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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Basilique Notre-Dame de la Garde
Notre-Dame de la Garde , souvent surnommée « la Bonne Mère » ), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis1917 .
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit parFrançois Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille .
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs .
Basilique Notre-Dame de la Garde
Notre-Dame de la Garde , souvent surnommée « la Bonne Mère » ), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis1917 .
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit parFrançois Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille .
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs .
Basilique Notre-Dame de la Garde
Notre-Dame de la Garde , souvent surnommée « la Bonne Mère » ), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis1917 .
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit parFrançois Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille .
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs .
Basilique Notre-Dame de la Garde
Notre-Dame de la Garde , souvent surnommée « la Bonne Mère » ), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis1917 .
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit parFrançois Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille .
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la ibération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs .
Basilique Notre-Dame de la Garde
Notre-Dame de la Garde , souvent surnommée « la Bonne Mère » ), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis1917 .
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit parFrançois Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille .
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Histoire)" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ration_(Histoire)">Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs .
Basilique Notre-Dame de la Garde
Notre-Dame de la Garde , souvent surnommée « la Bonne Mère » ), est une des basiliques mineures de l'Église catholique romaine. Elle est située à Marseille, entre les quartiers du Roucas Blanc, d'Endoume et de Vauban, sur un piton calcaire de 149 mètres d'altitude surélevé de 13 mètres grâce aux murs et soubassements d'un ancien fort. La colline Notre-Dame-de-la-Garde constitue un site classé depuis1917 .
Construite par l'architecte Henri Espérandieu dans le style romano-byzantin et consacrée le 5 juin 1864, elle remplace une chapelle du même nom édifiée en 1214 et reconstruite au xve siècle. Bâtie sur les bases d'un fort du xvie siècle construit parFrançois Ier en 1536 pour résister au siège de Charles Quint, la basilique comporte deux parties : une église basse, ou crypte, creusée dans le roc et de style roman, et au-dessus une église haute de style romano-byzantin décorée de mosaïques. Au sommet d'un clocher carré de 41 mètres de haut surmonté lui-même d'une sorte de tour de 12,5 mètres qui lui sert de piédestal, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l'Enfant réalisée en cuivre doré à la feuille .
La pierre utilisée pour la construction, notamment celle de couleur verte en provenance des environs de Florence, s’étant révélée sensible à la corrosion atmosphérique, il a été nécessaire d’entreprendre de 2001 à 2008 une longue et minutieuse restauration qui a également porté sur la rénovation des mosaïques, endommagées à la Libération par les impacts de balles et noircies au fil du temps par la fumée des cierges.
Véritable palladium de la ville de Marseille, Notre-Dame de la Garde est depuis le Moyen Âge considérée comme la gardienne des marins et des pêcheurs .
Basilique Saint-Michel-Archange
La basilique Saint-Michel-Archange (placée sous l’invocation de saint Michel Archange) est une église catholique située en plein cœur du centre historique de Menton. Depuis la route du bord de mer, de majestueuses rampes d’escaliers permettent d’accéder progressivement au site où, sur une place au parterre caladé, triomphe toute la perspective de l’architecture baroque.
Au début du xviie siècle, souhaitée par le prince Honoré II de Monaco, sa construction est confiée à l’architecte Lorenzo Lavagna. Le 27 mai 1619, la première pierre est posée en présence du prince et de monseigneur Nicolà Spinola, évêque deVintimille dont dépendaient Menton et Roquebrune alors que Monaco dépendait de l'évêque de Nice. Les travaux de terrassement débutent réellement en 1639 et l'église est ouverte au culte en 1653. Enfin, le 8 mai 1675, l’évêque de Vintimille monseigneur Mauro Promontorio consacre la nouvelle église en présence du prince Louis Ier. En 1701, l’architecte Emmanuel Cantone érige un clocher de cinquante-trois mètres de haut, véritable tour de guet dominant la ville. Sa façade actuelle est achevée en 1819 dans l’esprit du baroque du xviie siècle.
Basilique Notre-Dame-du-Laus
Elle est nommée en l'honneur des apparitions de Marie à Benoîte Rencurel à Saint-Étienne-le-Laus durant 54 ans entre 1664 et 1718. Les lieux des apparitions constituent aujourd'hui le sanctuaire de Notre-Dame du Laus.
