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Par Anonyme, le 24.02.2025
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Par Anonyme, le 24.02.2025
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Château de Miolans
Le château de Miolans est un ancien château fort, du xie siècle, au Moyen Âge centre de la baronnie de Miolans, situé dans la Combe de Savoie, dont les vestiges se dressent sur la commune de Saint-Pierre-d'Albigny,dans le département de Savoie
Le château de Miolans fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1944
La forteresse de Miolans, contrôle l’une des voies d’accès les plus stratégiques des Alpes. Admirablement conservée, véritable chef-d’œuvre militaire jusqu’à la fin du XVème siècle, le Château de Miolans offre, du haut de ses 550 mètres d’altitude, une vue exceptionnelle du Mont Blanc au Vercors.
Les origines de Miolans remontent au 4ème siècle où des fortifications permettaient de surveiller la voie romaine Milan-Vienne. Sur cet emplacement fut contruit le château actuel du XI ème au XVI ème siècle.
Manoir féodal des seigneurs de Miolans pendant six siècles (923-1523), le château fut ensuite laissé en héritage aux Ducs de Savoie qui le transformèrent en place de guerre. En 1559, il devint prison d’Etat de la Maison de Savoie. Pendant plus de deux siècles, jusqu’en 1792, date de l’entrée en Savoie de l’armée française, Miolans inspira de telles terreurs qu’il fut surnommé « la Bastille savoyarde ». Parmi les prisonniers les plus célèbres figure notamment le marquis de Sade qui fut incarcéré en 1772.
Laissé à l’abandon jusqu’en 1869, il a depuis lors fait l’objet de nombreuses campagnes de restauration dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat, le Conseil général de Savoie, la commune de Saint-Pierre d’Albigny et les propriétaires.
Château de Miolans
Le château de Miolans est un ancien château fort, du xie siècle, au Moyen Âge centre de la baronnie de Miolans, situé dans la Combe de Savoie, dont les vestiges se dressent sur la commune de Saint-Pierre-d'Albigny,dans le département de Savoie
Le château de Miolans fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1944
La forteresse de Miolans, contrôle l’une des voies d’accès les plus stratégiques des Alpes. Admirablement conservée, véritable chef-d’œuvre militaire jusqu’à la fin du XVème siècle, le Château de Miolans offre, du haut de ses 550 mètres d’altitude, une vue exceptionnelle du Mont Blanc au Vercors.
Les origines de Miolans remontent au 4ème siècle où des fortifications permettaient de surveiller la voie romaine Milan-Vienne. Sur cet emplacement fut contruit le château actuel du XI ème au XVI ème siècle.
Manoir féodal des seigneurs de Miolans pendant six siècles (923-1523), le château fut ensuite laissé en héritage aux Ducs de Savoie qui le transformèrent en place de guerre. En 1559, il devint prison d’Etat de la Maison de Savoie. Pendant plus de deux siècles, jusqu’en 1792, date de l’entrée en Savoie de l’armée française, Miolans inspira de telles terreurs qu’il fut surnommé « la Bastille savoyarde ». Parmi les prisonniers les plus célèbres figure notamment le marquis de Sade qui fut incarcéré en 1772.
Laissé à l’abandon jusqu’en 1869, il a depuis lors fait l’objet de nombreuses campagnes de restauration dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat, le Conseil général de Savoie, la commune de Saint-Pierre d’Albigny et les propriétaires.
Château de Miolans
Le château de Miolans est un ancien château fort, du xie siècle, au Moyen Âge centre de la baronnie de Miolans, situé dans la Combe de Savoie, dont les vestiges se dressent sur la commune de Saint-Pierre-d'Albigny,dans le département de Savoie
Le château de Miolans fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1944
La forteresse de Miolans, contrôle l’une des voies d’accès les plus stratégiques des Alpes. Admirablement conservée, véritable chef-d’œuvre militaire jusqu’à la fin du XVème siècle, le Château de Miolans offre, du haut de ses 550 mètres d’altitude, une vue exceptionnelle du Mont Blanc au Vercors.
