Moulin a vent 

 Moulin a vent Bellerre ou du Morinand -Le bois plage en  Ré- Charente-Maritime

Construit avant 1627, ce moulin tour est le seul à posséder encore ses ailes. Il s'est arrêté de moudre en 1922.

C'est son actuel propriétaire qui l'a acheté en 1955 et qui l'a restauré en 1958.

Moulin a vent 

 Moulin a vent du Crémeur dit moulin du Diable

Il est situé sur la commune de Guérande- Loire Atlantique

Moulin de type petit pied breton qui lui permet de mieux prendre le vent, il est équipé d'ailes à toiles ainsi que d'un guivre pour le mettre face au vent. Si le moulin a une fière allure, il ne possède plus de mécanisme.

Il daterait de la fin du xv^e siècle et a dû s'arrêter fin xviii^e siècle. Il est restauré dans les années 1980.

Le moulin de Crémeur est connu principalement pour sa légende qui lui vaut le surnom de « moulin du Diable ». Cette légende raconte qu'Yves Kerbic voulait édifier un moulin mais qu'il était trop pauvre. Le Diable  passant lui proposa un pacte : « Je te bâtirai ton moulin en une nuit si tu me donnes ton âme ». Yves y consentit et le Malin se mit à l'ouvrage toute la nuit. À l'angélus du matin, la dernière pierre manquait. Le meunier rusé s'empressa de poser dans une niche une statuette de la Vierge et fit un signe de croix. Plein de rage, Satan recula : « Tu m'as volé ! » hurla-t-il et disparut dans un tourbillon de feu.

Moulin a vent 

 Moulin a vent de Boureille dit de "Gibra" - Gontaud Nogaret - Lot et Garonne

Ce moulin, très typique de sa région fut légué par son meunier au bureau de bienfaisance de Gontaud.
Il cesse de fonctionner et en 1920, la commune le recouvre d'un toit en zinc. Il va dormir au soleil du Marmandais jusqu'en 1955, date où sa restauration commence.
Inauguré le 13 juin 1981, il moud depuis le grain pour les visiteurs. Il est construit sur butte de 3 m de haut, mesure 10 mètres de haut. Ses ailes à toiles sont garnies de belle voiles de couleur bise.

Moulin a vent 

Moulin à vent de Karaes- Ile Ouessant - Finistére

Petits moulins pivots ou chandelier basés sur l'Ile d'Ouessant à quelques dizaines de mètres l'un de l'autre.

Ils ne sont que deux restaurés sur l'Ile pour le moment mais d'autres petits moulins devraient être rénovés dans quelques temps.

 Reconstruit à l'identique par le Parc régional d'Armorique, il est le seul vestige visible aujourd'hui des moulins autrefois si nombreux (plus d'une centaine).

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, quand les Ouessantins durent à nouveau cultiver l'orge et l'avoine, une quarantaine de moulins fonctionnaient. Comme c'étaient des moulins à orge, le grain y était moulu de façon très grossière et la farine, non blutée, servait à faire un pain fruste mais aussi le traditionnel "farz-oaled".

Moulin a vent 

Moulin à vent d'Eaucourt sur Somme

Le Moulin Guidon 

Son nom provient du fait qu'il servait de guide aux bateaux qui entraient dans les ports de la Manche. De la colline, on aperçoit effectivement la mer, et de l'autre côté le clocher de la cathédrale d'Amiens. Une table d'orientation devrait être dressée et la maison du meunier sera aménagée en restaurant.

Il a été laissé à l'abandon dans les années 30, il ne restait que des vestiges. L'Association des Anciens Eleves d'Eaucourt a poussé la municipalité à entreprendre la restauration. Des cartes postales et des documents d'époque ont permis sa reconstruction à l'identique. Il mesure près de 15 m avec ses ailes, son toit tournant permet de les orienter au vent.

Moulin a vent 

Moulins a vent de Régusse - Cote d'azur

Même s'il est difficile de déterminer les origines de ces deux bâtiments, on suppose que leur construction remonte aux Templiers. En effet, au XIIème siècle, les Templiers possédaient une commanderie à Régusse, et maîtrisaient la technique. Les documents de l'époque attestent de la présence d'un moulin en ruine en 1565. Ce qui laisse supposer qu'il a été bâti dès la fin du XVème siècle.

