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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Le père Noël

Publié à 21:38 par lusile17
 Le père Noël
Père Noël

Poésies de Noël

Publié à 21:13 par lusile17
Poésies de Noël
L’étoile des bergers


Quand dans la froide nuit, au ciel

Dont les champs infinis s’azurent,

Passa l’étoile de Noël,

De pauvres bergers l’aperçurent.



Laissant là chèvres et moutons,

Prenant crosses et sacs de toile,

Ils dirent aussitôt : Partons !

Et suivirent l’errante étoile.



Les autres, amis du repos,

Les prudents et les économes,

Rirent, en gardant leurs troupeaux,

De la démence de ces hommes.



Quand ils revinrent, étonnés,

Contant, comme un fait véritable

Que l’astre les avait menés

Voir un enfant dans une étable,



Des voleurs avaient, à ces fous,

Pendant leur absence funeste,

Pris bien des brebis, et les loups

Dévoraient déjà tout le reste ;



Et l’on se moqua beaucoup d’eux :

« Garder son bien, voilà l’utile !

Pourquoi donc courir, hasardeux,

Après une étoile qui file ? »



Mais souffrir et n’avoir plus rien

Contentait ces humbles apôtres ;

Le peu qui leur restait de bien,

Ce fut pour le donner aux autres.



Fidèles au divin signal

Qu’ils avaient suivi sans rien dire,

Ils rendaient le bien pour le mal

Et pour outrage un sourire.



La nuit, près du fleuve, en secret,

Ils chantaient en chœur, sous les saules,

Et quand un agneau s’égarait,

Ils le portaient sur leurs épaules ;



Bons, ils pardonnaient au méchant

Et par un merveilleux mystère,

Ils absolvaient, en les touchant,

Tous les pécheurs de cette terre.



Et les autres bergers, pleins d’or,

Dont l’avarice méprisable

Creusait, pour y mettre un trésor,

Des trous dans la chaleur du sable,



Avaient des haines d’envieux

Pour ces pauvres de sainte mine

Qui gardaient au fond de leurs yeux

Un peu de l’étoile divine.

François COPPÉE.

poésies de Noël

Publié à 20:53 par lusile17
poésies de Noël
Les trois rois

Trois rois sont venus équitation de lointain,
Melchior et Gaspar et Baltasar ;
Trois hommes sages hors de l'est étaient eux,
Et ils ont voyagé par nuit et ils ont dormi par jour,
Pour leur guide était un beau, merveilleux tient le premier rôle.

Le tenir le premier rôle était si beau, grand et clair,
Que tout autre tient le premier rôle du ciel
Est devenue une brume blanche dans l'atmosphère,
Et par ceci ils ont su que venir était près
Du prince prévu dans la prophétie.

Trois cercueils ils ont concerné le leur seller-cintre,
Trois cercueils d'or avec des clefs d'or ;
Leurs robes longues étaient de soie cramoisie avec des rangées
Des cloches et les grenades et les furbelows,
Leurs turbans aiment les amande-arbres de floraison.

Et ainsi les trois rois sont montés dans l'ouest,
Par le crépuscule de la nuit, de la colline finie et du vallon,
Et parfois ils ont incliné la tête avec la barbe sur le sein,
Et parfois parlé, comme ils ont fait une pause pour se reposer,
Avec le peuple ils se sont bien réunis à un certain bord de la route.

« De l'enfant qui naît, » a dit Baltasar,
Les « bonnes gens, je vous prie, nous dis les nouvelles ;
Pour nous dans l'est avons vu le sien tenir le premier rôle,
Et sont montés rapidement, et sont montés loin,
Pour trouver et adorer le roi des juifs. «

Et les personnes répondues, « vous demandez en vain ;
Nous savons sans roi mais Herod le grand ! «
Ils ont pensé que les hommes sages étaient des hommes aliénés,
Comme ils ont stimulé leurs chevaux à travers la plaine,
Comme des cavaliers dans la rapidité, qui ne peut pas attendre.

Et quand ils sont venus à Jérusalem,
Herod le grand, qui avait entendu cette chose,
Envoyé pour les hommes sages et interrogé leur ;
Et dit, « aller vers le bas à Bethlehem,
Et m'apporter les tidings de ce nouveau roi. «

Ainsi ils sont montés loin ; et le tenir le premier rôle se tenait toujours,
Le seul dans le gris du matin ;
Oui, il s'est arrêté --il se tenait toujours de sa propre volonté libre,
Bethlehem fini droit sur la colline,
La ville de David, où le Christ est né.

Et les trois rois sont montés par la porte et la garde,
Par la rue silencieuse, jusqu'à ce que leurs chevaux aient tourné
Et henni comme ils sont entrés dans le grand auberge-yard ;
Mais les fenêtres étaient fermées, et les portes ont été barrées,
Et seulement une lumière dans le stable brûlé.

Et bercé là dans le foin parfumé,
Dans le ciel rendu doux par le souffle du kine,
Le petit enfant dans la configuration de mangeoire,
L'enfant, celui serait roi pendant un jour
D'un humain de royaume pas, mais deviner.