À l’origine, l’église ne comporte que la nef et un simple mur-clocher qui supporte une cloche (le grand clocher actuel a été construit de 1834 à 1837 par les pères Oblats de Marie Immaculée, en charge du sanctuaire à cette époque).
Seul élément artistique à l’extérieur, le portail monumental d’entrée a été construit grâce à un don de 300 livres de Mgr d’Aubusson de la Feuillade, archevêque d’Embrun, en remerciement à la Vierge suite à une guérison obtenue durant l’hiver 1665. Les armes du prélat sont d’ailleurs gravées dans la pierre et sur le bois de la porte.
Les chapelles latérales, dédiées à l’Enfant Jésus et à saint Joseph, seront ajoutées en 1686 grâce à la générosité de Gaillard.
La chapelle des confessions, elle, sur le côté droit à l’arrière de l’église, est construite en 1840. Son vis-à-vis côté gauche, l’aile abritant l’ « accueil du pèlerin », date de 2004.
La chapelle octogonale qui prolonge l’église en arrière du chœur fut élevée entre 1841 et 1845, sous l’impulsion de Mgr Depéry. Communément appelée « rotonde » ou « chapelle des anges », elle contient la seule représentation authentique de Benoîte .
Le clocheton, situé à gauche de la basilique à la jonction avec le Couvent – bâtiment le plus ancien de l’hôtellerie – abrite une cloche qui fut donnée à Benoîte par un avocat de Marseille. La tradition veut que cette cloche soit sonnée pour éloigner la grêle chaque fois que l’orage menace.
Au-dessus du village de Saint-Étienne-le-Laus, petit village appartenant alors au diocèse d’Embrun, au mois de mai 1664, la Vierge Marie apparaît à une bergère de 17 ans, Benoîte, habitant avec sa famille au village. Pendant quatre mois, chaque jour, Benoîte conduit le troupeau du voisin à l’endroit même où elle rencontre la “Belle Dame”. Celle-ci la prépare à devenir un témoin privilégié de la grâce de la conversion.
“Je suis Dame Marie, la Mère de Jésus…”
À partir de l’automne, c’est dans le hameau du Laus, en face de Saint-Étienne, que la Vierge Marie lui donne rendez-vous : elle lui demande alors la construction d’une église, avec une maison pour les prêtres. Le but de cette initiative qui prendra rapidement corps est d’y attirer les chrétiens désireux de vivre un chemin de conversion, notamment par le sacrement de la confession. Depuis les origines du pèlerinage, les guérisons physiques et morales ont été accordées en grand nombre, notamment par les onctions de l’huile de la lampe du Sanctuaire appliquées avec foi, selon le conseil que la Vierge Marie elle-même donna à Benoîte.
Basilique Notre-Dame-du-Laus
Elle est nommée en l'honneur des apparitions de Marie à Benoîte Rencurel à Saint-Étienne-le-Laus durant 54 ans entre 1664 et 1718. Les lieux des apparitions constituent aujourd'hui le sanctuaire de Notre-Dame du Laus.
À l’origine, l’église ne comporte que la nef et un simple mur-clocher qui supporte une cloche (le grand clocher actuel a été construit de 1834 à 1837 par les pères Oblats de Marie Immaculée, en charge du sanctuaire à cette époque).
Seul élément artistique à l’extérieur, le portail monumental d’entrée a été construit grâce à un don de 300 livres de Mgr d’Aubusson de la Feuillade, archevêque d’Embrun, en remerciement à la Vierge suite à une guérison obtenue durant l’hiver 1665. Les armes du prélat sont d’ailleurs gravées dans la pierre et sur le bois de la porte.
Les chapelles latérales, dédiées à l’Enfant Jésus et à saint Joseph, seront ajoutées en 1686 grâce à la générosité de Gaillard.
La chapelle des confessions, elle, sur le côté droit à l’arrière de l’église, est construite en 1840. Son vis-à-vis côté gauche, l’aile abritant l’ « accueil du pèlerin », date de 2004.
La chapelle octogonale qui prolonge l’église en arrière du chœur fut élevée entre 1841 et 1845, sous l’impulsion de Mgr Depéry. Communément appelée « rotonde » ou « chapelle des anges », elle contient la seule représentation authentique de Benoîte .
