Thèmes

alphabet amis amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)

Rechercher
Derniers commentaires

trop mignon
Par Anonyme, le 24.02.2025

superbe
Par Anonyme, le 24.02.2025

merci
Par Anonyme, le 24.02.2025

merci
Par Anonyme, le 21.02.2025

superbe
Par Anonyme, le 21.02.2025

Voir plus

Articles les plus lus

· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )

· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA

Voir plus 

Abonnement au blog
Recevez les actualités de mon blog gratuitement :

Je comprends qu’en m’abonnant, je choisis explicitement de recevoir la newsletter du blog "lusile17" et que je peux facilement et à tout moment me désinscrire.


Statistiques

Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : france oiseaux collection rock image background argent jardin
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

Le réchauffoir

 

Le réchauffoir se situe en retrait, à une douzaine de mètres à l'arrière de la maison de la Reine, masqué par des arbustes touffus. Il comprend les locaux nécessaires au service : une vaste cuisine, un fournil, un bûcher et un garde-manger, mais aussi la lingerie et l'argenterie. L'intérieur est constitué de pierres de taille et est éclairé par trois fenêtres. On peut y réchauffer les mets en provenance du Grand Commun. Destiné initialement à n'être qu'un « réchauffoir », on y cuisine en fait véritablement des plats destinés aux dîners donnés par la Reine dans sa Maison ou au moulin. Un grand fourneau de vingt-deux feux, peint en décor de fausse brique, côtoie un four à pain et une cheminée-rôtissoire. Un placard est destiné à conserver la vaisselle royale, de porcelaine et d'argent. Une étuve de deux mètres de hauteur permet de maintenir les plats au chaud. Une table de hêtre est posée au centre de la pièce. L'eau courante est fournie dans la cour par une citerne présente au-dessus de la laiterie de préparation. Une petite maison accolée est destinée à accueillir les valets de pied.

Sa construction débute en 1783, en même temps que les autres chaumières. Il ne s'agit initialement que d'une grande pièce centrale sur laquelle sont appuyées deux annexes en pans de bois, l'une servant de garde-manger, l'autre de dressoir. Elle est alors couverte de tuiles d'Igny, tandis que les autres pièces sont protégées par du chaume. Un four à pain est ajouté en excroissance en 1785, selon le principe des fours paysans de la région, avec un foyer voûté à tuiles réfractaires. L'année suivante, on y adjoint l'« argenterie », avec un accès indépendant non autorisé au personnel de cuisine et réservé à l'« officier d'office ». Un mur délimite ensuite une petite cour rapidement pavée et un bûcher est aménagé à proximité de la salle à manger des valets. Le réchauffoir ne possède pas de jardin propre mais est entouré de murs et de fourrés.

Sous le Premier Empire, malgré la disparition et la vente de presque tout le matériel et le mobilier en germinal de l'anI, le réchauffoir retrouve sa fonction première lors des fêtes données en 1810 et 1811 pour l'impératrice Marie Louise. Les façades sont repeintes en ocre jaune ou en gris et les intérieurs sont réaménagés : la salle des valets devient l'office, le fourneau est réduit à huit feux et l'argenterie est transformée en échansonnerie. On y installe aussi des quinquets à huile.

 

Plusieurs restaurations sont entreprises depuis Louis Philippe jusqu'aux travaux financés par Rockefeller, visant surtout à l'entretien des enduits, des couvertures et des fermetures. Les derniers travaux de réfection datent de mars 1998

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : france oiseaux collection rock image background argent jardin
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

Le réchauffoir

 

Le réchauffoir se situe en retrait, à une douzaine de mètres à l'arrière de la maison de la Reine, masqué par des arbustes touffus. Il comprend les locaux nécessaires au service : une vaste cuisine, un fournil, un bûcher et un garde-manger, mais aussi la lingerie et l'argenterie. L'intérieur est constitué de pierres de taille et est éclairé par trois fenêtres. On peut y réchauffer les mets en provenance du Grand Commun. Destiné initialement à n'être qu'un « réchauffoir », on y cuisine en fait véritablement des plats destinés aux dîners donnés par la Reine dans sa Maison ou au moulin. Un grand fourneau de vingt-deux feux, peint en décor de fausse brique, côtoie un four à pain et une cheminée-rôtissoire. Un placard est destiné à conserver la vaisselle royale, de porcelaine et d'argent. Une étuve de deux mètres de hauteur permet de maintenir les plats au chaud. Une table de hêtre est posée au centre de la pièce. L'eau courante est fournie dans la cour par une citerne présente au-dessus de la laiterie de préparation. Une petite maison accolée est destinée à accueillir les valets de pied.

