Château de Aulteribe

Le château d’Aulteribe est un château fort du Puy de Dôme en Auvergne, dans la commune de Sermentizon. Le château d’Aulteribe fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1949

Bâti à la fin du Moyen Âge,le château d'Aulteribe est un château fort du XVe siècle, de plan trapézoïdal renforcé de bastions d'angle.

Au XVIIe siècle de nombreuses ouvertures ont été percées et d'autres remaniements ont été effectués au XIXe siècle avec l'ajout d'échauguettes et de mâchicoulis et la construction de l'escalier monumental

Château de Aulteribe

Le château d’Aulteribe est un château fort du Puy de Dôme en Auvergne, dans la commune de Sermentizon. Le château d’Aulteribe fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1949

Bâti à la fin du Moyen Âge,le château d'Aulteribe est un château fort du XVe siècle, de plan trapézoïdal renforcé de bastions d'angle.

Au XVIIe siècle de nombreuses ouvertures ont été percées et d'autres remaniements ont été effectués au XIXe siècle avec l'ajout d'échauguettes et de mâchicoulis et la construction de l'escalier monumental

Château de Aulteribe

Le château d’Aulteribe est un château fort du Puy de Dôme en Auvergne, dans la commune de Sermentizon. Le château d’Aulteribe fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1949

Bâti à la fin du Moyen Âge,le château d'Aulteribe est un château fort du XVe siècle, de plan trapézoïdal renforcé de bastions d'angle.

Au XVIIe siècle de nombreuses ouvertures ont été percées et d'autres remaniements ont été effectués au XIXe siècle avec l'ajout d'échauguettes et de mâchicoulis et la construction de l'escalier monumental

Château de Rosieres (Saint-Seine-sur-Vingeanne)

 Le château de Rosières est un manoir fortifié (ou maison forte) situé sur la commune de Saint Seine sur Vingeanne . Il est situé aux confins de la Bourgogne et de la Franche Comté.

Le château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiquesdepuis 1930.

Situé sur les coteaux qui dominent la vallée de la Vingeanne, entouré des bâtiments d'exploitation agricole, le château est une ancienne forteresse construite au XVe siècle. Ce manoir fortifié a été conçu pour protéger la frontière entre la Bourgogne et la Franche-Comté  pour surveiller la voie qui reliait l’abbaye de Bèze au Comté. Les derniers vestiges  de cette propriété militaire sont le donjon, le porche d’entrée,  une partie des douves et un pavillon créé par Claude Bernard Maillard. Le château a été récemment restauré par son propriétaire actuel. 

Château de Saint-Seine-sur-Vingeanne (Bourgogne)

 Le château appartient à un dispositif complexe composé de trois châteaux situés de part et d'autre de la Vingeanne, vraisemblablement mis en place dès le XIIe siècle par la famille de Saint-Seine, et auquel devait s'ajouter au XIVe siècle la maison forte de Rosières, proche de la frontière comtoise. Au cours des siècles qui suivirent, la terre fut divisée en quatre fiefs dont les sorts furent différents et l'histoire très confuse. En 1580, le fief de Saint Seine l'Eglise échut à la famille Maillard. En 1636, le Château fut incendié par les armées de  Gallas. Il fut alors reconstruit par Jean Maillard, conseiller au Parlement de Dijon, qui le légua à son neveu,  Benoît-Etienne Legouz, lequel le vendit en 1728 à son cousin Bénigne-Germain Legouz. Celui-ci reconstitua, par achats successifs, l'ancienne seigneurie et son fils transforma le château à la fin du XVIIIe siècle. Il n'est  plus sorti depuis des mains de la famille Legouz de Saint Seine. Il ne reste plus que les deux tours nord du Château du XVIe siècle.

Château de Saint-Seine-sur-Vingeanne (Bourgogne)

 Le château appartient à un dispositif complexe composé de trois châteaux situés de part et d'autre de la Vingeanne, vraisemblablement mis en place dès le XIIe siècle par la famille de Saint-Seine, et auquel devait s'ajouter au XIVe siècle la maison forte de Rosières, proche de la frontière comtoise. Au cours des siècles qui suivirent, la terre fut divisée en quatre fiefs dont les sorts furent différents et l'histoire très confuse. En 1580, le fief de Saint Seine l'Eglise échut à la famille Maillard. En 1636, le Château fut incendié par les armées de  Gallas. Il fut alors reconstruit par Jean Maillard, conseiller au Parlement de Dijon, qui le légua à son neveu,  Benoît-Etienne Legouz, lequel le vendit en 1728 à son cousin Bénigne-Germain Legouz. Celui-ci reconstitua, par achats successifs, l'ancienne seigneurie et son fils transforma le château à la fin du XVIIIe siècle. Il n'est  plus sorti depuis des mains de la famille Legouz de Saint Seine. Il ne reste plus que les deux tours nord du Château du XVIe siècle.

