CHANTEUR
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
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Artiste, Chanteur, Compositeur et Musicien (Francais)
Né le 05 février 1952
Décédé le 14 janvier 1986 (à l'âge de 33 ans)
Daniel Balavoine est né le 5 février 1952 à Alençon en Normandie. Le jeune homme passe son enfance entre Bordeaux, Biarritz et Dax. Alors qu'il a juste seize ans, la révolte estudiantine de mai 68 se déclenche. Il y participe activement, depuis la ville de Pau où sa famille est installée. Il écrit même avec ses camarades un petit livre blanc sur la réforme de l'enseignement. Dans cet enthousiasme général, il envisage de devenir député. Mais son ambition est vite remise en question tant sa désillusion est grande quand le mouvement s'arrête. L'année suivante, il se produit comme chanteur avec différents groupes comme Memphis, Shade's, ou Réveil avec lequel il monte à Paris en 1970. Le résultat n'est pas concluant et la formation se dissout. Daniel Balavoine trouve alors une place dans le groupe Présence. Le succès n'est pas au rendez-vous mais cela lui permet de faire de nombreux galas en Province et de se roder.
Présence enregistre deux titres chez Vogue mais le disque passe complètement inaperçu. Finalement, le groupe se disloque. En 72, Balavoine tente une carrière solo et enregistre un 45 tours qui n'a aucun succès. L'année suivante, reconverti en choriste, il se présente avec son frère Guy à l'audition d'une comédie musicale. Il est alors engagé pour chanter dans "la Révolution Française" au Palais des Sports à Paris. Malgré une distribution inattendue, des Martin Circus aux Charlots en passant par le chanteur Antoine, le spectacle - dont les chansons sont composées par Claude-Michel
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Elvis Aaron Presley est né le 8 janvier 1935 et est décédé le 16 août 1977. Entre ces deux dates, l'Amérique a connu la Seconde Guerre mondiale, le baby-boom, la prospérité, le rock et la contre-culture. Elvis allait devenir le roi du rock'n'roll avant de sombrer dans une caricature de crooner à Las Vegas.
Sa mort va créer deux personnages distincts: le «jeune Elvis», qui incarne la réussite du rêve américain, la fusion du blues, du gospel, du rockabilly, de la musique noire et de la musique blanche et le «vieux Elvis», bouffi par l'inactivité et les drogues, qui meurt seul dans sa salle de bains de Graceland.
L'anniversaire de sa mort, le vingt-cinquième, ouvre la porte de nouvelles réflexions sur le phénomène du King. Ses fans aussi vieillissent et il semble bien que les moins de 30 ans le connaissent peu. Qui va perpétuer l'héritage de cet homme à travers lequel l'Amérique se mire, à la fois effrayée et extasiée? [SIZE=14]
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C'est arrivé le 16 août 1977 : Le chanteur américain Elvis Presley meurt à Memphis (Tennessee) à l'âge de 42 ans.
Toutes les stations de radio, sur l'ensemble du territoire américain, ont interrompu leur programme : Elvis, le King, le roi du rock'n'roll, n'est plus. Elvis Presley meurt d'une crise cardiaque. Au cours des dernières années, il avait été plusieurs fois hospitalisé pour la même raison. A 42 ans, épuisé, il laisse des millions de fans éplorés. Un communiqué tombe: "Il était le symbole de la vitalité, de l'esprit de rebellion et de la bonne humeur de ce pays!". Il est signé Jimmy Carter, président des Etats-Unis. Que de chemin parcouru, entre cette reconnaissance, la plus officielle qui soit, entre le milliard de disques vendus, et les débuts, au milieu des années 50, d'un certain Elvis Presley, natif de Tupelo, Mississippi... En effet, l'arrivée de ce jeune blanc, qui chante comme un noir, ne se fit pas sans craintes ni grincements de dents. Sa voix, ses cheveux gominés, noircis, ses pattes, et surtout ses jeux de scène si suggestifs font peur aux parents. Son premier album fait un succès fou et un million de disques sont vendus en une semaine. Mais ils font se pâmer toute la jeunesse, celle qui aime aussi le James Dean de "La fureur de vivre". "Mères de familles, surveillez vos filles, Elvis arrive !", titrent certains journaux. Lors de ses premiers shows télévisés, le chanteur est filmé en plan américain, pour éviter de montrer ses déhanchements érotiques, subversifs, choquants... Le chanteur s'est nourri de blues, de country et de gospel qu'il chante et accompagne à la guitare, le dimanche à l'église, dans Sud où il est né. Le King fait bientôt exploser la musique populaire ; il conquiert l'Amérique. Très vite, le mythe s'empare de lui. Les enregistrements, les tournées et les films se suivent frénétiquement. Une telle popularité est sans précédent et mêle aujourd'hui encore plusieurs générations unies dans une même vénération. Cinq mille fan-clubs diffusent l'image d'Elvis dans le monde entier. Graceland, la résidence de la famille Presley à Memphis (Tennessee) , est un lieu de pélerinage et de recueillement. Mais au-delà des légendes, des entreprises de show-business, demeure la musique. Comment comprendre tout le rock'n'roll, Buddy Holly, Eddie Cochran ou Gene Vincent sans le King ?