Les origines de Miolans remontent au 4ème siècle où des fortifications permettaient de surveiller la voie romaine Milan-Vienne. Sur cet emplacement fut contruit le château actuel du XI ème au XVI ème siècle.
Manoir féodal des seigneurs de Miolans pendant six siècles (923-1523), le château fut ensuite laissé en héritage aux Ducs de Savoie qui le transformèrent en place de guerre. En 1559, il devint prison d’Etat de la Maison de Savoie. Pendant plus de deux siècles, jusqu’en 1792, date de l’entrée en Savoie de l’armée française, Miolans inspira de telles terreurs qu’il fut surnommé « la Bastille savoyarde ». Parmi les prisonniers les plus célèbres figure notamment le marquis de Sade qui fut incarcéré en 1772.
Laissé à l’abandon jusqu’en 1869, il a depuis lors fait l’objet de nombreuses campagnes de restauration dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat, le Conseil général de Savoie, la commune de Saint-Pierre d’Albigny et les propriétaires.
Château de Boismorand , Antigny, Vienne
C'est Jean de Moussy, seigneur de La Contour, qui achète le château en cours de construction en 1470 et achevé vers 1490. Les d'Aloigny aux XVe et XVIIe siècles, les Scourions jusqu'à la Révolution et la première moitié du XIXe siècle, vont posséder la propriété.
Fernand de Puynode, marié à une fille Scourions, est le commanditaire des travaux qui sont réalisés après 1867. Le logis du XVe siècle était défendu à l'ouest par trois tours rondes et par une tour cylindrique en avancée à l'est. Le bâtiment rectangulaire hors oeuvre abritant la chapelle gothique est aujourd'hui pris dans un décor XIXe siècle. Diverses adjonctions s'ajoutent au logis d'origine et empruntent le vocabulaire néo-gothique.
L'intérieur de la salle au billard est recomposé à la même période, vitraux du XVIe en remploi et vitraux créés par Baptiste Petit Girard. La Chapelle a conservé son décor intact, retraçant l'enfance du Christ, le Jugement dernier, le dict des trois morts et des trois vifs, le Christ en gloire entouré du tétramorphe. Les communs et le jardin datent du XIXe siècle.
Château de Chassay
Le château du Chassay est situé dans la commune de Sainte-Luce-sur-Loire .
Un document, daté de 1096, évoque le château que les évêques possédaient à Chasseil (ancien nom de Chassay). En 1461 , l’évêque Amaury d’Acigné fit enclore le château de douves et de fortifications par peur de représailles du duc de Bretagne, François II, auquel il refusait de prêter serment de fidélité et d’allégeance. En 1462, suite à cette querelle, le duc de Bretagne confisqua tous les biens de l’évêché et chassa Amaury d’Acigne de Nantes. Il semble que François II transforma alors Chassay en pavillon de chasse. Chassay revint à l’évêché probablement en 1500, lorsque Guillaume Guéguen, protégé d’Anne de Bretagne, devint évêque de Nantes. L’évènement historique majeur que connut le manoir fut le passage d’Henri IV et de sa suite, le 13 avril 1598, qui vint dîner en compagnie de l’évêque avant son entrée à Nantes où il devait signer le célèbre édit, le 30 avril 1598.
Le corps carré au centre de l’édifice avec les tourelles carrées en encorbellement date de la deuxième moitié du XVIe siècle, car son architecture est de style renaissance italienne. Le 27 janvier 1791, le château, en tant que résidence épiscopale, et l’ensemble du domaine furent vendus comme bien national
à l’armateur Dubois Violette. Il le revendit moins d’un an plus tard. Plusieurs
propriétaires se succédèrent ensuite, laissant le château dans un état déplorable.
En 1974, la commune acheta le château et y transféra ses services en 1975.