Sa mère Mary de Nazareth
Observation reposée près de son endroit du repos,
Observant même l'écoulement de son souffle,
Pour la joie de la vie et la terreur de la mort
Ont été mélangés ensemble dans son sein.

Ils ont étendu leurs offres à ses pieds :
L'or était leur hommage à un roi,
L'encens, avec son bonbon à odeur,
Était pour le prêtre, le Paraclete,
La myrrhe pour le corps enterrant.

Et la mère s'est demandée et a cintré sa tête,
Et reposé aussi toujours comme statue de pierre,
Son coeur a été préoccupé pourtant soulagé,
Se rappelant ce que l'ange avait indiqué
D'un règne sans fin et du trône de David.

Alors les rois sont montés hors de la porte de ville,
Avec un cliquetis des hoofs dans la rangée fière ;
Mais ils sont allés pas de nouveau à Herod le grand,
Pour eux ont su sa méchanceté et ont craint sa haine,
Et retourné à leurs maisons par une autre manière.

Henry Wadsworth Longfellow


Poésies de Noël

Publié à 19:56 par lusile17
Poésies de Noël
Le sapin de noël

Le petit sapin sous la neige
Rêvait aux beaux étés fleuris.
Bel été quand te reverrai-je ?
Soupirait-il sous le ciel gris.

Dis moi quand reviendra l’été !
Demandait-il au vent qui vente
Mais le vent sans jamais parler
S’enfuyait avec la tourmente.

Vint à passer sur le chemin
Un gaillard à grandes moustaches
Hop là ! en deux coups de sa hache,
A coupé le petit sapin.

Il ne reverra plus l’été ,
Le petit sapin des montagnes,
Il ne verra plus la gentiane,
L’anémone et le foin coupé.

Mais on l’a paré de bougies,
Saupoudré de neiges d’argent.
Des clochettes de féerie
Pendent à ses beaux rameaux blancs.

Le petit sapin de noël
Ne regrette plus sa clairière
Car il rêve qu’il est au ciel
Tout vêtu d’or et de lumière.

Pernette Chaponnière

Poésies de Noël

Publié à 19:41 par lusile17
Poésies de Noël
Le plus beau cadeau

Noël ! que nous apportes-tu
Dans tes bras si fragiles ?
Un cheval ? Une automobile ?
Un Pierrot au chapeau pointu ?
Noël, que nous apportes-tu ?

Nous apportes-tu dans ta hotte
Des oranges, du chocolat,
du pain d’épices, des nougats
Des pralines, des papillotes ?
Qu’y a-t-il au fond de ta hotte ?

Des joujoux, bien sûr, c’est parfait
Et c’est si bon les friandises !
Mais, dans tes menottes exquises
Trouverons-nous d’autres bienfaits ?

Noël, apporte-nous la Paix !

Raymond Richard

Poésies de Noël

Publié à 19:33 par lusile17
Poésies de Noël
Le ciel est noir, la terre est blanche

Le ciel est noir, la terre est blanche ;
Cloches, carillonnez gaîment !
Jésus est né ; la Vierge penche
Sur lui son visage charmant.

Pas de courtines festonnées
Pour préserver l’enfant du froid,
Rien que des toiles d’araignées
Qui pendent des poutres du toit.

Il tremble sur la paille fraîche,
Ce cher petit enfant Jésus,
Et pour l’échauffer dans sa crèche
L’âne et le bœuf soufflent dessus.

La neige au chaume coud ses franges,
Mais sur le toit s’ouvre le ciel
Et, tout en blanc, le chœur des anges
Chante aux bergers : « Noël ! Noël ! »

Théophile Gautier

Poésies de Noël

Publié à 19:29 par lusile17
Poésies de Noël
LE Christ-enfant

Le Christ-enfant s'étendent sur le sein de Mary
Ses cheveux étaient comme un tenir le premier rôle.
(La poupe et l'adresse d'O sont les rois,
Mais ici les coeurs vrais sont.)

Le Christ-enfant s'étendent sur le coeur de Mary,
Ses cheveux étaient comme un feu.
(O las, las est le monde,
Mais ici le désir du monde.)

Le Christ-enfant s'est tenu sur le genou de Mary,
Ses cheveux étaient comme une couronne,
Et toutes fleurs ont regardé vers le haut lui,
Et tout tient le premier rôle regardé vers le bas

G.K. Chesterton

Poésies de Noël

Publié à 19:11 par lusile17
Poésies de Noël
Noël est un moment pour l'amour et l'amusement


Noël est un moment pour l'amour et l'amusement,
Un temps pour remodeler des âmes et des racines et des cieux,
Un temps pour donner votre coeur à chacun

Librement, comme un soleil riche et somptueux,
Comme une brûlure tenir le premier rôle à ceux dont les soupirs isolés
Montrer le besoin d'un tel temps pour l'amour et l'amusement

Pour les enfants d'abord, dont la douleur n'est jamais faite,
À qui feu blanc lumineux d'angoisse ne meurt jamais,
Il est temps de donner votre coeur à chaque,



Que non une chute d'ange, à la haine a gagné
Par manque d'oreilles à écouter ses cris,
Ou bras pour le porter vers l'amour et l'amusement,

Ou amis pour s'inquiéter ce qui se produit sur la course
À la vie d'adulte, où la joie ou la tristesse se trouve.
Il est temps de donner votre coeur à chacun,

Pour des amours tous de Dieu, et des tours son dos sur aucun,
Bon ou tordu, ignorant ou sage.
Noël est un moment pour l'amour et l'amusement,
Un temps pour donner votre coeur à chacun.