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Artiste, Chanteur et Musicien (Américain)
Né le 08 janvier 1935
Décédé le 16 août 1977 (à l'âge de 42 ans)
Elvis Aron Presley, est né le 8 janvier 1935, à Tupelo dans le Mississippi. En 1948, la famille Presley s'installe à Memphis. Elvis obtient son bac au collège Humes en 1953. Durant l'été, il enregistre un 45 tours: My Happiness et That's Wen Your Heartaches Begin au Memphis Recording Service (siège de Sun Records) pour offrir à sa mère. En juillet 1954, le propriétaire-producteur de Sun Records, Sam Phillips, présente Elvis à deux musiciens locaux, le guitariste Scotty Moore et le contrebassiste Bill Black. Le 5 juillet, le trio enregistre That's All Right, Mama avec Blue Moon of Kentucky en face B. le disque sort sous le label Sun le 19 juillet. C'est le premier disque d'Elvis. Les trois associés continuent d'enregistrer et commencent à jouer dans la région. Le batteur D. J. Fontana se joint au groupe en 1955.
Le colonel Tom Parker devient le manager d'Elvis. En novembre, il signe avec RCA Records qui sera son label pour tout le reste de sa carrière. En 1956, Heartbreak Hotel, le premier 45 tours d'Elvis chez RCA (et premier disque d'or), sort en janvier, suivi en mars de son premier album Elvis Presley. Il apparaît pour la première fois à la télévision dans l'émission Stage Show, et la même année, dans The Milton Berle Show, The Steve Allen Show et The Ed Sullivan Show. En novembre, la première du premier film d'Elvis, Love Me Tender, a lieu à New York.
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Elvis Aaron Presley, surnommé « The King », (8 janvier 1935 à Tupelo, Mississippi - 16 août 1977 à Memphis, Tennessee) était un chanteur et un acteur américain. Son influence sur la culture musicale est mondiale.
De son vivant, Elvis a vendu 700 millions de disques, a joué dans 31 films, donné 1 054 concerts aux États-Unis et trois au Canada, donné 525 spectacles à Las Vegas. Il a été le premier chanteur à donner un concert en mondiovision en 1973, concert regardé simultanément par un milliard de téléspectateurs dans 43 pays. Il est apparu dans sept émissions de télévision. À sa mort, sa fortune personnelle représentait 100 millions USD.
De sa mort en 1977 à 1980, il s'est vendu 400 millions de disques d'Elvis. Pendant ces quatre années consécutives, il a été l'artiste décédé qui a rapporté le plus d'argent.
En 2006, il s'est vendu près de deux milliards de disques (CD compris) d'Elvis en tout, ce qui est un record absolu.
Le tout premier concert virtuel qui lui est consacré a tourné pendant six ans dans le monde entier.
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Un bien étrange producteur...
En 1974, Mike, qui continue à chercher sa voie, change de producteur. Il quitte Charles Talar pour signer avec Simon Wajntrob.
Ce producteur connaît la terre entière, possède de grands bureaux sur les Champs-Elysées, une Rolls bleue, et côtoie le monde des chevaux et de la peinture. Mike n'est pas un homme d'affaires et il se laisse facilement impressionner par Wajntrob qu'il rencontre un soir dans le club de son amie, la chanteuse Dani.
Avec ce producteur, Mike, qui cherche à briser sa solitude et à connaître de nouveaux horizons, découvre un autre monde encore plus fou, celui des milliardaires, des yachts et des ports privés, des écuries de courses et des haras, des manoirs en Normandie et en Sologne, des jolies femmes aristocrates...
Mais comment garder les pieds sur terre dans ce milieu coupé des réalités de la vie ? Mike a-t-il fait le bon choix ? Ses proches en doutent !
