Publié à 12:07 par lusile17
Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
Publié à 12:05 par lusile17
Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
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Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
Publié à 12:03 par lusile17
Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
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Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
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Sainte Thérése de l'Enfant Jésus quatre mois avant sa mort (7 juin 1897)
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Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
« Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face ». Ses quatre sœurs deviennent également toutes religieuses :
-Marie, née le 22 février 1860, morte le 19 janvier 1940, carmélite à Lisieux sous le nom de sœur Marie du Sacré-Cœur
-Pauline, née le 7 septembre 1861, morte le 28 juillet 1951, carmélite à Lisieux sous le nom de Mère Agnès de Jésus
-Léonie, née le 3 juin 1863, morte le 16 juin 1941, visitandine à Caen sous le nom de sœur Françoise-Thérèse
-Céline, née le 28 avril 1869, morte le 25 février 1959, carmélite à Lisieux sous le nom de sœur Geneviève de la Sainte-Face.
Thérèse est la plus jeune
Publié à 11:57 par lusile17
Sainte Thérése de l'Enfant Jésus
Sur les genoux de sa mére la "Petite Thérèse " apprend à prier.
La vie de sainte Thérèse de Lisieux a été très courte.
Elle comporte deux périodes : 15 ans en famille et 9 ans au Carmel
Elle est née à Alençon en 1873. Elle était la dernière de cinq filles d'une famille très chrétienne
A l'âge de 4 ans, elle perd sa mère et son père s'installe à Lisieux pour se rapprocher d'une partie de la famille. Elle choisit sa sœur Pauline comme seconde maman et elle est très éprouvée à 9 ans lorsque Pauline entre au Carmel.
Publié à 11:56 par lusile17
Sainte Thérése de l'Enfant Jésus a l'age de 3 ans
Thérèse Martin naît au 12 rue Saint-Blaise à Alençon, le 2 janvier 1873.
Son père Louis Martin (°1823 - †1894) est horloger, et sa mère Zélie-Marie Guérin (°1831 - †1877) dentellière du point d'Alençon. Tous les deux, de la plus grande piété, font partie de la bourgeoisie aisée d'Alençon. Louis aurait voulu devenir chanoine dans la congrégation des chanoines réguliers du Grand Saint-Bernard (Valais - Suisse), mais son ignorance du latin l’en empêcha. Zélie-Marie avait voulu entrer au couvent, mais on lui avait répondu qu’elle n’avait pas la vocation. Aussi s'était-elle promis, si elle se mariait, de donner si possible tous ses enfants à l'Église
Louis et Zélie-Marie se rencontrent en 1858 et se marient le 13 juillet, tout en ayant décidé de vivre comme frère et sœur dans une continence perpétuelle. Leur confesseur les en ayant dissuadés, ils ont neuf enfants, mais seules cinq filles parviennent à l'âge adulte. Thérèse est la plus jeune ; c'est elle qui devient en religion « Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face ». Ses quatre sœurs deviennent également toutes religieuses :
-Marie, née le 22 février 1860, morte le 19 janvier 1940, carmélite à Lisieux sous le nom de sœur Marie du Sacré-Cœur
-Pauline, née le 7 septembre 1861, morte le 28 juillet 1951, carmélite à Lisieux sous le nom de Mère Agnès de Jésus
-Léonie, née le 3 juin 1863, morte le 16 juin 1941, visitandine à Caen sous le nom de sœur Françoise-Thérèse
-Céline, née le 28 avril 1869, morte le 25 février 1959, carmélite à Lisieux sous le nom de sœur Geneviève de la Sainte-Face.
Publié à 11:56 par lusile17
Sainte Thérése de l'Enfant Jésus a l'age de 5 ans
À quatre ans et demi, Thérèse perd sa mère emportée par un cancer du sein le 28 août 1877. La famille s’installe alors à Lisieux pour se rapprocher du frère de Zélie, le pharmacien Isidore Guérin. Son éducation est l'œuvre, en grande partie, des bénédictines de Lisieux. Après l’entrée de sa sœur Pauline, "sa seconde maman", dans les ordres en octobre 1882, Thérèse tombe gravement malade. Elle passe près de la mort, mais elle est sauvée le 13 mai 1883 après avoir prié avec ferveur devant la statue de la Vierge placée dans la chambre. Un miracle se produit, elle voit la Vierge lui sourire. Sa sœur aînée, Marie, rentre dans les ordres en octobre 1886. Après le départ de sa "troisième maman", Thérèse pleure à propos de tout jusqu'à sa complète conversion après la messe de minuit de Noël 1886. Cette nuit-là, le Seigneur lui donne sa force divine. Après la condamnation à mort de l'assassin Pranzini au cours de l'été 1887, Thérèse trouve sa vocation : "la conversion des pécheurs par ses prières et le don de sa personne à l'Amour Miséricordieux." Pranzini ayant embrassé la Croix avant de mourir, elle va continuer de prier pour tous les pécheurs et souhaite rentrer au Carmel de Lisieux dès Noël 1887, mais elle devra attendre jusqu'au 9 avril 1888.