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Date de création : 07.05.2008
Dernière mise à jour : 30.06.2017
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on loge a la nuit

Publié à 16:05 par chouky39 Tags : coeur dieu nuit bleu texte cheval
on loge a la nuit

Aventurier conduit par le louche destin,
Pour y passer la nuit, jusqu’à demain matin,
Entre à l’auberge Louvre avec ta rosse Empire.

Molière te regarde et fait signe à Shakspeare ;
L’un te prend pour Scapin, l’autre pour Richard trois.
Entre en jurant, et fais le signe de la croix.
L’antique hôtellerie est toute illuminée.
L’enseigne, par le temps salie et charbonnée,
Sur le vieux fleuve Seine, à deux pas du Pont-Neuf,
Crie et grince au balcon rouillé de Charles neuf ;
On y déchiffre encor ces quelques lettres : – Sacre ; -
Texte obscur et tronqué, reste du mot Massacre.

Un fourmillement sombre emplit ce noir logis.

Parmi les chants d’ivresse et les refrains mugis,
On rit, on boit, on mange, et le vin sort des outres.
Toute une boucherie est accrochée aux poutres.
Ces êtres triomphants ont fait quelque bon coup.
L’un crie : assommons tout ! et l’autre : empochons tout !
L’autre agite une torche aux clartés aveuglantes.
Par places sur les murs on voit des mains sanglantes.
Les mets fument ; la braise aux fourneaux empourprés
Flamboie ; on voit aller et venir affairés,
Des taches à leurs mains, des taches à leurs chausses,
Les Rianceys marmitons, les Nisards gâte-sauces ;
Et, – derrière la table où sont assis Fortoul,
Persil, Piétri, Carlier, Chapuys le capitoul,
Ducos et Magne au meurtre ajoutant leur paraphe,
Forey dont à Bondy l’on change l’orthographe,
Rouher et Radetzky, Haynau près de Drouyn, -
Le porc Sénat fouillant l’ordure du grouin.
Ces gueux ont commis plus de crimes qu’un évêque
N’en bénirait. Explore, analyse, dissèque,
Dans leur âme où de Dieu le germe est étouffé,
Tu ne trouveras rien. – Sus donc, entre coiffé
Comme Napoléon, botté comme Macaire.
Le général Bertrand te précède ; tonnerre
De bravos. Cris de joie aux hurlements mêlés.
Les spectres qui gisaient dans l’ombre échevelés
Te regardent entrer et rouvrent leurs yeux mornes
Autour de toi s’émeut l’essaim des maritornes,
A beaucoup de jargon mêlant un peu d’argot ;
La marquise Toinon, la duchesse Margot,
Houris au coeur de verre, aux regards d’escarboucles.
Maître, es-tu la régence ? on poudrera ses boucles
Es-tu le directoire ? on mettra des madras.
Fais, ô bel étranger, tout ce que tu voudras.
Ton nom est million, entre ! – Autour de ces belles
Colombes de l’orgie, ayant toutes des ailes,
Folâtrent Suin, Mongis, Turgot et d’Aguesseau,
Et Saint-Arnaud qui vole autrement que l’oiseau.
Aux trois quarts gris déjà, Reibell le trabucaire
Prend Fould pour un curé dont Sibour est vicaire.

Regarde, tout est prêt pour te fêter, bandit.

L’immense cheminée au centre resplendit.
Ton aigle, une chouette, en blasonne le plâtre.
Le boeuf Peuple rôtit tout entier devant l’âtre
La lèchefrite chante en recevant le sang ;
A côté sont assis, souriant et causant,
Magnan qui l’a tué, Troplong qui le fait cuire.
On entend cette chair pétiller et bruire,
Et sur son tablier de cuir, joyeux et las,
Le boucher Carrelet fourbit son coutelas.
La marmite budget pend à la crémaillère.
Viens, toi qu’aiment les juifs et que l’église éclaire,
Espoir des fils d’Ignace et des fils d’Abraham,
Qui t’en vas vers Toulon et qui t’en viens de Ham,
Viens, la journée est faite et c’est l’heure de paître.
Prends devant ce bon feu ce bon fauteuil, ô maître.
Tout ici te vénère et te proclame roi ;
Viens ; rayonne, assieds-toi, chauffe-toi, sèche-toi,
Sois bon prince, ô brigand ! ô fils de la créole,
Dépouille ta grandeur, quitte ton auréole ;
Ce qu’on appelle ainsi dans ce nid de félons,
C’est la boue et le sang collés à tes talons,
C’est la fange rouillant ton éperon sordide.
Les héros, les penseurs portent, groupe splendide,
Leur immortalité sur leur radieux front ;
Toi, tu traînes ta gloire à tes pieds. Entre donc,
Ote ta renommée avec un tire-bottes.
Vois, les grands hommes nains et les gloires nabotes
T’entourent en chantant, ô Tom-Pouce Attila !
Ce boeuf rôtit pour toi ; Maupas, ton nègre, est là ;
Et, jappant dans sa niche au coin du feu, Baroche
Vient te lécher les pieds tout en tournant la broche.