Restaurés en 1995 sous l'impulsion de la mairie de Régusse, les deux moulins ont retrouvé leur éclat d'antan. Ils sont inscrits à l'inventaire des Monuments Historiques, et ont été restaurés conformément aux plans originaux des Moulins de Provence.

Le moulin qui possède encore ses ailes est complétement opérationnel. Il est doté d'un mécanisme en chêne à l'ancienne, adapté aux deux vents dominants : le vent d'Est et le Mistral. L'axe relié aux ailes est une poutre de sept mètres de long pesant 800 kilos, et constituée de cinq essences de bois : chêne, cormier, cèdre rouge, orme et hêtre. Des meuniers volontaires accueillent les visiteurs pour expliquer le détail du fonctionnement de chacune des pièces.

Espacé d'une vingtaine de mètres, le deuxième moulin ne possède pas de mécanisme, mais abrite un petit musée de la vie rurale composé d'outils agraires.

Moulin a vent 

Moulin a vent de Boureille dit de "Gibra" - Gontaud Nogaret - Lot et Garonne

Ce moulin, très typique de sa région fut légué par son meunier au bureau de bienfaisance de Gontaud.
Il cesse de fonctionner et en 1920, la commune le recouvre d'un toit en zinc. Il va dormir au soleil du Marmandais jusqu'en 1955, date où sa restauration commence.
Inauguré le 13 juin 1981, il moud depuis le grain pour les visiteurs. Il est construit sur butte de 3 m de haut, mesure 10 mètres de haut. Ses ailes à toiles sont garnies de belle voiles de couleur bise.

Moulin a vent

Moulin à vent  Saint-Roch - Grimaud, Provence 

Un moulin à vent est installé ici depuis le XVIe siècle. Tout d’abord appelé Moulin de la Gardiole, il deviendra Moulin « Saint-Roch », au XVIIe siècle, suite à la construction de la chapelle dédiée à ce saint, à quelques centaines de mètres de là. Il fait partie des quatre moulins à vents de la commune. Cependant d’autres moulins, bien plus nombreux permettaient aussi de produire de la farine : les moulins à eau. Il en existait 9 sur le territoire.

Dans les années 1990, la toiture, les ailes et le mécanisme, ont étés restaurés. Devant l’édifice se trouve une aire de dépiquage. Sur cet espace, des chevaux piétinaient de leurs sabots, les gerbes de blé. Quelquefois ils tiraient un rouleau de pierre, augmentant l’efficacité de l’action. Une fois débarrassés des poussières et des morceaux de paille, les grains étaient portés au moulin pour y être broyés par les 2 meules en pierre. Le meunier installait des voiles sur les ailes (ou antennes) du moulin. Durant la mouture, il devait être attentif à de nombreux paramètres comme la force et l’orientation du vent. Une vitesse adéquate des meules permettait de produire une farine convenable. Ces moulins ont été arrêtés au début du XXe siècle.

Moulin a vent

Moulin à vent de Fontvieille - Saint Remy de Provence -Bouches-du-Rhône

Le Moulin de Daudet

Le moulin Saint-Pierre (ou Moulin Ribet), dit moulin de Daudet, a été construit en 1814, et est le moulin à vent le plus connu de Fontvieille. Contrairement à la légende locale, Daudet ne l’a jamais habité, c’est au château de Montauban chez les Ambroy qu’il réside, mais ce moulin l’aurait inspiré pour écrire « Le secret de Maître Cornille », l’une des nouvelles du recueil Les Lettres de mon moulin publié en 1869.

Sur la même colline on peut voir d’autres moulins qui font partie du groupe des moulins de Rome (moulin Sourdon, moulin Ramet, moulin Tissot-Avon), dont le premier fut construit en 1791.

Moulin a vent

Moulin à vent de Fontvieille - Saint Remy de Provence -Bouches-du-Rhône

Le Moulin de Daudet

Le moulin Saint-Pierre (ou Moulin Ribet), dit moulin de Daudet, a été construit en 1814, et est le moulin à vent le plus connu de Fontvieille. Contrairement à la légende locale, Daudet ne l’a jamais habité, c’est au château de Montauban chez les Ambroy qu’il réside, mais ce moulin l’aurait inspiré pour écrire « Le secret de Maître Cornille », l’une des nouvelles du recueil Les Lettres de mon moulin publié en 1869.

Sur la même colline on peut voir d’autres moulins qui font partie du groupe des moulins de Rome (moulin Sourdon, moulin Ramet, moulin Tissot-Avon), dont le premier fut construit en 1791.