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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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SUITE........
Le matin suivant, au réveil, Marie se sentit heureuse. Elle se demandait cependait si tout cela était bien vrai...
" Oh, je me rappelle que l'ange m'a annoncé que ma cousine Elizabeth est enceinte. Je pense que je vais lui rendre visite. "
Elle s'habilla, pris son repas et annonça à sa mère la destination et la raison de son départ. Puis, elle pris la route pour la Judée où habitait sa cousine.
Il fallut plusieurs jours à Marie pour arriver à la maison de Zacharie et d'Elizabeth. Aussi, quand elle arriva, elle était fatiguée et sans force après le long voyage.
Elizabeth se précipita vers elle pour lui annoncer ce que le Seigneur avait accompli, mais lorsqu'elle vit Marie et entendit sa voix, l'enfant qu'elle gardait en elle se mit à bondir de joie !
À ce moment, Elizabeth fut remplie de l'Esprit Saint et elle dit :
" Dieu te bénit plus que toutes les autres femmes et il bénit aussi l'enfant que tu portes en toi. La mère de mon Seigneur vient chez moi ! Quel honneur pour moi !
" Regarde Marie ! L'enfant remue de joie dans mon ventre, regarde comme il bouge. Il est heureux, c'est comme s'il savait que l'enfant que tu portes est exceptionnel. " Marie répondit : " Oh Elisabeth, je me sens si heureuse. C'est extraordinaire qu'Il m'ait choisie, moi, une simple jeune fille, pour être la mère de Son Enfant.
Marie resta avec Elizabeth trois mois environ : elle l'aida et apprit avec elle de grandes leçons. Elle voulait être présente quand Elizabeth donnerait naissance au bébé.
Et quand Jean fût né, Marie sut qu'il était temps de retourner chez elle et de raconter à Joseph tout ce qui était arrivé. Elle se demandait comment Joseph réagirait en entendant cette nouvelle. Aussi, elle demanda à Elizabeth et Zacharie de la garder dans leurs prières.
SUITE..........
Joseph aimait beaucoup Marie mais lorsqu'il appris qu'elle était enceinte, il fut très attristé et confus.
Il ne sut quoi faire, mais Dieu, Lui, savait.
Pendant que Joseph dormait, un ange lui apparut en rêve et lui dit : " Joseph, Dieu désire que tu prennes Marie pour épouse.
Elle porte l'enfant du Seigneur et Il désire que tu prennes soin d'elle. Ce bébé n'est pas un enfant comme les autres ! Tu l'appeleras Jésus, c'est lui qui sauvera son peuple de ses péchés.
Dieu t'a estimé fidèle et digne d'élever Son Enfant. C'est une grande bénédiction de Sa part ! Oui, ne crains pas de prendre Marie pour épouse. Tout se passera pour le mieux car Dieu est maître des événements."
Joseph se réveilla et courut jusqu'à la maison de Marie. " Marie, Marie ! Je viens de faire un rêve ! Tu dois devenir ma femme. C'est un ange qui me l'a dit. "
Marie fut très heureuse, ils s'étreignirent et prièrent ensemble le Seigneur.
SUITE...........
L'empereur Auguste, qui gouvernait le pays à cette époque-là, ordonna à chacun de payer ses impôts dans sa ville de naissance.
Ce fut une terrible nouvelle pour Joseph et Marie.
En effet, cela signifiait qu'ils devaient entreprendre un long voyage jusqu'à Bethléhem, la ville natale de Joseph, alors que le bébé était attendu pour bientôt.
Il fut très mécontent en apprenant cette nouvelle, mais il se rappela un passage de l'Écriture, une prophétie qui évoquait la naissance du Messie. Joseph s'émerveilla des " Voies impénétrables du Seigneur. "
Il fit de son mieux pour rendre le voyage le plus confortable possible pour Marie.
Lorsqu'ils arrivèrent dans la ville natale de Joseph, ils ne trouvèrent nul endroit où aller, toutes les chambres des auberges étaient occupées...
SUITE..............