Château de Chassay
Le château du Chassay est situé dans la commune de Sainte-Luce-sur-Loire .
Un document, daté de 1096, évoque le château que les évêques possédaient à Chasseil (ancien nom de Chassay). En 1461 , l’évêque Amaury d’Acigné fit enclore le château de douves et de fortifications par peur de représailles du duc de Bretagne, François II, auquel il refusait de prêter serment de fidélité et d’allégeance. En 1462, suite à cette querelle, le duc de Bretagne confisqua tous les biens de l’évêché et chassa Amaury d’Acigne de Nantes. Il semble que François II transforma alors Chassay en pavillon de chasse. Chassay revint à l’évêché probablement en 1500, lorsque Guillaume Guéguen, protégé d’Anne de Bretagne, devint évêque de Nantes. L’évènement historique majeur que connut le manoir fut le passage d’Henri IV et de sa suite, le 13 avril 1598, qui vint dîner en compagnie de l’évêque avant son entrée à Nantes où il devait signer le célèbre édit, le 30 avril 1598.
Le corps carré au centre de l’édifice avec les tourelles carrées en encorbellement date de la deuxième moitié du XVIe siècle, car son architecture est de style renaissance italienne. Le 27 janvier 1791, le château, en tant que résidence épiscopale, et l’ensemble du domaine furent vendus comme bien national
à l’armateur Dubois Violette. Il le revendit moins d’un an plus tard. Plusieurs
propriétaires se succédèrent ensuite, laissant le château dans un état déplorable.
En 1974, la commune acheta le château et y transféra ses services en 1975.
Château fort de Picquigny - Entrée porche
Classé monument historique en1906
Le château fort de Picquigny se situe sur la commune de Picquigny à proximité ouest d'Amiens, dans la Somme.
Il n'en subsiste aujourd'hui que d'imposants vestiges.
En 1066, Eustache de Picquigny devint vidame d'Amiens, c'est-à-dire défenseur de l'évêque et avoué de l'abbaye de Corbie. Le seigneur de Picquigny rendait donc hommage à l'évêque d'Amiens qui lui remettait un anneau d'or, et à l'abbé de Corbie.
En 1115, le châtelain d'Amiens, Adam fut incarcéré au château de Picquigny.
En 1307, sur l'ordre de Philippe IV le Bel, roi de France, Renaud de Picquigny fit arrêter et incarcérer les Templiers du bailliage d'Amiens au château1.
Au début de la Guerre de Cent Ans, Édouard III d'Angleterre ne put franchir la Somme à Picquigny, en 1346.
En 1398, la seigneurie de Picquigny passa à Baudoin d'Ailly et resta dans cette famille jusqu'en 1681.
Le château fort fut incendié en 1470 par Charles le Téméraire. Il fut reconstruit et modifié à la Renaissance.
Le 7 juin 1493, le roi Charles VIII passa une nuit au château à son retour d'un pèlerinage à Notre-Dame de Boulogne.
En 1553, l'armée de Charles Quint incendia la ville de Picquigny.
En avril 1597, Henri IV séjourna au château avant de se rendre au siège d'Amiens prise par les Espagnols.
En 1636, Richelieu passa une nuit au château en allant inspecter les fortifications d'Abbeville.
En 1681, la seigneurie de Picquigny passa à la famille d'Honoré d'Albert (1581-1649), duc de Chaulnes et resta dans cette famille jusque 1774.
En 1689, Madame de Sévigné séjourna quatre jours au château. Elle relata son séjour dans une lettre datée du 27 avril 1689. À la mort de Louis d'Albert de Luynes, la seigneurie de Picquigny passa après plusieurs péripéties au comte d'Artois, le futur Charles X , en 1779.
À la Révolution, les terres et le château déclarés Bien national furent vendus au District d'Amiens les 27, 28, 29 nivôse an III. Laissé à l'abandon, le château tomba en ruine et passa à divers propriétaires.
