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Date de création : 28.03.2014
Dernière mise à jour :
22.04.2019
20803 articles
ida 100 anos
Par Anonyme, le 25.01.2020
tes tubes sont tres beaux
merci de les partager
cigale4
Par Anonyme, le 28.12.2019
merci bien
Par Anonyme, le 11.12.2019
des éclaires dans le ciel me fascinent
Par Anonyme, le 08.12.2019
merci
Par fabienne , le 04.12.2019
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Le petit monde de l’Arc-en-Ciel !
Le ciel voilé, cerné de gros nuages grisonnants, laissait deviner l’approche d’un orage.
Dans la vallée paisible, le souffle léger du vent, faisait frémir les feuillages des arbres et courber les herbes folles les plus rebelles…
Popeline qui sentit l’arrivée imminente de la pluie, partit en courant s’abriter dans une vieille bergerie, abandonnée au milieu des grands prés.
Déjà l’odeur humide s’évaporant de la terre venait lui chatouiller les narines, la petite fille de chiffon huma les odeurs douces et suaves qui l’envahissaient…
Les gouttes de pluie tombèrent enfin ! Popeline ne risquait rien.
Dans la tiédeur de son abri de fortune, la poupée de chiffon regardait effrayée et admirative, le ciel se déchirer par la violence des éclairs qui zigzagaient et illuminaient la vallée, désormais en pleurs !
Pensive, elle la vit à peine…
Une petite fille, marchait là sous la pluie devenue rageuse, elle n’était pas terrorisée par le vacarme du tonnerre, ni par le ballet intempestif des éclairs !
Popeline voyant le danger, appela de toutes ses forces l’enfant ruisselante de pluie, la petite fille de chiffon faisait de grands gestes, lui disant de venir au plus vite s’abriter et se protéger de l’orage qui devenait de plus en plus menaçant.
L’enfant arriva enfin dans l’asile improvisé, dégoulinante de pluie, le visage ruisselant de larmes, il y avait tellement de désespoir dans le regard de la petite fille que Popeline sentit sa gorge se serrer… Qu’est-ce qui peut rendre si triste et si inconsciente du danger une si jeune enfant ?
Gracieuse et toute menue, la fillette devait avoir à peine cinq ou six ans.
Ses fins cheveux blonds comme les blés, collaient sur son front haut, les larmes avaient pâli ses yeux d’un vert aussi profond que l’éclat d’une émeraude.
Cette enfant était d’une exquise joliesse, pourtant un savant mélange de désarroi et d’espoir semblait l’envahir…. Popeline au coeur tendre, en fût très émue.
Ensemble, en silence, les fillettes attendirent que l’orage s’éloigne et que la menace s’écarte définitivement.
L’accalmie ne se fit point attendre, déjà la pluie avait cessé et le soleil commençait à pointer délicieusement ses premiers rayons doux et tièdes.
Popeline se décida enfin, à demander à la fillette ce qui la rendait si triste…
Elle s’appelait Elwing, pluie d’étoiles en langage Elfique, sa maman adorait les fées, les elfes et lui contait de merveilleuses histoires, d’un pays imaginaire, nommé Féerie.
Elwing avait six ans et venait de perdre son compagnon de jeux, un adorable petit chat noir, bien imprudent qui n’avait pas vu la voiture arriver !
La détresse de la petite fille était sans fin…
Sa mère, lui avait dit que l’Arc-en-Ciel qui se dessine dans le ciel, les jours ou le soleil joue avec la pluie, était un pont entre la Terre des humains et les êtres chers qui nous avaient quittés…
C’était la raison pour laquelle Elwing, errait les jours de pluie, le coeur emplit d’espoir d’apercevoir un Arc-en-Ciel qui lui permettrait de retrouver, même l’espace d’un instant, son petit ami.
Popeline, attendrit par cette jolie croyance, prit Elwing par la main et toutes deux s’éloignèrent de la bergerie…
La fillette aux grands yeux émeraude parlait timidement avec la poupée de chiffon, elle ramassait des grosses marguerites, encore gorgées de gouttelettes en récitant à voix basse :
- Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie… mon éternel ami !
Soudain, dans l’horizon limpide se dessina un superbe Arc-en-Ciel !
La surprise des fillettes fût grande, lorsqu’elles virent, haut, bien loin dans le ciel, tout un petit monde qui s’animait et s’agitait.
Elwing, les yeux rivés vers l’infini, aperçu le chaton, il était là lui aussi.
Tendrement, la petite fille, le regard embué de larmes lui envoya un doux baiser.
Mais déjà les couleurs lumineuses de cet Arc de Lumière se firent plus pâles, jusqu’à disparaître, laissant place à un ciel sans nuage.
Les fillettes se regardèrent troublées par cet événement inattendu, le coeur envahit d’un baume d’une délicieuse douceur.
Alors, c’était vrai ! Nous ne perdons jamais ceux que l’ont a aimé, ils sont toujours là, près de nous…
Et si c’était dans labeauté d’un Arc-en-Ciel !