Marie parut soudain très fatiguée et dit :
" Joseph, le bébé arrive. Nous devons trouver un endroit où je puisse accoucher. "
Il essaya d'encourager Marie :.
" Dieu a prévu un endroit pour nous " ,
mais il ne savait pas où aller.
Alors, ils s'arrêtèrent et prièrent le Seigneur tous les deux, Lui demandant de leur trouver un endroit où aller selon Sa volonté.
Alors, Joseph se rappela l'étable où il jouait quand il était enfant et où il aimait se rendre pour voir toutes sortes d'animaux.
" Marie, je t'emmène à l'étable : il y fera sec et chaud. Ce n'est pas trop loin. ", dit-il.
Joseph prépara un endroit pour que Marie puisse donner naissance au bébé. Elle était heureuse de se trouver au chaud et à l'abri. Ils n'eurent pas longtemps à attendre avant de pouvoir se réjouir de la naissance de Jésus. Ils étaient heureux que tout se fut bien passé et de voir que Jésus était un nouveau-né en pleine santé. Ils l'habillèrent de langes et le couchèrent dans une crèche.
Très vite, ils plongèrent dans un sommeil réparateur.
Pendant ce temps...
SUITE.........
Quelques heures plus tard, Marie et Joseph furent réveillés dans leur sommeil.
Marie dit à Joseph : " Regarde, il y a des bergers devant l'étable. "
Marie était inquiète et avait peur d'avoir à partir et chercher un autre endroit où se reposer : " Joseph, peux-tu aller voir ce qu'ils veulent, s'il te plaît ? "
Joseph se leva à contrecoeur et sortit voir les bergers. Peu de temps après, il revint auprès de Marie et lui dit qu'ils voulaient voir le bébé.
" Pourquoi ? ", demanda Marie. Joseph lui répondit : " je vais leur laisser le soin de te répondre. D'accord ? "
" D'accord Joseph, qu'ils entrent. ", répondit Marie.
SUITE.............
" Nous venons voir l' enfant ainsi que l'ange nous l'a demandé. " expliqua le berger, " une lumière brillante est apparue dans le ciel.
Nous étions vraiment effrayé et inquiets, mais un ange est apparu et nous a dit : " Ne craignez rien. Je vous apporte une bonne nouvelle et une grande joie pour vous et pour tout le peuple.
Aujourd'hui, dans le ville de David, un Sauveur vous est né. Il est Christ, le Seigneur.
Vous trouverez le petit enfant emmailloté et couché dans une crèche. "
Tout à coup, une multitude d'anges est apparue dans le ciel, louant Dieu et chantant : " Gloire à Dieu au plus haut des cieux, Paix sur la terre et bienveillance envers les hommes ! "
Oui, cet enfant est béni ! Quelle nuit merveilleuse ! Nous ne resterons pas longtemps, mais nous devions venir voir le miracle que l'ange nous a annoncé. Vous comprenez ? "
" Oui, " répondit Marie, " C'est un miracle prodigieux ! " Marie gardait toutes ces paroles dans son cœur.
" Nous devons partir maintenant, nous devons retourner à notre troupeau. Nous vous remercions ! "
En repartant, ils étaient heureux et racontaient à chacun sur le chemin le miracle qui avaient eu lieu cette nuit-là.
Quelques jours plus tard, quand la vie eut repris normalement à Béthlehem, Marie et Joseph trouvèrent un meilleur endroit où séjourner. Ils étaient si heureux de ce que le Seigneur avait accompli !
SUITE..............
La nuit où naquit Jésus, une étoile apparut dans le ciel en direction de l'Orient. Trois mages surveillaient le ciel à ce moment-là.
Ils comprirent que cet événement était exceptionnel et qu'un grand roi était né cette nuit-là. Chacun décida de quitter son pays et de suivre l'étoile pour offrir des présents au nouveau roi.
Mais savez-vous ce qu'il leur arriva sur le chemin ?
Dieu les guidait grâce à l'étoile, mais lorsqu'ils arrivèrent, ils décidèrent apparemment d'utiliser leur propre sagesse et leur expérience. " Et bien, nous sommes arrivés. Allons voir le roi !