Sa construction débute en 1783, en même temps que les autres chaumières. Il ne s'agit initialement que d'une grande pièce centrale sur laquelle sont appuyées deux annexes en pans de bois, l'une servant de garde-manger, l'autre de dressoir. Elle est alors couverte de tuiles d'Igny, tandis que les autres pièces sont protégées par du chaume. Un four à pain est ajouté en excroissance en 1785, selon le principe des fours paysans de la région, avec un foyer voûté à tuiles réfractaires. L'année suivante, on y adjoint l'« argenterie », avec un accès indépendant non autorisé au personnel de cuisine et réservé à l'« officier d'office ». Un mur délimite ensuite une petite cour rapidement pavée et un bûcher est aménagé à proximité de la salle à manger des valets. Le réchauffoir ne possède pas de jardin propre mais est entouré de murs et de fourrés.

Sous le Premier Empire, malgré la disparition et la vente de presque tout le matériel et le mobilier en germinal de l'anI, le réchauffoir retrouve sa fonction première lors des fêtes données en 1810 et 1811 pour l'impératrice Marie Louise. Les façades sont repeintes en ocre jaune ou en gris et les intérieurs sont réaménagés : la salle des valets devient l'office, le fourneau est réduit à huit feux et l'argenterie est transformée en échansonnerie. On y installe aussi des quinquets à huile.

 

Plusieurs restaurations sont entreprises depuis Louis Philippe jusqu'aux travaux financés par Rockefeller, visant surtout à l'entretien des enduits, des couvertures et des fermetures. Les derniers travaux de réfection datent de mars 1998

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : france oiseaux collection rock image background argent jardin
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

Le réchauffoir

 

Le réchauffoir se situe en retrait, à une douzaine de mètres à l'arrière de la maison de la Reine, masqué par des arbustes touffus. Il comprend les locaux nécessaires au service : une vaste cuisine, un fournil, un bûcher et un garde-manger, mais aussi la lingerie et l'argenterie. L'intérieur est constitué de pierres de taille et est éclairé par trois fenêtres. On peut y réchauffer les mets en provenance du Grand Commun. Destiné initialement à n'être qu'un « réchauffoir », on y cuisine en fait véritablement des plats destinés aux dîners donnés par la Reine dans sa Maison ou au moulin. Un grand fourneau de vingt-deux feux, peint en décor de fausse brique, côtoie un four à pain et une cheminée-rôtissoire. Un placard est destiné à conserver la vaisselle royale, de porcelaine et d'argent. Une étuve de deux mètres de hauteur permet de maintenir les plats au chaud. Une table de hêtre est posée au centre de la pièce. L'eau courante est fournie dans la cour par une citerne présente au-dessus de la laiterie de préparation. Une petite maison accolée est destinée à accueillir les valets de pied.

Sa construction débute en 1783, en même temps que les autres chaumières. Il ne s'agit initialement que d'une grande pièce centrale sur laquelle sont appuyées deux annexes en pans de bois, l'une servant de garde-manger, l'autre de dressoir. Elle est alors couverte de tuiles d'Igny, tandis que les autres pièces sont protégées par du chaume. Un four à pain est ajouté en excroissance en 1785, selon le principe des fours paysans de la région, avec un foyer voûté à tuiles réfractaires. L'année suivante, on y adjoint l'« argenterie », avec un accès indépendant non autorisé au personnel de cuisine et réservé à l'« officier d'office ». Un mur délimite ensuite une petite cour rapidement pavée et un bûcher est aménagé à proximité de la salle à manger des valets. Le réchauffoir ne possède pas de jardin propre mais est entouré de murs et de fourrés.

Sous le Premier Empire, malgré la disparition et la vente de presque tout le matériel et le mobilier en germinal de l'anI, le réchauffoir retrouve sa fonction première lors des fêtes données en 1810 et 1811 pour l'impératrice Marie Louise. Les façades sont repeintes en ocre jaune ou en gris et les intérieurs sont réaménagés : la salle des valets devient l'office, le fourneau est réduit à huit feux et l'argenterie est transformée en échansonnerie. On y installe aussi des quinquets à huile.

