS que je remercie profondément de me permettre de pulier cette oeuvre.
Gilbert DUMAS
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