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Le premier microprocesseur, le 4004 d'Intel fait son apparition en 1972. La même année, la première calculette scientifique, la HP-35 de Hewlett-Packard, détrône définitivement la règle à calcul.
Le Micral, micro-ordinateur muni d'un 8080 d'Intel voit le jour en 1973. Le premier micro-ordinateur personnel, le Altair 8800 de MITS, paraît en 1975. On pouvait l'acheter en kit pour 395 $ ou tout fait pour 600 $. Il s'en vendit 2000 la première année et un total d'environ 10 000. Il introduisait le bus S-100 qui fut adopté par de nombreux autres fabricants. Il utilisait un microprocesseur Intel 8080 à 2 MHz et, dans la configuration de base, avait 256 octets de mémoire. Par la suite, des extensions de mémoire de 4Ko et même de 16 Ko furent disponibles. C'est avec cette machine que Bill Gates fit ses débuts avec le Microsoft BASIC.
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JE NE PEUX ME PASSER DE METRE CEST SUPERBE IMAGES D ANGE ET VOUS QUEN PENSER VOUS
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À l'époque du PDP-8, il n'y avait pas de ROM. On devait donc introduire le programme d'amorce à la main au moyen des boutons qu'on voit sur la console.
À l'Université Laval, le Centre de traitement de l'information (CTI devenu depuis le Service de l'information et des télécommunications ou SIT) achetait son premier ordinateur en 1963. C'était un IBM 1410, avec 40 Ko (1 Kilo-octet ou Ko signifie 1024 mots de 8 bits) de mémoire centrale, qui fut porté par la suite à 60 Ko, puis à 80 Ko. Il acheta un premier ordinateur IBM modèle 360-40 en 1965, et un second en 1966 pour le temps partagé. L'IBM 360-40 avait un temps de cycle de processeur de 0,625 µsec et une mémoire maximale de 256 Ko. La famille 360 d'IBM dure, avec des améliorations, presque 10 ans et est remplacée en 1972 par la famille IBM 370.
La première calculatrice de poche ou calculette était commercialisée en 1967 par Texas Instruments. Le premier modèle à large diffusion fut le TI-2500 DataMath, capable d'effectuer les quatre opérations arithmétiques.
Le premier micro-ordinateur, le Kenback 1, voit le jour en 1971. Il avait une mémoire de 256 octets et trois registres de programmation. On en vendit 62 au prix de 750 $.
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En 1937, l'américain Howard Aiken commence ses études de doctorat en physique à l'Université Harvard. Comme il a besoin de calculs numériques pour évaluer des équations différentielles complexes, il commence à mettre au point une machine pour calculer des polynômes. Le projet est financé 2/3 par IBM et 1/3 par la marine américaine. La machine devient en 1944 le Mark I d'IBM, qui est 5 à 6 fois plus rapide que l'humain et peut multiplier deux nombres de 23 digits en 6 secondes. C'est un ordinateur programmable à base de relais électromécaniques. Il mesure 17 m de long et 2,5 m de haut, pèse 5 tonnes et fait un bruit infernal. La mémoire et les accumulateurs contiennent 3300 engrenages à 10 dents et 1,400 commutateurs rotatifs reliés par 800 km de fil électrique. En 1947, Aiken met au point la Mark II, qui est totalement électronique.
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Le TRADIC (pour TRAnsistor DIgital Computer) fut la première machine à n'utiliser que des transistors et des diodes et aucun tube à vide. il fut construit par Bell Labs pour l'US Air Force qui était intéressé par le caractère léger d'un tel ordinateur pour un usage embarqué. Cette machine était constituée de 700 transistors et 10000 diodes. En deux ans d'utilisation continue, seules 17 de ces diodes faillirent ce qui dépassait considérablement la fiabilité les tubes à vide.
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Quels étaient la marque et le modèle de votre machine ?
Amstrad CPC 6128
Quand l'avez vous acquise ?
1987
Processeur, disque dur, mémoire vive... Quelles étaient ses principales caractéristiques ?
