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Date de création : 22.12.2007
Dernière mise à jour : 06.03.2012
73835 articles


ORDINATEUR

PREMIER ORDINATEUR 12

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 12
Je me rappelle d’ailleurs fort bien de mon premier ordinateur, un TRS-80 modèle 1, fabriqué et distribué par Tandy Radio Shack. Cette machine, qui coûtait plus d’un millier de dollars (et c’était une coquette somme en 1979), possédait 12 Ko de mémoire vive, un écran monochrome dont la résolution était de 128 X 48, une puce Zilog Z80 dont la vitesse de calcul atteignait les 1,77 Mz. Le stockage de données s’effectuait via un vulgaire magnétophone qui enregistrait les programmes (en binaire) sur cassettes. Le logiciel d’exploitation était une variation sur le DOS.

J’étais émerveillé, et je le suis encore quand j’y pense, par le simulateur de vol fourni avec le système. Ce programme était le grand ancêtre du Flight Simulator 2004. Cet ordinateur primitif, et pratiquement impuissant selon les critères d’aujourd’hui, permettait pourtant de réaliser une simulation en temps réel du vol aérien, sur une grille schématisée et limitée mais dans laquelle les règles de la perspective étaient respectées. (Les nouvelles versions du logiciel cachent sur leur carte une reproduction de cette grille primordiale. Lisez le manuel pour en trouver les coordonnées géographiques.) Quand je pense que ce fabuleux petit logiciel tenait en 12 Ko de langage machine seulement et que la version actuelle du Flight Simulator 2004 nécessite trois disques d’installation (et, qu’en plus, il fait planter mon portable parce qu’il surchauffe la puce en essayant de reproduire les paysages en haute définition), je me demande vraiment si toutes ces avancées technologiques en valent la peine. Un de mes amis avait programmé en langage machine (car en ce temps-là, les amateurs d’informatique étaient tous un peu programmeur, au moins en BASIC) un jeu de la vie, basé sur les automates cellulaires, que mêmes les versions actuelles n’accotent pas.

Je comprends donc pourquoi certains amateurs préfèrent garder leurs vieilles machines et les exploiter au maximum de leurs capacités plutôt que de toujours rechercher des technologies, de toute manière immatures et instables, qu’il est devenu impossible de maîtriser à cause de leur complexité croissante et de leurs changeants standards. Ces ordinateurs archaïques, l’équivalent électronique des règles à calcul dont je parlais dans mon billet du 25 mai 2006, peuvent néanmoins procurer de belles heures d’amusement sinon d’apprentissage pour qui s’intéresse à l’histoire des technologies. Bien que pour mon travail, je préfère tout de même me servir d’un ordinateur récent, doté de toutes les options !


PREMIER ORDINATEUR 11

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 11
Le supercalculateur Cray-1, conçu en 1976 par Seymour Cray, est le premier superordinateur capable d'effectuer 100 millions d'opérations en virgule flottante par seconde (soit 100 Mflops). La phénoménale puissance de traitement des supercalculateurs est utilisée pour effectuer des calculs à grande échelle dans différents domaines, notamment pour des simulations en météorologie et en climatologie, en physique et dans le domaine de la réalité virtuelle. Depuis le début des années 2000, la vitesse de calcul des supercalculateurs se mesure en Tflops (milliers de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde

PREMIER ORDINATEUR 10

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 10
La perforatrice IBM 010 a été l'une des premières machines destinées à perforer les cartes utilisées dans les tout premiers ordinateurs. Sur ces cartes, le codage de l'information était fondé sur une répartition particulière et spécifique des trous.

Les dispositifs de stockage de l'information sont aujourd'hui des disques optiques portant des alvéoles microscopiques inscrites dans le disque, qui jouent le même rôle que les trous perforés dans les cartes.


PREMIER ORDINATEUR 9

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 9
Conçu en 1946 par les Américains John Eckert et John Mauchly, UNIVAC I fut le premier ordinateur électronique disponible dans le commerce. Il fut également le premier à traiter l'information aussi bien textuelle que numérique.

PREMIER ORDINATEUR 8

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 8
En 1943, Howard Aiken et une équipe de chercheurs d'IBM mettent au point un gigantesque calculateur programmable de 5 tonnes (16 m de long) : l'Automatic Sequence Controlled Calculator (ASCC), plus connu sous le nom de Mark I. Présenté à l'université de Harvard en 1944, ce calculateur sera notamment utilisé par la marine américaine (US Navy) pendant la Seconde Guerre mondiale.

PREMIER ORDINATEUR 7

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 7
Conçu econtenait 18 000 lampes à vide et pesait trente tonnes. Sa programmation nécessitait une intervention manuelle humaine n 1945 à l'université de Pennsylvanie, l'ENIAC (Electronic Numerator Integrator and Computer), a été inventé par deux ingénieurs américains John Presper Eckert (1919-1995) et John William Mauchly (1907-1980). En service pendant 9 ans, il

PREMIER ORDINATEUR 6

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 6
Cet ordinateur, le premier fabriqué en grande série, coûtait un demi-million de dollars, occupait à lui seul une pièce entière et sa mémoire contenait jusqu'à 2000 mots.

