Publié à 20:12 par lusile17
Fête : le 13 Juillet
Étymologie : Féminin de Joël.
Joëlle est apparue beaucoup plus tard que Joël. C'est, semble-t-il, une invention française : on n'en trouve trace ni dans la Bible ni chez les protestants américains du XVIIe siècle. Aujourd'hui, lorsque les anglo-saxons l'utilisent, souvent sous la forme de Joella, ils y voient un french first name. Joëlle a connu un succès semblable à celui de son homologue masculin et à peu près dans les mêmes années, mais son déclin a été plus sévère et il est devenu très rare.
Publié à 20:03 par lusile17
À éviter avec un nom de famille commençant par L.
Couleur : bleu Chiffre : 5 Signe associé : Lion
Etymologiede l’hébreu yô’el, « Iavhé est Dieu ». Joël, l’un des douze « petits » prophètes de la Bible, vécut environ cinq siècles av. J.-C. C’est un prénom parfaitement biblique et non, comme on le croit parfois, breton
Histoire et caractère:
Au caractère, Joël est un être de volonté et d’intuition, qui passe également pour un merveilleux conteur ; son imagination fertile et jaillissante, sa sociabilité, son dynamisme en font un compagnon agréable et sûr. Joëlle, pour sa part, ajoute à ce tableau l’ombre de l’anxiété, qu’elle surmonte habituellement par ses capacités de dévouement ; trop livrée à son monde intérieur, il peut lui arriver de se montrer asociable et d’humeur difficile. C’est en se révélant capable d’ouverture et d’intérêt pour le monde extérieur qu’elle balaye ces inconvénients.
Publié à 19:49 par lusile17
Joëlle
Le J est la lettre du perfectionnement.
Il a l'esprit d'initiative et de prévision. Il est énergique, spontané, et souvent chanceux. Il possède de grandes qualités de jugement et d'à-propos. Il aime voir son cadre de vie se modifier. Au niveau sentimental, il a rarement des problèmes, et sa vie suit une évolution heureuse. Il est cependant sujet à voir ses liaisons amicales se rompre.
Publié à 19:43 par lusile17
Joëlle
Bref historique :Quoi de plus important dans la vie que son prénom ?
Le prénom est unique dans les sociétés primitives, quelquefois même inexistant. Nommer un enfant, c’est lui conférer certaines forces, ce qui revêt un caractère magique, auquel le plus grand nombre n’a pas accès. De même, dans la Chine ancienne le prénom donné à l’enfant est-il doté de pouvoirs magiques et suposé repousser les démons. Pour éviter que ces derniers, tenus responsables de la mort des nouveaux nés, ne fassent de mal à leurs petits, les parents choisissent des prénoms repoussants, tels que "visage laid" ou "grandes oreilles". Plus tard, une fois que l’enfant a atteint l’âge de deux ou trois ans, on lui choisi un "vrai" nom, qu’il gardera toute sa vie.
Publié à 19:40 par lusile17
Mon prénom
La distinction entre nom et prénom ne s’impose pas avant le Moyen Age. Les Grecs, comme plus tard les Gaulois ne portent qu’un nom. Les Hébreux, en revanche, utilisent jusqu’à trois noms pour désigner leurs nouveaux nés. C’est au Moyen Age que l’enfant se voit attribuer un nom de baptême, devenu obligatoire, et assez vite un surnom pour éviter les confusions. Ce surnom qui bien souvent est dû à une caractéristique physique devient nom de famille ou nom patronymique. Au XIVème siècle, la pratique du prénom multiple apparaît à Florence. Elle permet d’enrichir le répertoire des prénoms donnés, mais sa diffusion géographique et sociale sera lente, cette pratique ne se généralisant vraiment en France qu’au XIXème siècle.
Publié à 19:36 par lusile17
Mon prénom
Si l’éventail des prénoms est assez large chez les Hébreux, où il découle des circonstances de la naissance de l’enfant, d’une particularité physique ou des espoirs que l’on place en lui, il ne dépasse, en revanche, pas la vingtaine chez les Romains, où il est transmis de père en fils, ce qui ne favorise pas les évolutions. A partir du Moyen Age et jusqu’au XVIIIème siècle, on prénomme l’enfant en le plaçant sous le patronnage d’un saint. La tradition voulant que le nouveau né porte les prénoms de ses parrains et marraines ou grand parents, le corpus des prénoms usuels ne connaît, durant cette période, pas d’enrichissements majeurs. Du XVIème siècle au début du XVIIIème, le palmarès des prénoms les plus donnés varie peu. On trouve chez les garçons Jean, Nicolas et Pierre et se sont Catherine, Jeanne et Marie qui reviennent chez les filles.
Publié à 19:33 par lusile17
Joëlle : Dieu est Dieu (hébreu)
Rejettant les valeurs de l’Eglise et avec elles les saints patrons, la Révolution apporte un souffle nouveau dans ce domaine. Le prénom se laïcise et les sources d’inspiration se multiplient. Les prénoms se réfèrent alors à des hommes illustres contemporains ou de l’époque antique, à des événements historiques ou à la nature. Les Margueritte ou les Rose sont alors nombreuses, tandis que l’on trouve du côté des garçons Yves (if) ou encore Sylvestre et Sylvain (forêt). Dans un registre moins champêtre, apparaissent également des prénoms se référant au domaine de la guerre, comme Harold (puissant, armé) ou Armand (fort, armé)… Au XIXème, les prénoms régionaux et historiques se répandent et viennent augmenter le stock des prénoms usuels. C’est également au XIXème que l’attribution d’un deuxième et un troisième prénom devient chose courante. Cette pratique va aussi favoriser l’innovation.
Publié à 19:29 par lusile17
Joëlle : Dieu est Dieu (hébreu)
Toutefois, les nouveautés sont et restent encore de nos jours plus nombreuses parmi les prénoms féminins. C’est du côté des filles qu’on innove car elles ne possèdent pas la terre et ne transmettent pas le nom patronymique. Il convient également de noter une tendance parallèle et inverse dans ce domaine, qui a marqué pendant longtemps la culture judéo-chrétienne qui, en raison de son caractère patriarcale, a eu tendance à faire dériver les prénoms féminins à partir de prénoms masculins. De nos jours, on trouve encore de nombreux prénoms féminins qui découlent de dérivations de ce type: Patrice-Patricia, Stéphane-Stéphanie, Joseph-Joséphine, Alexandre-Alexandra… La liste est longue.
Publié à 18:51 par lusile17
Joëlle : Dieu est Dieu
Actuellement, la tendance est au mélange des cultures. Les prénoms à sonorité internationale cotoient leurs cousins francophones et aucune règle ne préside plus au choix d’un prénom. Mais s’il varie en fonction de la mode et des goûts personnels, ce choix n’en demeure pas moins important, d’autant qu’aujourd’hui l’utilisation du prénom l’emporte souvent sur celle du nom patronymique.
Publié à 18:42 par lusile17
Depuis 1900, 93643 enfants ont été prénommés JOELLE dont 75902 depuis 1950. Le maximum a été atteint en 1952 avec 5951 naissances.
Voyez ,mesdemoiselle que ce prénom n'est pas si rare que ça; pas commun c'est sur, mais SURTOUT PAS ringard
comme vous le dites. Je suis fiére de porter ce prémon et de ne pas m'appellé F....D...C....N... etc ...et j'ai echappe a Chantal!!!! merci maman, merci papa.