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quelle amour
Par robertapampa, le 02.08.2012

bonne nuit a tous les amoureus(e)
Par robertapampa, le 02.08.2012

j'adore merci
Par ciboulette, le 06.03.2012

bonne chance véro !
Par ciboulette, le 06.03.2012

très mignon!!!
Par ciboulette, le 06.03.2012

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Date de création : 22.12.2007
Dernière mise à jour : 06.03.2012
73835 articles


Aérage et sécurité dans la mine 54

Publié à 12:02 par georgessylviemarie
Aérage et  sécurité dans la mine 54
Devant ces grands dangers encourus par les ouvriers, on tenta de prévenir ces accidents en pulvérisant de l'eau pour agglomérer les poussières et éviter les explosions, mais surtout en aménageant un véritable circuit d'aération dans la mine. Celui-ci étant de toute évidence nécessaire pour renouveler l'oxygène et abaisser la température ambiante. L'aérage fut donc particulièrement calculé pour rendre l'exploitation viable et limiter au maximum le danger. On cru maîtriser ainsi le grisou en expulsant les gaz vers l'extérieur, mais sans succès. Le gaz se concentrant dans des poches de roches ou des galeries, échappait totalement au contrôle des ingénieurs et des exploitants des mines. Les moyens les plus sophistiqués (de l'époque) furent cependant mis en oeuvre pour assurer une ventilation efficace... il faudra calculer le volume d’air consommé par ouvrier, les chevaux quand on en utilise, et l'évacuation de l'air vicié par le grisou ou les poussières, variable selon les mines et leurs dimensions. On va naturellement utiliser les puits d'aérage et les galeries pour acheminer l'air frais puis le guider vers la sortie. Pour réguler ces courants, la mise en place de "portes" amovibles ou de galeries cloisonnées (doubles toits, canalisations...) permettront d'acheminer d'avantage d'air là où travaillaient les ouvriers. On installera également des systèmes de ventilation, de véritables usines entraînant des roues, des pales, des moteurs et des pistons pour brasser et aspirer les flux de la mine : des centrales d'aérages.



IMAGE DE NOEL 19

Publié à 12:02 par georgessylviemarie
IMAGE DE NOEL 19
TRES BELLE IMAGE DE NOEL

IMAGE DE NOEL 18

Publié à 12:02 par georgessylviemarie
IMAGE DE NOEL 18
TRES BELLE IMAGE DE NOEL

Les poussières charbonneuses 53

Publié à 12:02 par georgessylviemarie
Les poussières charbonneuses  53
Il est facile d'imaginer que l’extraction du charbon dans une atmosphère réduite produit une masse considérable de poussières. Celles-ci restent en suspension dans l'air ; leur seule présence suffit à provoquer des maladies graves et souvent mortelles touchant les poumons de tous les ouvriers présents dans la mine. Leur durée de vie déjà raccourcie par des conditions de vie et de travail pénibles, s'amoindrissait encore par ces intoxications respiratoires.



Ces mêmes poussières en suspension furent également à l'origine de nombreuses explosions. Le principe est simple : une poudre s'enflamme facilement puisque ses petites particules emprisonnent de l'air : le feu brûle ce combustible et s'embrase immédiatement en consumant l'air : c'est l'explosion. Certains cracheurs de feu utilisent exactement le même principe en pulvérisant un combustible, du pétrole ou de la farine qui se disperse en très fines particules, des gouttelettes ou de la poudre emprisonnant de l'air. Le tout s'enflamme soudainement.


Dans la mine la présence de grisou et de poussières au contact du feu des lampes est un cocktail explosif. La poussière seule suffit déjà à embraser une galerie. Elle peut aussi se conjuguer à une explosion du gaz grisouteux dont le souffle repousse toutes les poussières dans les vides souterrains, puis revient immédiatement après, aspiré en sens inverse et s'enflammant de nouveau. Ces deux redoutables explosions brûlent tout sur leur passage, consomment l'air et produisent un troisième effet tout aussi dévastateur : il produisent du gaz carbonique en énorme quantité. Les rares survivants aux deux premiers souffles étaient alors tous simplement asphyxiés
.