Château de Saint-Seine-sur-Vingeanne (Bourgogne)

 Le château appartient à un dispositif complexe composé de trois châteaux situés de part et d'autre de la Vingeanne, vraisemblablement mis en place dès le XIIe siècle par la famille de Saint-Seine, et auquel devait s'ajouter au XIVe siècle la maison forte de Rosières, proche de la frontière comtoise. Au cours des siècles qui suivirent, la terre fut divisée en quatre fiefs dont les sorts furent différents et l'histoire très confuse. En 1580, le fief de Saint Seine l'Eglise échut à la famille Maillard. En 1636, le Château fut incendié par les armées de  Gallas. Il fut alors reconstruit par Jean Maillard, conseiller au Parlement de Dijon, qui le légua à son neveu,  Benoît-Etienne Legouz, lequel le vendit en 1728 à son cousin Bénigne-Germain Legouz. Celui-ci reconstitua, par achats successifs, l'ancienne seigneurie et son fils transforma le château à la fin du XVIIIe siècle. Il n'est  plus sorti depuis des mains de la famille Legouz de Saint Seine. Il ne reste plus que les deux tours nord du Château du XVIe siècle.

Château de Saint-Seine-sur-Vingeanne (Bourgogne)

 Le château appartient à un dispositif complexe composé de trois châteaux situés de part et d'autre de la Vingeanne, vraisemblablement mis en place dès le XIIe siècle par la famille de Saint-Seine, et auquel devait s'ajouter au XIVe siècle la maison forte de Rosières, proche de la frontière comtoise. Au cours des siècles qui suivirent, la terre fut divisée en quatre fiefs dont les sorts furent différents et l'histoire très confuse. En 1580, le fief de Saint Seine l'Eglise échut à la famille Maillard. En 1636, le Château fut incendié par les armées de  Gallas. Il fut alors reconstruit par Jean Maillard, conseiller au Parlement de Dijon, qui le légua à son neveu,  Benoît-Etienne Legouz, lequel le vendit en 1728 à son cousin Bénigne-Germain Legouz. Celui-ci reconstitua, par achats successifs, l'ancienne seigneurie et son fils transforma le château à la fin du XVIIIe siècle. Il n'est  plus sorti depuis des mains de la famille Legouz de Saint Seine. Il ne reste plus que les deux tours nord du Château du XVIe siècle.

Château de Saint-Seine-sur-Vingeanne (Bourgogne)

 Le château appartient à un dispositif complexe composé de trois châteaux situés de part et d'autre de la Vingeanne, vraisemblablement mis en place dès le XIIe siècle par la famille de Saint-Seine, et auquel devait s'ajouter au XIVe siècle la maison forte de Rosières, proche de la frontière comtoise. Au cours des siècles qui suivirent, la terre fut divisée en quatre fiefs dont les sorts furent différents et l'histoire très confuse. En 1580, le fief de Saint Seine l'Eglise échut à la famille Maillard. En 1636, le Château fut incendié par les armées de  Gallas. Il fut alors reconstruit par Jean Maillard, conseiller au Parlement de Dijon, qui le légua à son neveu,  Benoît-Etienne Legouz, lequel le vendit en 1728 à son cousin Bénigne-Germain Legouz. Celui-ci reconstitua, par achats successifs, l'ancienne seigneurie et son fils transforma le château à la fin du XVIIIe siècle. Il n'est  plus sorti depuis des mains de la famille Legouz de Saint Seine. Il ne reste plus que les deux tours nord du Château du XVIe siècle.

Château de Saint-Seine-sur-Vingeanne (Bourgogne)

 Le château appartient à un dispositif complexe composé de trois châteaux situés de part et d'autre de la Vingeanne, vraisemblablement mis en place dès le XIIe siècle par la famille de Saint-Seine, et auquel devait s'ajouter au XIVe siècle la maison forte de Rosières, proche de la frontière comtoise. Au cours des siècles qui suivirent, la terre fut divisée en quatre fiefs dont les sorts furent différents et l'histoire très confuse. En 1580, le fief de Saint Seine l'Eglise échut à la famille Maillard. En 1636, le Château fut incendié par les armées de  Gallas. Il fut alors reconstruit par Jean Maillard, conseiller au Parlement de Dijon, qui le légua à son neveu,  Benoît-Etienne Legouz, lequel le vendit en 1728 à son cousin Bénigne-Germain Legouz. Celui-ci reconstitua, par achats successifs, l'ancienne seigneurie et son fils transforma le château à la fin du XVIIIe siècle. Il n'est  plus sorti depuis des mains de la famille Legouz de Saint Seine. Il ne reste plus que les deux tours nord du Château du XVIe siècle.