Publié à 20:13 par lusile17
Chateau de Fougères
Rempart Nord-Est
Publié à 20:10 par lusile17
Chateau de Fougères
Dans la tour Surienne
Publié à 20:08 par lusile17
Chateau de Fougères :
Les oubliettes
Publié à 20:06 par lusile17
Chateau de Fougères
Vue sur les Tours Surienne et Raoul
Publié à 20:00 par lusile17
Fougères
Rempart Nord-Est et Etang de la Couarde
Publié à 19:54 par lusile17
Chateau de Fougères
Tour de Guémadec
Publié à 19:48 par lusile17
Chateau de Fougères
La porte d'Amboise
A l'extrémité nord du château, surplombée par la tour du Gobelin, la poterne du XVème siècle.
Noter les trous pour les bras du pont-levis au-dessus de la porte.
Publié à 19:43 par lusile17
Chateau de Fougères
Tour de Coigny
Publié à 19:22 par lusile17
Première enceinte du Château de Fougères
Château de Fougères pour une immersion totale au temps des Ducs de Bretagne. Vous embarquerez pour un voyage à travers le temps jusqu’au Moyen-âge et découvrirez la plus grande et sans aucun doute l’une des plus belles forteresses d’Europe.
Remarquablement restaurée et aménagée, elle vous raconte son histoire au cœur des Marches de Bretagne en proposant des visites à la carte pour tout public, de 7 à 77 ans, ainsi qu’un parcours ludique pour les enfants mais aussi pour les parents. Dans les trois principales tours, Mélusine, Surienne et Raoul II, une nouvelle scénographie vous plonge au cœur du passé historique du Château et de l’histoire de Fougères…
Publié à 19:14 par lusile17
Chateau de Fougéres
La tour Mélusine inspira Hugo
La tour Mélusine n'est pas la plus belle tour du château de Fougères, mais elle a inspiré à Victor Hugo le roman Quatrevingt-Treize. Vous parcourez une centaine de mètres depuis l'entrée de l'immense forteresse, sur une courtine munie de créneaux et de mâchicoulis. Et vous vous retrouvez face à elle, à l'angle de la dernière cour utilisée jadis comme ultime refuge face à l'envahisseur. Et aussitôt vous reconnaissez la Tourgue d'Hugo, « une haute et large tour, à six étages, percée çà et là de quelques meurtrières, ayant pour entrée et pour issue unique une porte de fer donnant sur un pont-châtelet ». A cette « brèche » conçue en hauteur pour éviter les coups de bélier, vous accédez aujourd'hui par un petit escalier. En entrant, vous découvrez au sol une grille par laquelle est visible la fameuse oubliette, tantôt prison, tantôt garde-manger. Puis vous montez les étages pour sortir par la poivrière, une sorte de petit chapeau d'ardoise rajouté au xviiie siècle pour un effet de coquetterie. Là, vous comprenez cette impression de puissance racontée par Hugo. Dans Quatrevingt-Treize, la description de la tour dure neuf pages. Mais l'auteur ne dit pas pourquoi, après l'avoir découverte en 1836, il a attendu près de quarante ans pour l'écrire.