 

Plusieurs restaurations sont entreprises depuis Louis Philippe jusqu'aux travaux financés par Rockefeller, visant surtout à l'entretien des enduits, des couvertures et des fermetures. Les derniers travaux de réfection datent de mars 1998

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : france oiseaux collection rock image background argent jardin
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

Le réchauffoir

 

Le réchauffoir se situe en retrait, à une douzaine de mètres à l'arrière de la maison de la Reine, masqué par des arbustes touffus. Il comprend les locaux nécessaires au service : une vaste cuisine, un fournil, un bûcher et un garde-manger, mais aussi la lingerie et l'argenterie. L'intérieur est constitué de pierres de taille et est éclairé par trois fenêtres. On peut y réchauffer les mets en provenance du Grand Commun. Destiné initialement à n'être qu'un « réchauffoir », on y cuisine en fait véritablement des plats destinés aux dîners donnés par la Reine dans sa Maison ou au moulin. Un grand fourneau de vingt-deux feux, peint en décor de fausse brique, côtoie un four à pain et une cheminée-rôtissoire. Un placard est destiné à conserver la vaisselle royale, de porcelaine et d'argent. Une étuve de deux mètres de hauteur permet de maintenir les plats au chaud. Une table de hêtre est posée au centre de la pièce. L'eau courante est fournie dans la cour par une citerne présente au-dessus de la laiterie de préparation. Une petite maison accolée est destinée à accueillir les valets de pied.

Sa construction débute en 1783, en même temps que les autres chaumières. Il ne s'agit initialement que d'une grande pièce centrale sur laquelle sont appuyées deux annexes en pans de bois, l'une servant de garde-manger, l'autre de dressoir. Elle est alors couverte de tuiles d'Igny, tandis que les autres pièces sont protégées par du chaume. Un four à pain est ajouté en excroissance en 1785, selon le principe des fours paysans de la région, avec un foyer voûté à tuiles réfractaires. L'année suivante, on y adjoint l'« argenterie », avec un accès indépendant non autorisé au personnel de cuisine et réservé à l'« officier d'office ». Un mur délimite ensuite une petite cour rapidement pavée et un bûcher est aménagé à proximité de la salle à manger des valets. Le réchauffoir ne possède pas de jardin propre mais est entouré de murs et de fourrés.

Sous le Premier Empire, malgré la disparition et la vente de presque tout le matériel et le mobilier en germinal de l'anI, le réchauffoir retrouve sa fonction première lors des fêtes données en 1810 et 1811 pour l'impératrice Marie Louise. Les façades sont repeintes en ocre jaune ou en gris et les intérieurs sont réaménagés : la salle des valets devient l'office, le fourneau est réduit à huit feux et l'argenterie est transformée en échansonnerie. On y installe aussi des quinquets à huile.

 

Plusieurs restaurations sont entreprises depuis Louis Philippe jusqu'aux travaux financés par Rockefeller, visant surtout à l'entretien des enduits, des couvertures et des fermetures. Les derniers travaux de réfection datent de mars 1998

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : france oiseaux collection image background jardin argent rock
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

Le réchauffoir

 

Le réchauffoir se situe en retrait, à une douzaine de mètres à l'arrière de la maison de la Reine, masqué par des arbustes touffus. Il comprend les locaux nécessaires au service : une vaste cuisine, un fournil, un bûcher et un garde-manger, mais aussi la lingerie et l'argenterie. L'intérieur est constitué de pierres de taille et est éclairé par trois fenêtres. On peut y réchauffer les mets en provenance du Grand Commun. Destiné initialement à n'être qu'un « réchauffoir », on y cuisine en fait véritablement des plats destinés aux dîners donnés par la Reine dans sa Maison ou au moulin. Un grand fourneau de vingt-deux feux, peint en décor de fausse brique, côtoie un four à pain et une cheminée-rôtissoire. Un placard est destiné à conserver la vaisselle royale, de porcelaine et d'argent. Une étuve de deux mètres de hauteur permet de maintenir les plats au chaud. Une table de hêtre est posée au centre de la pièce. L'eau courante est fournie dans la cour par une citerne présente au-dessus de la laiterie de préparation. Une petite maison accolée est destinée à accueillir les valets de pied.

Sa construction débute en 1783, en même temps que les autres chaumières. Il ne s'agit initialement que d'une grande pièce centrale sur laquelle sont appuyées deux annexes en pans de bois, l'une servant de garde-manger, l'autre de dressoir. Elle est alors couverte de tuiles d'Igny, tandis que les autres pièces sont protégées par du chaume. Un four à pain est ajouté en excroissance en 1785, selon le principe des fours paysans de la région, avec un foyer voûté à tuiles réfractaires. L'année suivante, on y adjoint l'« argenterie », avec un accès indépendant non autorisé au personnel de cuisine et réservé à l'« officier d'office ». Un mur délimite ensuite une petite cour rapidement pavée et un bûcher est aménagé à proximité de la salle à manger des valets. Le réchauffoir ne possède pas de jardin propre mais est entouré de murs et de fourrés.