En 1912, la propriétaire, la comtesse Aymar de La Rochefoucauld légua par testament le château de Picquigny à la Société des antiquaires de Picardie qui l'a vendu à un propriétaire privé en 2013.
CC
Château fort de Picquigny - Entrée porche
Classé monument historique en1906
Le château fort de Picquigny se situe sur la commune de Picquigny à proximité ouest d'Amiens, dans la Somme.
Il n'en subsiste aujourd'hui que d'imposants vestiges.
En 1066, Eustache de Picquigny devint vidame d'Amiens, c'est-à-dire défenseur de l'évêque et avoué de l'abbaye de Corbie. Le seigneur de Picquigny rendait donc hommage à l'évêque d'Amiens qui lui remettait un anneau d'or, et à l'abbé de Corbie.
En 1115, le châtelain d'Amiens, Adam fut incarcéré au château de Picquigny.
En 1307, sur l'ordre de Philippe IV le Bel, roi de France, Renaud de Picquigny fit arrêter et incarcérer les Templiers du bailliage d'Amiens au château1.
Au début de la Guerre de Cent Ans, Édouard III d'Angleterre ne put franchir la Somme à Picquigny, en 1346.
En 1398, la seigneurie de Picquigny passa à Baudoin d'Ailly et resta dans cette famille jusqu'en 1681.
Le château fort fut incendié en 1470 par Charles le Téméraire. Il fut reconstruit et modifié à la Renaissance.
Le 7 juin 1493, le roi Charles VIII passa une nuit au château à son retour d'un pèlerinage à Notre-Dame de Boulogne.
En 1553, l'armée de Charles Quint incendia la ville de Picquigny.
En avril 1597, Henri IV séjourna au château avant de se rendre au siège d'Amiens prise par les Espagnols.
En 1636, Richelieu passa une nuit au château en allant inspecter les fortifications d'Abbeville.
En 1681, la seigneurie de Picquigny passa à la famille d'Honoré d'Albert (1581-1649), duc de Chaulnes et resta dans cette famille jusque 1774.
En 1689, Madame de Sévigné séjourna quatre jours au château. Elle relata son séjour dans une lettre datée du 27 avril 1689. À la mort de Louis d'Albert de Luynes, la seigneurie de Picquigny passa après plusieurs péripéties au comte d'Artois, le futur Charles X , en 1779.
À la Révolution, les terres et le château déclarés Bien national furent vendus au District d'Amiens les 27, 28, 29 nivôse an III. Laissé à l'abandon, le château tomba en ruine et passa à divers propriétaires.
En 1912, la propriétaire, la comtesse Aymar de La Rochefoucauld légua par testament le château de Picquigny à la Société des antiquaires de Picardie qui l'a vendu à un propriétaire privé en 2013.
CC
Château fort de Picquigny - Entrée porche
Classé monument historique en1906
Le château fort de Picquigny se situe sur la commune de Picquigny à proximité ouest d'Amiens, dans la Somme.
Il n'en subsiste aujourd'hui que d'imposants vestiges.
En 1066, Eustache de Picquigny devint vidame d'Amiens, c'est-à-dire défenseur de l'évêque et avoué de l'abbaye de Corbie. Le seigneur de Picquigny rendait donc hommage à l'évêque d'Amiens qui lui remettait un anneau d'or, et à l'abbé de Corbie.
En 1115, le châtelain d'Amiens, Adam fut incarcéré au château de Picquigny.
En 1307, sur l'ordre de Philippe IV le Bel, roi de France, Renaud de Picquigny fit arrêter et incarcérer les Templiers du bailliage d'Amiens au château1.
Au début de la Guerre de Cent Ans, Édouard III d'Angleterre ne put franchir la Somme à Picquigny, en 1346.
En 1398, la seigneurie de Picquigny passa à Baudoin d'Ailly et resta dans cette famille jusqu'en 1681.
Le château fort fut incendié en 1470 par Charles le Téméraire. Il fut reconstruit et modifié à la Renaissance.