C'est comme ça que je t'aime
En 1974, les tubes qu'il enregistre pour Simon Wanjtrob sont C'EST COMME ÇA QUE JE T'AIME, SERRE LES POINGS ET BATS-TOI, ON SE RETROUVE PAR HASARD et, à l'automne, QUI POURRAS TE DIRE ?
A Noël, Mike sort un nouveau disque, son quatrième et dernier album. Il cherche de nouveaux horizons artistiques et avertit : «Jusqu'alors, j'étais jeune, j'étais novice dans le métier et même si, souvent, j'ai eu le sentiment d'avoir raison, je me suis toujours rangé à l'avis de mon entourage. Désormais, terminé ! Je veux être un artiste, un vrai, qui fonctionne selon les élans de son coeur. Sachez qu'en ce sens, ma carrière est en train de prendre un tournant décisif.»
Et puis, Mike est perturbé par la guerre entre Israël et ses voisins, son frère se bat sur le front du Gola. Il part chanter devant les soldats combattants et visiter longuement les blessés dans les hôpitaux...
Mike pleure dans les loges
Mike Brant supporte-t-il encore sa gloire et sa condition de star ? Ce n'est pas sûr ! Son comportement devient vraiment étrange.
Le 4 mai 1974, lors d'un gala à Boissy-Saint-Léger, il s'arrête à la quatrième chanson, délaisse 4000 spectateurs médusés et se sauve dans la nuit...
Le 11, à Cambrai, il casse le miroir de sa loge à coups de poing. Désormais, il pleure dans les loges avant d'entrer en scène... Mike ne va pas bien et tout le monde s'en rend compte.
Pourtant Mike n'a jamais été aussi populaire. Il avoue à cet instant à la journaliste Monique Pantel qu'il voudrait tourner un film et qu'il n'aime pas les minettes hystériques parce qu'elles crient pendant qu'il chante, sans l'écouter vraiment. «Il avait, dans le travail, se souvient un de ses photographes attitrés, Bernard Leloup, un caractère de cochon, exigeant et méticuleux.»
Fin juillet 1974, il va se reposer à La Seyne-sur-Mer, près de Toulon, puis durant l'automne en Suisse, à la montagne, à Saint-Cergues, près de Genève.
Première tentative de suicide
Le 22 novembre 1974, à bout, Mike fait une première tentative de suicide, en se jetant du cinquième étage de l'hôtel de la Paix, à Genève. Ses chaussures à talons l'arrêtent au troisième étage.
Dalida et Charles Aznavour viennent discrètement le visiter à l'hôpital et soutenir son moral chancelant. Auprès de ses amis, il s'excuse de son geste, qui l'a dépassé : il n'est pas doué, dit-il, pour le bonheur. «J'aime la vie, je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça !» Finalement, Mike Brant s'en sort bien, il en est quitte pour un traumatisme crânien (encore un !) des fractures des deux jambes, dont une ouverte, de la gauche, qui perdra dans l'épisode deux ou trois centimètres. Bientôt, à sa grande fierté, il arrive à marcher sans béquilles, mais en serrant les dents...
Ses proches s'inquiètent
Sa mère et son frère ainsi que sa fiancée Lena arrivent à son chevet.
Zvi, son frère, prend conseil auprès d'un professeur de Jérusalem qui lui dit : «Votre frère doit venir se faire soigner ici, chez lui. Car même s'il a affaire, en Suisse, aux plus grands psychiatres, aucun d'eux ne pourra comprendre ses souffrances... Ce sont celles d'un enfant né de parents ayant survécu à l'Holocauste.» Mais Mike ne veut pas rentrer au pays et sa famille ne peut l'obliger à le faire.
Désormais, Mike devient instable et oscillera en plus entre euphorie et mélancolie. Ses colères sont terribles, ses crises d'abattement également.
«Entre la première et la deuxième tentative de suicide, je sentais bien que Mike allait mal, peut-être parce qu'il était devenu trop lucide et ce, même s'il disait qu'il ne recommencerait plus», précise Michel Jourdan.
Une dernière chanson
Le 2 février, dans sa petite chambre de l'hôpital de Genève, il fête, dans la bonne humeur, son vingt-huitième anniversaire, avec sa mère, ses deux infirmières et son chirurgien. Celui-ci annonce pourtant une cinquième opération de la jambe gauche, partiellement atrophiée.