C'est sûr, il saura où se trouve le Messie, ce grand Roi qui est né. Nous trouverons le roi Hérode, nous lui raconterons tout, à lui et à sa cour ".
Ils se rendirent ainsi auprès du méchant roi Hérode pour demander où se trouvait le Roi qui était né. Mais Hérode répondit : " Quel est ce Roi ? Quel autre roi que moi-même est né dans ce pays ?Le roi, c'est moi ! "
Il appela ses conseillers et leur demanda : " Dites, où est né ce garçon, ce Messie des Juifs, ce Roi des Juifs ? "
Le prophète avait dit :
"Et toi, Bethléhem, du pays de Juda, tu n'es sûrement pas la moins importante des villes de Juda. Oui, un chef va venir vers toi, il sera le berger de mon peuple, Israël. "
SUITE.............
Alors, les mages comprirent que ce roi ne leur apporterait aucune aide.
Ils retrouvèrent l'étoile qui les conduisit de nouveau à Bethléhem et ils trouvèrent Jésus.
Ils avaient apporté trois sortes de cadeaux.
Le premier cadeau était de l'encens - un parfum de joie - qui signifiait que Jésus était Dieu - le Fils de Dieu.
Le second cadeau était de la myrrhe - un parfum de tristesse, qui signifiait que Jésus allait être crucifié, allait mourir et être enterré dans un tombeau froid. La myrrhe était un parfum utilisé lors des funérailles pour embaumer le corps des personnes décédées.
Mais il y avait encore un autre cadeau, un cadeau important comme vous allez voir...
Lequel ?-
-De l'or !-
Et pourquoi avait-il besoin d'or ?
SUITE....................
Alors, les mages comprirent que ce roi ne leur apporterait aucune aide.
Ils retrouvèrent l'étoile qui les conduisit de nouveau à Bethléhem et ils trouvèrent Jésus.
Ils avaient apporté trois sortes de cadeaux.
Parce qu'ils durent partir vivre et se cacher dans d'autres pays pendant deux ans !
En effet, Dieu était apparu en rêve aux mages et leur avait annoncé : " Le roi Hérode craint de perdre son royaume à cause de Jésus. Aussi, il veut le tuer. "
Alors, les mages prirent un autre chemin, un raccourci, en fait, et évitèrent le méchant roi Hérode.
De même, un ange apparut à Joseph et lui dit : " Emmène ta femme et ton petit enfant, fuis en Égypte et reste là-bas jusqu'à ce que je te dise de revenir. "
Joseph pris sa femme et Jésus et partirent en Égypte avec leur âne !
Deux ans plus tard, le Seigneur annonça à Joseph : " Ne t'inquiète plus, le Roi Hérode est mort ! Tu peux retourner à Nazareth désormais ! "
Imagine : ce jeune couple est parti avec un bébé et ils sont revenus avec un garçon de quatre ans !
Qu'en penses-tu ?
Fin
Les araignées de Noel
C'était un 24 décembre. Nous rentrions de la messe. Un fin grésil nous
piquait le nez, mais la seconde partie du réveillon nous attendait et nous
chantions en patois, de vieux noëls qui faisaient paraître le chemin plus
court.
Ecoute, Djeann, mai mie,
Novelle tchaincenate:
C'â les aindges di cie
Que tc haintant yos bellâtes.
Es tchaintant tus: gloria!
Per ensouène: alleluia!
Gloire en l'Eternel
Et paix detchu lai tierre!
(1)
Ecoute , Jeanne, ma mie,
Nouvelle chansonnette:
Ce sont les anges du ciel
Qui chantent leurs cantiques:
Ils chantent tous: gloria!
Tous ensemble: alleluia!
Gloire à l'Eternel
Et paix sur la terre!
Il y avait avec nous, cette année-là, une jeune suisse allemande qui
venait apprendre le français. Elle était arrivée au printemps et se
débrouillait déjà fort bien pour communiquer avec les Welches.
Vers deux heures du matin nous étions tous assis autour de la grande
cheminée de la cuisine. La conversation languissait. Les vecques cornus* et
les cafés plus ou moins arrosés circulaient sur un plateau quand une voix
s'est élevée:
- Eh Anna, si tu nous en racontais une de chez toi?