Le 7 juin 1493, le roi Charles VIII passa une nuit au château à son retour d'un pèlerinage à Notre-Dame de Boulogne.
En 1553, l'armée de Charles Quint incendia la ville de Picquigny.
En avril 1597, Henri IV séjourna au château avant de se rendre au siège d'Amiens prise par les Espagnols.
En 1636, Richelieu passa une nuit au château en allant inspecter les fortifications d'Abbeville.
En 1681, la seigneurie de Picquigny passa à la famille d'Honoré d'Albert (1581-1649), duc de Chaulnes et resta dans cette famille jusque 1774.
En 1689, Madame de Sévigné séjourna quatre jours au château. Elle relata son séjour dans une lettre datée du 27 avril 1689. À la mort de Louis d'Albert de Luynes, la seigneurie de Picquigny passa après plusieurs péripéties au comte d'Artois, le futur Charles X , en 1779.
À la Révolution, les terres et le château déclarés Bien national furent vendus au District d'Amiens les 27, 28, 29 nivôse an III. Laissé à l'abandon, le château tomba en ruine et passa à divers propriétaires.
En 1912, la propriétaire, la comtesse Aymar de La Rochefoucauld légua par testament le château de Picquigny à la Société des antiquaires de Picardie qui l'a vendu à un propriétaire privé en 2013.
CC
Château fort de Picquigny - Entrée porche
Classé monument historique en1906
Le château fort de Picquigny se situe sur la commune de Picquigny à proximité ouest d'Amiens, dans la Somme.
Il n'en subsiste aujourd'hui que d'imposants vestiges.
En 1066, Eustache de Picquigny devint vidame d'Amiens, c'est-à-dire défenseur de l'évêque et avoué de l'abbaye de Corbie. Le seigneur de Picquigny rendait donc hommage à l'évêque d'Amiens qui lui remettait un anneau d'or, et à l'abbé de Corbie.
En 1115, le châtelain d'Amiens, Adam fut incarcéré au château de Picquigny.
En 1307, sur l'ordre de Philippe IV le Bel, roi de France, Renaud de Picquigny fit arrêter et incarcérer les Templiers du bailliage d'Amiens au château1.
Au début de la Guerre de Cent Ans, Édouard III d'Angleterre ne put franchir la Somme à Picquigny, en 1346.
En 1398, la seigneurie de Picquigny passa à Baudoin d'Ailly et resta dans cette famille jusqu'en 1681.
Le château fort fut incendié en 1470 par Charles le Téméraire. Il fut reconstruit et modifié à la Renaissance.
Le 7 juin 1493, le roi Charles VIII passa une nuit au château à son retour d'un pèlerinage à Notre-Dame de Boulogne.
En 1553, l'armée de Charles Quint incendia la ville de Picquigny.
En avril 1597, Henri IV séjourna au château avant de se rendre au siège d'Amiens prise par les Espagnols.
En 1636, Richelieu passa une nuit au château en allant inspecter les fortifications d'Abbeville.
En 1681, la seigneurie de Picquigny passa à la famille d'Honoré d'Albert (1581-1649), duc de Chaulnes et resta dans cette famille jusque 1774.
En 1689, Madame de Sévigné séjourna quatre jours au château. Elle relata son séjour dans une lettre datée du 27 avril 1689. À la mort de Louis d'Albert de Luynes, la seigneurie de Picquigny passa après plusieurs péripéties au comte d'Artois, le futur Charles X , en 1779.
À la Révolution, les terres et le château déclarés Bien national furent vendus au District d'Amiens les 27, 28, 29 nivôse an III. Laissé à l'abandon, le château tomba en ruine et passa à divers propriétaires.
En 1912, la propriétaire, la comtesse Aymar de La Rochefoucauld légua par testament le château de Picquigny à la Société des antiquaires de Picardie qui l'a vendu à un propriétaire privé en 2013.
CC