IMAGE DE NOEL 17

Publié à 12:02 par georgessylviemarie
IMAGE DE NOEL 17
TRES BELLE IMAGE DE NOEL

La lampe de mine et le grisoumètre 52

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
La lampe de mine et le grisoumètre 52
Au fil de l'évolution technique des lampes dites de "sûreté" vont être conçues pour éviter le contact de cette flamme avec une atmosphère grisouteuse. On va s'apercevoir que ce bref instant pendant lequel la lampe entre en contact avec le gaz, la petite flamme bleue pourra servir d'indicateur. Celle-ci, elle n'explose pas systématiquement ; si le gaz est en quantité très faible, elle restera d’une taille très réduite qu’on pourra mesurer en abaissant la mèche, et en élevant doucement la lampe vers le haut de la galerie, là où se concentre le grisou. Au contraire, si le gaz est présent en très forte quantité, il n'y aura plus suffisamment d'air pour permettre à l'explosion de se produire... il ne sera pas inoffensif pour autant, puisque cette proportion constitue un grand risque d'asphyxie. La lampe va commencer à "marquer" (1) autour de 3% de grisou dans l'air. A la fin du 19eme s., certains grisoumètres parviendront à détecter des proportions infimes de l'ordre d'1% et même moins. La flamme va s'allonger de plus en plus jusqu'à environ 7%. Autour de 10% elle deviendra un danger mortel. A 20% tout risque d'explosion est écarté, si la proportion atteint 30% la lampe s'éteint d'elle même par étouffement.

(1) marquer : terme désignant sur une lampe la présence d’une flamme caractéristique de la combustion du grisou.

Les lampes de mines serviront donc à mesurer "à l'oeil" cette proportion. Sur certaines d'entre-elles, on aménagera à l'intention des ingénieurs et des géomètres des marquages et des graduations qui permettront de mesurer précisément la présence du grisou. La lampe deviendra alors un grisoumètre. Lorsque les lampes fonctionnant au Benzine (lampes à essence) vont faire leur apparition (autour de 1890), on s'apercevra que la mesure se fera de manière encore plus précise et on concevra des grisoumètres à part entière, uniquement destinés à la mesure du gaz.


IMAGE DE NOEL 16

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
IMAGE DE NOEL 16
TRES BELLE IMAGE DE NOEL

IMAGE DE NOEL 15

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
IMAGE DE NOEL 15
TRES BELLE IMAGE DE NOEL

Le Grisou. Dangers et explosions dans les mines 51

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
Le Grisou. Dangers et explosions dans les mines 51
A l’intérieur du monde souterrain, le moindre accident est généralement fatal. Le nombre des victimes causées par d’inexplicables explosions ne va cesser de croître au cours du développement de l’exploitation des mines. On lui donnera un nom souvent synonyme de mort : « le grisou ».




Le coup de grisou - © geopedia.fr - Reproduction interdite.
Au 18ème et au 19ème siècle, les études les plus sérieuses seront menées pour tenter d'en venir à bout. On le prélèvera et on tentera de reproduire des expériences en laboratoire, sans jamais percer son secret. L'observation permettra néanmoins de décrire précisément ce phénomène. Le grisou se dégage de la houille, il est inodore et invisible; pendant l'abattage, les mineurs peuvent tout juste entendre un très léger bruissement. Quelquefois ils peuvent observer des petits filaments gazeux et blanchâtres qui vont s'élever vers le haut de la galerie et qu'ils vont baptiser "les fils de la vierge" *.




* Ce phénomène se produit avec la précipitation de la vapeur d'eau soudainement refroidie par le gaz qui devient alors "visible". Lorsque ces émanations sortent avec un débit important en forme de chalumeau projetant du gaz, ces projections sont appelées des "soufflards"

C'est un gaz léger composé d'un dérivé d'hydrogène et d'azote, un gaz irrespirable et toxique avant même d'être en contact avec le feu. Il se mélange facilement à l'air et reste en suspension dans la partie supérieure des galeries, sur le "toit de la mine", à hauteur d'homme. Pour un mineur expérimenté, sa présence en forte quantité provoquera un léger picotement dans le nez, puis des maux de tête et des malaises. Lorsque ce gaz entrera en contact avec une « lampe de sûreté », celle-ci va brusquement s'échauffer, ses pièces composées de fines toiles métalliques vont être portées au rouge, il sera déjà pratiquement trop tard pour éviter l'embrasement imminent de toute la galerie. Cette incandescence ne suffira pas à provoquer l'explosion, il faudra qu'une flamme s'échappe de la lampe pour devenir dangereuse. Souvent, c’est le mineur paniqué qui va chercher à tout prix à l'éteindre en la secouant vivement, pour tenter de l'étouffer ou de la couvrir qui sera la cause de l’embrasement. Une petite flamme bleu vif apparaîtra un bref instant, très semblable à celle d'un briquet, puis ce sera l'explosion mortelle.




IMAGE DE NOEL 15

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
IMAGE DE NOEL 15
TRES BELLE IMAGE DE NOEL

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