Mike et ses paroliers travaillent intensément la phonétique des textes de ses chansons, afin de mieux servir sa voix bouleversante. Et il continue à être le plus gentil des chanteurs, qui n'hésite pas à se déguiser en Père Noël pour ses fans. À Toulouse, Mike conseille utilement une maman désespérée par sa petite fille muette : «Laissez une lampe allumée près de son lit.» Il confie : «Un jour, j'aurai un enfant et ce sera une renaissance...» Mais il n'aura pas le temps de tout dire...
Au printemps, Mike Brant enregistre, à Toulouse, l'adaptation du célèbre tube de Morris Albert, FEELINGS, sous le titre DIS-LUI. «Mike était très occupé, donc je n'avais jamais l'occasion de lui parler des chansons avant qu'il les enregistre. Et sans connaître la chanson, il l'interprétait avec une émotion extraordinaire ! Il avait un instinct du phrasé, de la respiration. C'était un immense interprète...» dira Michel Jourdan.
A l'écoute de DIS-LUI, Mike est satisfait et il confie à son complice, Michel Jourdan, qui en a écrit les paroles : «Nous irons à l'Olympia avec cette chanson.»
Quelques jours plus tard, il vient d'arrêter le traitement qu'il suivait et qui le faisait grossir, Mike doit faire sa rentrée à la télévision chez Guy Lux et à la radio à RTL et, doit même visiter un appartement avec Lena, sa fiancée, le vendredi 25 avril...
Une mort mystérieuse
Ce vendredi-là pourtant, après avoir écouté le premier mixage de DIS-LUI, Mike Brant se jette du sixième étage d'un immeuble parisien...
Quand la nouvelle tombe, des milliers de jeunes pleurent la mort de leur idole. Sur toute les lèvres et dans tous les regards les mêmes questions : «Pourquoi un homme aussi jeune, aussi beau et aussi doué s'est-il suicidé ?», «Que pouvait-on faire pour l'en empêcher ?»...
Pendant la cérémonie religieuse, à la synagogue du 44 rue des Victoires, à Paris, il y a un monde fou. Le chagrin qui remplit le coeur des personnes présentes est insoutenable. Le temps s'est arrêté... à jamais.
Des morts en série
Moshe Brand, dit Mike Brant, qui rêvait de créer une chorale d'enfants de toutes les couleurs et de tous les pays, est enterré le 7 mai 1975 au cimetière du camp David d'Haïfa.
Au-dessus de sa tombe, un arbre coupé pour symboliser une vie brisée.
En 1983, sa mère meurt d'un second infarctus, en fait, de chagrin.
Mais ce n'est pas tout : son secrétaire Alain Krief ainsi que son dernier producteur Simon Wajntrob mourront bientôt de mort violente, sans que la police ait jamais pu déterminer s'il s'agissait de suicide ou de meurtre !
Que se passe-t-il dans l'entourage de Mike Brant ?
La presse populaire parlera peu de ces affaires «pas normales» mais s'étendra longuement sur le portrait astrologique de Mike Brant, qui révèle un être assoiffé d'amour...
Aujourd'hui, son fan-club entretient soigneusement la mémoire de Mike Brant. Et tous les enfants qui entendaient leurs parents se passer ses disques (dont TOI MON ENFANT de 1973...) prennent le relais et deviennent à leur tour des porteurs de la flamme de l'idole disparue et toujours si présente.
Qui saura vraiment ?...
Toutes les hypothèses sont ouvertes. Une grosse dépression ? Une saturation psychologique liée à son métier, mais également à son enfance ou à son entourage ? Dans son numéro de septembre 1995 de VSD, le chanteur Dave parlait de révélations qui lui avaient été faites par le dernier producteur de Mike, Simon Wajntrob, mettant en cause certaines personnes de l'entourage du chanteur qui l'auraient poussé psychologiquement à son geste fatal... Mike Brant s'est-il suicidé ou a-t-il été la cible d'une organisation qui a méticuleusement étouffé l'affaire ? Saura-t-on jamais ?
L'ancien réalisateur en chef de Salut les Copains, Eric Vincent, dira après coup : «Mike Brant était fragile pour exercer un métier public»
Son parolier Michel Jourdan, qui le connaissait si bien, écrira pour sa part, dans le livre Il n'a pas eu le temps : «A cause de l'Holocauste subi par leurs parents, les enfants de déportés restent marqués à vie. Ils héritent, plus ou moins, d'une sorte de brouillard au fond des yeux et de bleus à l'âme à jamais indélébiles...» Voilà peut-être l'explication du mystère Mike Brant.