PREMIER ORDINATEUR 5

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 5
Le 1er ordinateur a 50 ans
Vincent Alzieu | 16 avril 2005
Livré pour la première fois le 8 décembre 1954 à une compagnie d'assurances de Boston aux Etats-Unis, l'IBM 650 est arrivé chez nous, en France, il y a 50 ans.
A cette époque, pas question de l'appeler computer comme les anglo-saxons. Il fallait un mot français.

Le responsable de la publicité eut l'idée de contacter son ancien maître à la Sorbonne, le latiniste Jacques Perret. Ce dernier proposa le 16 avril 1954 le mot d'ordinateur, un mot " correctement formé, qui se trouve même dans le Littré comme adjectif désignant Dieu qui met de l'ordre dans le monde".


histoire ordinateur 4

Publié à 12:00 par georgessylviemarie
histoire ordinateur   4
A son lancement en Janvier 1983, Steve Jobs annon�a : "Nous devons nous pr�parer � vivre avec Lisa pour les dix ann�es � venir".
Mais l'avenir r�serva � ce nouveau n� une toute autre destin�e...
Lisa est aussi le pr�nom de la fille de Steve Jobs mais il signifie aussi: Local Integrated Software Architecture. En effet, ce f�t le premier ordinateur d'Apple � int�grer une GUI (interface graphique) inspir�e, mais am�lior�e, des travaux du PARC. Jobs scella un contrat dans lequel Xerox pouvait faire l'acquisition de 100 000 actions Apple contre la r�v�lation de quelques secrets de d�veloppement du PARC.
Alors que les traitements de texte professionnels traditionnels proposaient un choix de polices de caract�res limit� � celles r�sidentes dans l'imprimante (si elle en disposait plusieurs...), que la pagination et la pr�visualisation du document �taient approximatives (mode texte seulement) et qu'il fallait jouer de patience pour int�grer une image � la position voulue sur ce document, Lisa nous offrait le WYSIWYG!
Equip� de 1 Mo de RAM (512Ko environ �taient utilis�s par le Lisa Desktop Manager et les librairies) et d'un disque dur de 5 Mo, ce syst�me f�t pr�sent� par Apple comme l'outil professionnel convivial par excellence!.
Au moi de Juin , la commercialisation commen�a. D'une valeur de 10000$, Lisa �tait ch�re, surtout lorsqu'on consid�re qu'a ce prix le disque dur �tait absent! (option 10 Mo � plus de 1000$). Il est clair que Lisa n'�tait pas destin�e � toutes les bourses...

Si nous comparons l'ordinateur Lisa � ceux de sa g�n�ration, nous remarquons qu'il comporte un nombre important d'�l�ments originaux:
Au niveau mat�riel:
Il est pilot� par une simple souris munie d'un seul bouton (au lieu de trois chez Xerox)
Le clavier est ind�pendant de l'unit� centrale contrairement aux Apple II et ///.
Il int�gre un syst�me de v�rification du mat�riel sous forme d'ic�ne qui s'ex�cute d�s le d�marrage.
L'unit� centrale est imposante et de forme assez curieuse, elle est cependant facile d'acc�s car tous les �l�ments principaux qui la composent sont mont�s sur carte et s'ins�rent sur une carte m�re:

Deux cartes RAM de 512 Ko chacune soit au total 1 Mo! Cette profusion de RAM est l'une des causes de la chert� de Lisa.: En 1983, le prix du Ko de RAM �tait tr�s �lev� (le premier Macintosh n'eut que 128 Ko � cause du prix �lev� des composants m�moires...).
Une carte CPU Motorola 68000 � 5 Mhz. (d�munie d'une horloge temps r�el)
Une carte d'interface E/S.
Les cartes sont identifi�es par des couleurs que l'on retrouve chacun des slots. Ce marquage permet d'ins�rer chaque carte dans le connecteur auquel elle est destin�e.
Trois autres slots d'extensions sont disponibles. La carte contr�leur SCSI et la carte parall�le y furent le plus souvent install�es.
La taille du lecteur de disquettes 5"1/4 (appel� "Twiggy") est plut�t fine et sa capacit� de 860 Ko est appr�ciable certes, mais bien loin des normes du march�. La m�canique d'�jection des disquettes est pilot�e par logiciel (comme sur Macintosh). Le disque dur "Profile 5 Mo" est emprunt� aux p�riph�riques de l'Apple ///.
Le bouton Marche/Arr�t passe l'ordinateur dans un mode de veille apr�s l'execution d'une proc�dure de sauvegarde des documents ouverts.
Un num�ro de s�rie, unique pour chaque Lisa est int�gr� � l'�lectronique. Il peut �tre lu via un logiciel � des fins d'identification (sur r�seaux par exemple). C'est aussi une bonne m�thode anti-piratage car chaque logiciel, d�s la premi�re installation, �tait marqu� du num�ro de s�rie. (tiens, tiens... Intel se serait-il inspir� des id�es d'Apple lors de la conception de son Pentium /// ?)



PREMIER ORDINATEUR 3

Publié à 12:01 par georgessylviemarie
PREMIER ORDINATEUR 3
ATARI 1040 ET IL I AVAIT AUSSI LE 520 ST ET LE 520 STE

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