Abbaye de Saint-Vaast

L’abbaye Saint-Vasst de Moreuil fut fondée en 1109 et disparut à la Révolution. Elle appartenait à l’ordre bénédictin.

Elle n'était à l'origine qu'un hospice où les Bénédictins du lieu entretenaient deux ou trois religieux chargés de faire valoir leurs biens. Par la suite, les moines bâtirent une chapelle et remplirent les fonctions curiales. En 1109, Bernard de Moreuil institua la chapelle sous le titre de prieuré de Saint-Vast. Vers 1140 ou 1150, ce prieuré fut érigé en abbaye et devint le lieu de sépulture des seigneurs de Moreuil
Le clocher moderne de l'église Saint-Vaast, conçu par les architectes Duval et Gonse. Le cardinal Créquy, évêque d'Amiens, fit, par son testament en date du 15 juin 1574, plusieurs legs à l'abbaye Saint-Vast.

En 1791,l'abbaye fut supprimée, l'ancienne église abbatiale resta église paroissiale.A la Révolution, l'abbaye fut déclarée bien national. En 1793, les tombeaux de la famille de Créquy furent une nouvelle fois profanés pour en récupérer le plomb.L'église fut en grande partie reconstruite au XIXe siècle.

Après la destruction de l'église au cours de la Grande Guerre, la reconstruction fut entreprise dans les années 1930.

Abbatiale de Berteaucourt-les-Dames

L’abbatiale Saint-Nicolas de Berteaucourt-les-Dames a été édifiée à la fin du xii^e et au tout début du xiii^e siècle. Elle est de style roman tardif. C’est l’un des derniers édifices romans de Picardie construit avant l’avènement du gothique.

L’église abbatiale fut à la Révolution transformée en église paroissiale et à demi-détruite au début du xix^e siècle.

Classé sur la première liste des Monuments historiques de 1840 elle fut restaurée sous le Second Empire et au début de la IIIe République par l’architecte Edmond Duthoit qui reconstruisit un chœur et le bas-côté nord.

Abbatiale de Berteaucourt-les-Dames

L’abbatiale Saint-Nicolas de Berteaucourt-les-Dames a été édifiée à la fin du xii^e et au tout début du xiii^e siècle. Elle est de style roman tardif. C’est l’un des derniers édifices romans de Picardie construit avant l’avènement du gothique.

L’église abbatiale fut à la Révolution transformée en église paroissiale et à demi-détruite au début du xix^e siècle.

Classé sur la première liste des Monuments historiques de 1840 elle fut restaurée sous le Second Empire et au début de la IIIe République par l’architecte Edmond Duthoit qui reconstruisit un chœur et le bas-côté nord.

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).

Abbaye Sainte-Marie de Valmagne

L'Abbaye Sainte-Marie de Valmagne est une abbaye cistercienne située à Villeveyrac, dans le département de l'Hérault.

L'abbaye de Valmagne  est fondée en 1138 par Raymond Trencavel, vicomte de Béziers. Cette fondation est confirmée l'année suivante par l'évêque d'Agde (1139).Le fort développement de l'ordre cistercien amène cependant l'abbaye à demander assez vite, en 1144, son détachement d'Ardorel et de Cadouin afin d'être rattachée à Bonnevaux, fondation de Cîteaux, dans le Dauphiné. Trencavel s'y oppose sans succès : le rattachement est effectif en 1145. En 1159, le pape Adrien IV confirme cette affiliation cistercienne. L'abbaye respectera alors les règles morales et architecturales de saint Bernard.

L'église actuelle, de style gothique classique, fut reconstruite à partir de 1257 sur les fondations d'une église romane devenue trop petite. Mesurant 83 m de long et 23 m de haut , cet édifice de grandes dimensions est d'une élévation très hardie et gracieuse . Bâti en pierre locale de piètre qualité, le bâtiment est dans un état général relativement mauvais, voire fragile ; quelques contreforts sont même tombés. C'est pour cette raison, et afin d'assurer la stabilité de l'édifice, que certaines de ses ouvertures (fenêtres hautes) ainsi que les espaces entre les colonnes de la nef sont murés, souvent depuis le xvii^e siècle.

 Par ailleurs, le bâtiment héberge encore les foudres (inutilisés aujourd'hui) de la production de vin du domaine local dans les chapelles latérales (l'église ayant été transformée en chai sous la Révolution).