Pendant que dans l’auberge ils trinquent à grand bruit,
Dehors, par un chemin qui se perd dans la nuit,
Hâtant son lourd cheval dont le pas se rapproche,
Muet, pensif, avec des ordres dans sa poche,
Sous ce ciel noir qui doit redevenir ciel bleu,

Arrive l’avenir, le gendarme de Dieu.

on est tibere on est judas on est dracon

Publié à 15:59 par chouky39 Tags : mort
on est tibere on est judas on est dracon

On est Tibère, on est Judas, on est Dracon ;
Et l’on a Lambessa, n’ayant plus Montfaucon.
On forge pour le peuple une chaîne ; on enferme,
On exile, on proscrit le penseur libre et ferme ;
Tout succombe. On comprime élans, espoirs, regrets,
La liberté, le droit, l’avenir, le progrès,
Comme faisait Séjan, comme fit Louis onze,
Avec des lois de fer et des juges de bronze.
Puis, – c’est bien, – on s’endort, et le maître joyeux
Dit : l’homme n’a plus d’âme et le ciel n’a plus d’yeux.-
Ô rêve des tyrans ! l’heure fuit, le temps marche,
Le grain croît dans la terre et l’eau coule sous l’arche.
Un jour vient où ces lois de silence et de mort
Se rompant tout à coup, comme, sous un effort,
Se rouvrent à grand bruit des portes mal fermées,
Emplissent la cité de torches enflammées.

 

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espagne croatie

Publié à 15:49 par chouky39 Tags : monde fond afrique
espagne croatie

Les Espagnols ont vraiment souffert lundi face à la Croatie, en dépit de leur courte victoire (1-0) lors de la troisième et dernière journée du groupe C de l'Euro. Jesus Navas a marqué à seulement deux minutes de la fin et Iker Casillas avait auparavant sauvé la mise à deux reprises, notamment sur une tête de Rakitic. La Roja finit première de sa poule, mais n'est plus aussi souveraine.



Après tout, ils avaient un peu laissé la même impression il y a deux ans, en Afrique du Sud. Sans être géniaux, les Espagnols avaient gagné 1-0 leurs quatre matches à élimination directe pour être sacrés champions du monde. Quatre jours après avoir écrasé une faible Irlande (4-0), les hommes de Vicente Del Bosque ont eu beaucoup plus de mal à se défaire de la Croatie, en l'emportant sur la plus courte des marges avec un but inscrit par Navas à seulement deux petites minutes du terme (1-0). Surtout, la Roja s'est fait peur et peut remercier Casillas.

Sur cette tête de Rakitic à l'heure de jeu, puis sur une demi-volée de Perisic 20 minutes plus tard, le capitaine a sauvé ses troupes. Ses arrêts n'ont pas été exceptionnels, mais ils sont le propre d'un grand gardien. Bien placé, le portier du Real a repoussé les deux tentatives avec autorité, et ainsi évité à ses partenaires une fin de match irrespirable. C'était déjà coton à 0-0, alors à 0-1... L'Espagne ne démérite pas pour autant, car les Croates n'ont pas assez osé, constamment tiraillés entre la volonté de ne pas défendre trop haut et celle de quand même jouer le coup à fond.

Pas de retrouvailles Blanc-Bilic

Avant le coup de crâne de Rakitic, les partenaires de Luka Modric - auteur d'un remarquable centre de l'extérieur du gauche sur cette occasion - ne s'étaient montrés vaguement dangereux que par Pranjic (25e). En première période, même s'ils ne parvenaient pas à se procurer d'occasion vraiment franche, les champions d'Europe en titre avaient accumulé les situations chaudes par Iniesta (12e), Torres (23e), Piqué (24e) ou Silva (29e). Avant le but, Andrés Iniesta (84e) et Jesus Navas (85e) avaient aussi inquiété Pletikosa, un peu. Toujours est-il que les deux équipes ont eu beaucoup de mal à proposer quelque chose de concret, probablement à cause de l'enjeu.