Pas de disque dur, uniquement lecteur de disquette 3"1/4
A l'époque, qu'est ce qui vous avait poussé à acheter un ordinateur ?
Pour les jeux
Aujourd'hui, êtes-vous toujours adepte de l'informatique ?
Clairement
Qu'est ce qui vous a le plus marqué dans l'évolution des ordinateurs grand public ces dernières années ?
La miniaturisation de tous les éléments informatiques
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Je me rappelle d’ailleurs fort bien de mon premier ordinateur, un TRS-80 modèle 1, fabriqué et distribué par Tandy Radio Shack. Cette machine, qui coûtait plus d’un millier de dollars (et c’était une coquette somme en 1979), possédait 12 Ko de mémoire vive, un écran monochrome dont la résolution était de 128 X 48, une puce Zilog Z80 dont la vitesse de calcul atteignait les 1,77 Mz. Le stockage de données s’effectuait via un vulgaire magnétophone qui enregistrait les programmes (en binaire) sur cassettes. Le logiciel d’exploitation était une variation sur le DOS.
J’étais émerveillé, et je le suis encore quand j’y pense, par le simulateur de vol fourni avec le système. Ce programme était le grand ancêtre du Flight Simulator 2004. Cet ordinateur primitif, et pratiquement impuissant selon les critères d’aujourd’hui, permettait pourtant de réaliser une simulation en temps réel du vol aérien, sur une grille schématisée et limitée mais dans laquelle les règles de la perspective étaient respectées. (Les nouvelles versions du logiciel cachent sur leur carte une reproduction de cette grille primordiale. Lisez le manuel pour en trouver les coordonnées géographiques.) Quand je pense que ce fabuleux petit logiciel tenait en 12 Ko de langage machine seulement et que la version actuelle du Flight Simulator 2004 nécessite trois disques d’installation (et, qu’en plus, il fait planter mon portable parce qu’il surchauffe la puce en essayant de reproduire les paysages en haute définition), je me demande vraiment si toutes ces avancées technologiques en valent la peine. Un de mes amis avait programmé en langage machine (car en ce temps-là, les amateurs d’informatique étaient tous un peu programmeur, au moins en BASIC) un jeu de la vie, basé sur les automates cellulaires, que mêmes les versions actuelles n’accotent pas.
Je comprends donc pourquoi certains amateurs préfèrent garder leurs vieilles machines et les exploiter au maximum de leurs capacités plutôt que de toujours rechercher des technologies, de toute manière immatures et instables, qu’il est devenu impossible de maîtriser à cause de leur complexité croissante et de leurs changeants standards. Ces ordinateurs archaïques, l’équivalent électronique des règles à calcul dont je parlais dans mon billet du 25 mai 2006, peuvent néanmoins procurer de belles heures d’amusement sinon d’apprentissage pour qui s’intéresse à l’histoire des technologies. Bien que pour mon travail, je préfère tout de même me servir d’un ordinateur récent, doté de toutes les options !
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Le supercalculateur Cray-1, conçu en 1976 par Seymour Cray, est le premier superordinateur capable d'effectuer 100 millions d'opérations en virgule flottante par seconde (soit 100 Mflops). La phénoménale puissance de traitement des supercalculateurs est utilisée pour effectuer des calculs à grande échelle dans différents domaines, notamment pour des simulations en météorologie et en climatologie, en physique et dans le domaine de la réalité virtuelle. Depuis le début des années 2000, la vitesse de calcul des supercalculateurs se mesure en Tflops (milliers de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde
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La perforatrice IBM 010 a été l'une des premières machines destinées à perforer les cartes utilisées dans les tout premiers ordinateurs. Sur ces cartes, le codage de l'information était fondé sur une répartition particulière et spécifique des trous.
Les dispositifs de stockage de l'information sont aujourd'hui des disques optiques portant des alvéoles microscopiques inscrites dans le disque, qui jouent le même rôle que les trous perforés dans les cartes.