Inconnu



Poésies de Noel

Publié à 18:43 par lusile17
Poésies de Noel
Pensées de Noël.

Noël, mais c'est l'amour, la divine naissance,
La venue de l'enfant sur la paille couché.
C'est le monde à genoux plein de reconnaissance,
Qui oublie pour un jour ses plaies et le péché.

C'est la joie des bambins qui guettent la venue
Du bonhomme au traîneau galopant dans le ciel.
Ce sont les chants si beaux d'émotion contenue
Qui montent dans la nuit pour louer l'éternel.

Mais c'est hélas aussi la grande solitude
De ceux pour qui le sort ne fait pas de crédit.
Ceux qui savent déjà que la vie bien trop rude
Leur refuse ici-bas un coin de paradis.

Noël, mais qu'est-ce donc pour l'enfant bien trop tendre
Que la guerre a meurtri dans sa chair, dans son coeur.
Lui qui cette nuit là essaiera de comprendre
Pourquoi il n'apas droit à sa part de bonheur.

Noël ce sera toi, que malgré la distance,
En ce jour précieux je saurai près de moi.
Nous nous retrouverons, nous aurons cette chance,
Et je te redirai le bonheur d'être toi.

Sonnez,carillonnez cloches de mon église.
Allez dire partout qu'un sauveur nous est né.
Malgré ce monde fou, il faut que l'on se dise,
Que pour un jour encor, l'amour nous est donné


Poésies de Noel

Publié à 18:28 par lusile17
Poésies de Noel
Poésies de Noel

La nuit avant Noël

C'était la nuit de Noël, un peu avant minuit,
A l'heure où tout est calme, même les souris.
On avait pendu nos bas devant la cheminée,
Pour que le Père Noël les trouve dès son arrivée.
Blottis bien au chaud dans leurs petits lits,
Les enfants sages s'étaient déjà endormis.
Maman et moi, dans nos chemises de nuit,
Venions à peine de souffler la bougie,
Quand au dehors, un bruit de clochettes,
Me fit sortir díun coup de sous ma couette.
Filant comme une flèche vers la fenêtre,
Je scrutais tout là haut le ciel étoilé.
Au dessus de la neige, la lune étincelante,
Illuminait la nuit comme si c'était le jour.
Je n'en crus pas mes yeux quand apparut au loin,
Un traîneau et huit rennes pas plus gros que le poing,
Dirigés par un petit personnage enjoué :
C'était le Père Noël je le savais.
Ses coursiers volaient comme s'ils avaient des ailes.
Et lui chantait, afin de les encourager :

" Allez Tornade !, Allez Danseur ! Allez , Furie et Fringuant !
En avant Comète et Cupidon ! Allez Eclair et Tonnerre !

Tout droit vers ce porche, tout droit vers ce mur !
Au galop au galop mes amis ! au triple galop ! "
Pareils aux feuilles mortes, emportées par le vent
Qui montent vers le ciel pour franchir les obstacles ,
Les coursiers s'envolèrent, jusqu'au dessus de ma tête,
Avec le traîneau, les jouets et même le Père Noël.
Peu après j'entendis résonner sur le toit
Le piétinement fougueux de leurs petits sabots.
Une fois la fenêtre refermée, je me retournais,
Juste quand le Père Noël sortait de la cheminée.
Son habit de fourrure, ses bottes et son bonnet,
Etaient un peu salis par la cendre et la suie.
Jeté sur son épaule, un sac plein de jouets,
Lui donnait l'air d'un bien curieux marchand.
Il avait des joues roses, des fossettes charmantes,
Un nez comme une cerise et des yeux pétillants,
Une petite bouche qui souriait tout le temps,
Et une très grande barbe d'un blanc vraiment immaculé.
De sa pipe allumée coincée entre ses dents,
Montaient en tourbillons des volutes de fumée.
Il avait le visage épanoui, et son ventre tout rond
Sautait quand il riait, comme un petit ballon.
Il était si dodu, si joufflu, cet espiègle lutin,
Que je me mis malgré moi à rire derrière ma main.
Mais d'un clin d'oeil et d'un signe de la tête,
Il me fit comprendre que je ne risquais rien.
Puis sans dire un mot, car il était pressé,
Se hâta de remplir les bas, jusqu'au dernier,
Et me salua d'un doigt posé sur l'aile du nez,
Avant de disparaître dans la cheminée.
Je l'entendis ensuite siffler son bel équipage.
Ensemble ils s'envolèrent comme une plume au vent.


Avant de disparaître le Père Noël cria :

" Joyeux Noël à tous et à tous une bonne nuit "


Clément Moore, New York, 1822