Mais la surprise provient de l'Espagne, qui n'avait plus habitué ses supporters à ça. Avec Cesc Fabregas à l'avant-dernière passe et Navas à la conclusion sur le but libérateur, où Iniesta a joué le rôle du parfait entremetteur, les remplaçants ont amené le sang frais espéré. Après la parenthèse de l'Irlande, qui aura peut-être été un leurre, le remplacement de Torres par Navas a confirmé que le système sans avant-centre était préférentiel en Espagne. Dans les faits, mais au niveau du résultat aussi. Slaven Bilic aurait pu retrouver Laurent Blanc 14 ans après, mais la Roja s'est sortie du piège tant bien que mal. Et bien sûr, les Bleus ne sont pas encore premiers, ni même qualifiés.

portugal republique tcheque

Publié à 15:44 par chouky39 Tags : monde sourire
portugal republique tcheque

Auteur d'un doublé et d'un match plein dimanche soir face à des Néerlandais battus pour la troisième fois en trois matches (2-1), Cristiano Ronaldo, en souffrance depuis le début de l'Euro, aura été le grand artisan de la qualification pour les quarts de finale, où le capitaine portugais et ses hommes seront opposés à la République Tchèque. Dans l'autre match de ce Groupe B, l'Allemagne a confirmé sa première place en dominant difficilement le Danemark (2-1).



Il ne pouvait en être autrement. Très critiqué depuis le début de la compétition, notamment après ses deux énormes ratés face au Danemark, Cristiano Ronaldo a mis tout le monde d'accord dimanche soir. Il a même tout vu en double à Kharkov. Deux comme le nombre de coupes de cheveux arborées par le capitaine portugais sur l'ensemble de la rencontre, deux comme le nombre de poteaux trouvés, et surtout deux comme le nombre de buts inscrits face aux Pays-Bas (2-1). Un doublé qui propulse les Portugais en quarts de finale face à la République Tchèque, l'Allemagne ayant dominé dans le même temps le Danemark (2-1), et qui renvoie au pays les Néerlandais avec un piteux bilan.

Avec déjà deux défaites au compteur à l'entame de cette rencontre, les Pays-Bas n'avaient, il est vrai, plus franchement le choix. Pour éviter cette élimination prématurée et donc une sévère désillusion, il fallait à tout prix l'emporter, par au moins deux buts d'écart, et compter sur une victoire de l'Allemagne face au Danemark à Lviv. De quoi forcer Bert van Marwijk à jouer son va-tout, et à aligner le duo Van Persie-Huntelaar dès le coup d'envoi tout en se privant de son gendre Van Bommel, face à une équipe portugaise inchangée. Une tactique d'abord payante, et qui voit même, une fois n'est pas coutume, Robben se sacrifier sur l'autel du collectif. Servi par le Munichois à l'entrée de la surface, le capitaine Van der Vaart place une superbe frappe enroulée qui ne laisse aucune chance à Patricio (1-0, 11e).

Nani aussi en grande forme

La fameuse peur de gagner s'emparerait-elle alors des Néerlandais ? Toujours est-il qu'ils reculent de plus en plus, et subissent la pression grandissante de leurs adversaires. Ronaldo trouve d'abord le poteau droit de Stekelenburg à l'issue d'un raid solitaire (15e), avant, à la réception d'un centre de Nani, de placer une tête puissante qui finit sur le portier de l'Ajax (23e). Un dernier avertissement sans frais, avant une égalisation méritée. Très fébrile, Willems rate sa relance et les Portugais ne vont pas manquer de profiter de cette erreur. Pereira reprend le contrôle du cuir avant de délivrer une passe en profondeur parfaite pour son capitaine, qui ne tremble pas pour inscrire, de près et dans l'angle fermé, son premier but de la compétition (1-1, 28e).

Dominateurs, les Lusitaniens, qui tiennent alors une bien fragile qualification, tentent d'enfoncer le clou avant la pause, mais ni Nani, pourtant en grande forme (30e), ni Ronaldo n'y parviennent (33e, 35e). Dès la reprise, Ronaldo et ses partenaires continuent à pousser. Postiga se voit d'abord logiquement refuser un but pour une position de hors-jeu (60e), avant que Coentrao puis Nani ne bute sur Stekelenburg (66e, 72e). La délivrance est proche, et Ronaldo ne va laisser à personne d'autre. Nani, encore à la baguette, déborde avant de centrer à ras de terre pour son ancien partenaire à Manchester United, qui s'offre tranquillement au doublé, non sans avoir encore fait tourner en bourrique Van der Wiel (2-1, 74e). Après un poteau de Van der Vaart (83e), Ronaldo va à son tour toucher du bois (90e), et rater ainsi de peu le triplé. Mais à voir son large sourire au coup de sifflet final, on peut penser qu'il s'en contentera. Pour le moment...