- Une quoi?
- Une histoire de Noël, bien sûr.
Elle a dû penser tout de suite au conte des araignées, Anna. On a vu
comme une lueur d'enfance qui brillait dans ses yeux un peu écartés.
Il y a eu un court silence et elle a commencé . . . .
" C'était aussi un 24 décembre, comme aujourd'hui, mais tôt dans l'après-midi. Dans une grande maison blanche, on terminait les nettoyages de Noël. Il fallait que la demeure reluise des cuisines jusqu'aux chambres de bonnes pour accueillir dignement Celui qui devait naître dans quelques heures, l'Enfant Divin.
La maîtresse de maison, une femme aimante, un peu débordée par ses huit enfants, s'était enfin assise dans son fauteuil et regardait le soleil rougissant disparaître entre les sapins. Toute la maison et ses habitants respiraient le bonheur du devoir accompli.
Toute la maison? Pas vraiment. Dans le galetas où elles s'étaient réfugiées, chassées par les balais, les pattes à poussière et l'énergie nettoyeuse des femmes, les araignées se désolaient.
- Quelle horrible journée! Qu'avons-nous donc fait pour être pourchassées de la sorte, disait l'une.
- Traquées, anéanties, mais pourquoi donc? se plaignait une seconde.
- Il y a un mystère là-dessous. Je propose que ce soir, quand tout dormira, nous explorions la maison jusqu'au salon, pour essayer de le découvrir.
Sa proposition a été acceptée. Le temps, lentement, lentement, s'est égoutté jusqu'au moment où enfin, on n'a plus entendu dans la maison que les bruits du sommeil. Alors, en file indienne, les araignées sont descendues jusqu'au salon. La porte était entr'ouverte. Le réverbère à gaz de l'avenue projettait sa douce lumière jusque dans la pièce.
Ah quelle merveille ! Quelle beauté ! Les noires petites bêtes en sont restées figées !
Dans un angle, s'élevant vers les stucs du plafond, un sapin du vert le plus profond : il était décoré de mille splendeurs. Des boules multicolores aux ors
mats, des angelots d'argent, des pommes brillantes, des noix, des biscuits d'anis, des biberlis pendaient à ses branches, attachés par des fils d'or.
La première, la hardie est sortie de sa contemplation et s'est dirigée vers l'arbre. Puis elle a regardé ses soeurs.
Oseront-elles? Elles ont osé.
Avec douceur, pleines d'émerveillement, elles ont parcouru l'arbre dans tous
les sens, s'arrêtant qui sur une boule bleu acier, qui sur un ânon de papier
ou une aiguille odorante.
Elles arrivaient au terme de leur chemin. Le roi de la forêt était maintenant recouvert du haut en bas d'un entrelac d'affreuses toiles grises.
A ce moment là, on a entendu comme un grand vent dans la cheminée et le Père Noël est apparu, les bras chargés de paquets. Il a vu les araignées et les a saluées d'un sourire plein de tendresse puis il a installé les cadeaux sous l'arbre.
C'est en se relevant qu'il s'est rendu compte du désastre. Il a imaginé la maman et ses enfants, au matin de Noël, devant l'arbre, des larmes de déception inondant leurs visages. Non, il ne laisserait pas faire ça. Il a tendu ses mains ridées et il a béni le travail des insectes velus. Un léger grésillement s'est fait entendre. Sous leurs yeux stupéfaits, les araignées ont vu l'arbre se métamorphoser, leur fils si ternes et gris se mettant à briller comme des étoiles. Elles sont remontées dans leur galetas, toujours
en file indienne, les yeux plein de la lumière de Noël.
On dit que depuis ce jour-là, de scintillantes guirlandes d'or et d'argent garnissent, elles aussi, notre arbre de Noël."
Le feu s'était presque éteint dans la cheminée. Les petits s'étaient endormis sur les genoux de leur mère. Nous sommes tous montés nous coucher. Depuis cette année-là, à chaque Noël, dans la vieille cuisine, on raconte l'histoire d'Anna.