Sous le Premier Empire, malgré la disparition et la vente de presque tout le matériel et le mobilier en germinal de l'anI, le réchauffoir retrouve sa fonction première lors des fêtes données en 1810 et 1811 pour l'impératrice Marie Louise. Les façades sont repeintes en ocre jaune ou en gris et les intérieurs sont réaménagés : la salle des valets devient l'office, le fourneau est réduit à huit feux et l'argenterie est transformée en échansonnerie. On y installe aussi des quinquets à huile.

 

Plusieurs restaurations sont entreprises depuis Louis Philippe jusqu'aux travaux financés par Rockefeller, visant surtout à l'entretien des enduits, des couvertures et des fermetures. Les derniers travaux de réfection datent de mars 1998

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : france oiseaux collection image background jardin

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : image france background jardin oiseaux collection

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : image france background jardin oiseaux collection
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

Le colombier et la maison du garde 

 

Elle aussi proche du lac, la maison du colombier accueille un pigeonnier, dans ses combles, et des poulaillers, sur l'arrière. À la demande de la Reine, et à l'inverse de Madame de Pompadour qui avait affectionné sa collection d'oiseaux rares, la volière est peuplée dès 1785 de coqs et poules de diverses espèces que l'on a fait venir de l'Ouest de la France et que l'on nourrit de graines d'orge et de vesce. Une pièce centrale permet l'hébergement de la personne chargée de cet élevage. Par un escalier extérieur, on accède à l'étage sous comble. L'été, on dresse une volière extérieure bâtie de poutrelles et couverte de filets. Un jardin clos de charmilles est constitué d'allées géométriques et de gazon, avec un petit bassin ovale. Une légende a couru après la Révolution selon laquelle le colombier aurait abrité un « bon religieux », ce qui, même après avoir été démenti, a tout de même donné le nom de presbytère à la chaumière à cette époque.

Il est restauré en 2000

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Publié à 00:26 par lusile17 Tags : image france background jardin oiseaux collection
Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le colombier

Elle aussi proche du lac, la maison du colombier accueille un pigeonnier, dans ses combles, et des poulaillers, sur l'arrière. À la demande de la Reine, et à l'inverse de Madame de Pompadour qui avait affectionné sa collection d'oiseaux rares, la volière est peuplée dès 1785 de coqs et poules de diverses espèces que l'on a fait venir de l'Ouest de la France et que l'on nourrit de graines d'orge et de vesce. Une pièce centrale permet l'hébergement de la personne chargée de cet élevage. Par un escalier extérieur, on accède à l'étage sous comble. L'été, on dresse une volière extérieure bâtie de poutrelles et couverte de filets. Un jardin clos de charmilles est constitué d'allées géométriques et de gazon, avec un petit bassin ovale. Une légende a couru après la Révolution selon laquelle le colombier aurait abrité un « bon religieux », ce qui, même après avoir été démenti, a tout de même donné le nom de presbytère à la chaumière à cette époque.

Il est restauré en 2000

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

Le Hameau de la Reine Marie Antoinette

 

 La maison du garde

 

La maison du garde, ou maison du gardien, est située en bordure du domaine. Son premier occupant a été le Suisse Jean Bersy, qui a habité les lieux avec sa famille. La maisonnette est au centre d'un enclos cultivé, constitué de petites parcelles. Non loin de là se trouve un jeu de boules, sous des arceaux où grimpent des rosiers, construit en 1788. Le logement comprend deux belles pièces et une cuisine en rez-de-chaussée ainsi qu'une chambre à l'étage, menant à un grenier. Malgré les efforts réalisés lors de la construction du hameau pour concilier les contraintes de la sécurité de son illustre occupante et les objectifs d'une simple vie champêtre, la situation même du village oblige à une vigilance permanente. L'existence d'un premier étage permet une meilleure surveillance du domaine. En outre, depuis le sous-sol de sa demeure, le gardien a accès par quelques souterrains dérobés à l'ensemble du Fossé en ha-ha qui entoure le domaine, afin d'y réaliser des patrouilles régulières. La construction est réalisée de telle sorte que cet accès demeure secret aux visiteurs