Texte de Abigail Histoires Pour Enfants
de nanou
Je t'observe de mon regard, petit ami qui m'a choisi
Tendres et ronds, mes yeux brillent même lorsqu'il fait nuit
Je suis là pour te rassurer, avec mes mots parfois maladroits
Sincères et spontanés, j'aimerais que tu me croies
Je voudrais être le plus gentil à tes côtés, le plus aimé
Doux et rassurant, présente lorsque tu es tristounet
Je te câline avec ma douce fourrure, je sèche tes larmes
Avec mes pattes je te serre fort, contre le chagrin, ma seule arme
Je m'amuse avec toi, je suis ton plus fidèle complice
Témoin de tes bêtises et de tous tes caprices
Je ne porte pas de jugement, ni sur toi, si sur personne
Impassible, je reste muet lorsqu'on me harponne
Même lorsqu'un jour, tu m'abandonneras sur le côté de ton lit
Et partiras loin de moi, parce que je serai tombé dans l'oubli
Je serai toujours ton nounours et je serai toujours là
Prêt à surmonter avec toi et peut-être avec tes enfants tous les petits tracas
De ta nouvelle vie
Lorsque tu auras grandi
Et qu'à jamais je resterai
Le nounours de tes premières années
" Source inconnu "
de nanou
" Petite Fée, la Fée des Rêves "
Le rêve de Petite Fée était que les hommes n’arrêtent jamais de croire en leurs rêves…
Elle était la Fée des Rêves et en particulier des Rêves Fous, c’étaient ceux qu’elle aimait le plus.
Mais depuis quelques temps, Petite Fée avait perdu espoir de réaliser ses rêves à elle…
Elle n’y croyait pas assez fort.
Lui arrivait-il souvent de penser.
Avait-elle raison ou tort, là n’était pas la question.
La question était de savoir où sa petite lueur d’espoir s’en était allée.
Elle l’avait cherché en vain derrière ses grands projets, ses petites peurs, ses grandes angoisses, ses plus beaux souvenirs… Nulle part ! la petite lueur d’espoir avait un jour disparu sans qu’elle s’en rende compte.
Un chagrin d’amour lui avait brisé le coeur en mille morceaux
Eh oui les fées ne sont pas à l’abri d’un chagrin d’amour malgré tout le bonheur qu’elles donnent au monde.
Petite Fée n’arrivait plus à croire aux rêves des autres, elle ne pouvait plus être la Fée des Rêves…
Petite Fée n’arrivait plus à croire aux rêves des autres, elle ne pouvait plus être la Fée des Rêves…
Mais c’était toute sa vie, elle était une fée.
Que deviendrait-elle si elle n’était plus un fée ? Elle se mit à pleurer…
Elle était seule dans un bois tranquille, seule et elle pouvait enfin vider son coeur de toute la tristesse qu’elle avait accumulée toutes ses années…
Après avoir pleuré toutes les larmes de son corps, elle sentit une douce chaleur sur son visage et malgré ses paupières closes, elle pouvait distinguer une lueur d’une luminosité extraordinaire.
Elle n’osait pas ouvrir les yeux.
C’est alors qu’elle entendit une voix aussi douce qu’un murmure lui dire : - Tu as enfin compris…
Elle ouvrit les yeux et vie une petite fée couleur soleil qui lui ressemblait comme deux gouttes d’eau assise sur une branche. Elle osa parler :
- Compris quoi ?
- Tu es la Fée des rêves, mais tu as aussi TES rêves. Il ne faut pas que tu l’oublies.
Tes rêves sont aussi importants que ceux que tu aides à mettre au monde. Si tu ne crois pas en tes rêves alors tous les rêves mourront aussi…
- Je ne comprend pas…
La petite fée auréolée d’une aura répondit :
- Même les rêves qui meurent ont existé. Ils devaient mourir pour laisser place à un autre rêve. Tu ne peux pas réaliser tous les rêves Et pour réaliserun rêve, il faut vraiment y croire.
Je m’étais enfuie parce que je ne me trouvais plus à ma place…
La petite fée s’était tue un moment puis poursuivit :
– Tu étais tellement triste et tu semblais avoir perdu tout espoir que j’ai décidé de t’aider…
Petite Fée la coupa et s’exclama :
- Mais tu m’as abandonnée…
- Non je ne t’ai pas abandonnée. Je t’ai donné la possibilité de te retrouver, de te délivrer de la tristesse et de croire à nouveau en toi !
Ne te sens-tu pas une différence ?
Petite Fée ferma les yeux et ressentit dans sa poitrine un feu intense maistellement doux…
Elle ne s’était jamais sentie aussi bien.
Quand elle ouvrit les yeux, le Peite Fée toute dorée n’était plus là, Petite Fée comprit et souriait à présent.
Elle s’était levée et avait commencé à marcher.
Quand elle se retourna une dernière fois pour essayer de l’apercevoir, elle entendit la petite voix de la fée portée par le vent lui dire :
» N’arrête jamais de croire en tes rêves, jamais, jamais… »"
Texte de Marypistache, publié dans : Histoires ou contes de fées.
de nanou