Le clocheton, situé à gauche de la basilique à la jonction avec le Couvent – bâtiment le plus ancien de l’hôtellerie – abrite une cloche qui fut donnée à Benoîte par un avocat de Marseille. La tradition veut que cette cloche soit sonnée pour éloigner la grêle chaque fois que l’orage menace.
Au-dessus du village de Saint-Étienne-le-Laus, petit village appartenant alors au diocèse d’Embrun, au mois de mai 1664, la Vierge Marie apparaît à une bergère de 17 ans, Benoîte, habitant avec sa famille au village. Pendant quatre mois, chaque jour, Benoîte conduit le troupeau du voisin à l’endroit même où elle rencontre la “Belle Dame”. Celle-ci la prépare à devenir un témoin privilégié de la grâce de la conversion.
“Je suis Dame Marie, la Mère de Jésus…”
À partir de l’automne, c’est dans le hameau du Laus, en face de Saint-Étienne, que la Vierge Marie lui donne rendez-vous : elle lui demande alors la construction d’une église, avec une maison pour les prêtres. Le but de cette initiative qui prendra rapidement corps est d’y attirer les chrétiens désireux de vivre un chemin de conversion, notamment par le sacrement de la confession. Depuis les origines du pèlerinage, les guérisons physiques et morales ont été accordées en grand nombre, notamment par les onctions de l’huile de la lampe du Sanctuaire appliquées avec foi, selon le conseil que la Vierge Marie elle-même donna à Benoîte.
Basilique Notre-Dame-du-Laus
Elle est nommée en l'honneur des apparitions de Marie à Benoîte Rencurel à Saint-Étienne-le-Laus durant 54 ans entre 1664 et 1718. Les lieux des apparitions constituent aujourd'hui le sanctuaire de Notre-Dame du Laus.
À l’origine, l’église ne comporte que la nef et un simple mur-clocher qui supporte une cloche (le grand clocher actuel a été construit de 1834 à 1837 par les pères Oblats de Marie Immaculée, en charge du sanctuaire à cette époque).
Seul élément artistique à l’extérieur, le portail monumental d’entrée a été construit grâce à un don de 300 livres de Mgr d’Aubusson de la Feuillade, archevêque d’Embrun, en remerciement à la Vierge suite à une guérison obtenue durant l’hiver 1665. Les armes du prélat sont d’ailleurs gravées dans la pierre et sur le bois de la porte.
Les chapelles latérales, dédiées à l’Enfant Jésus et à saint Joseph, seront ajoutées en 1686 grâce à la générosité de Gaillard.
La chapelle des confessions, elle, sur le côté droit à l’arrière de l’église, est construite en 1840. Son vis-à-vis côté gauche, l’aile abritant l’ « accueil du pèlerin », date de 2004.
La chapelle octogonale qui prolonge l’église en arrière du chœur fut élevée entre 1841 et 1845, sous l’impulsion de Mgr Depéry. Communément appelée « rotonde » ou « chapelle des anges », elle contient la seule représentation authentique de Benoîte .
Le clocheton, situé à gauche de la basilique à la jonction avec le Couvent – bâtiment le plus ancien de l’hôtellerie – abrite une cloche qui fut donnée à Benoîte par un avocat de Marseille. La tradition veut que cette cloche soit sonnée pour éloigner la grêle chaque fois que l’orage menace.
Au-dessus du village de Saint-Étienne-le-Laus, petit village appartenant alors au diocèse d’Embrun, au mois de mai 1664, la Vierge Marie apparaît à une bergère de 17 ans, Benoîte, habitant avec sa famille au village. Pendant quatre mois, chaque jour, Benoîte conduit le troupeau du voisin à l’endroit même où elle rencontre la “Belle Dame”. Celle-ci la prépare à devenir un témoin privilégié de la grâce de la conversion.
“Je suis Dame Marie, la Mère de Jésus…”
À partir de l’automne, c’est dans le hameau du Laus, en face de Saint-Étienne, que la Vierge Marie lui donne rendez-vous : elle lui demande alors la construction d’une église, avec une maison pour les prêtres. Le but de cette initiative qui prendra rapidement corps est d’y attirer les chrétiens désireux de vivre un chemin de conversion, notamment par le sacrement de la confession. Depuis les origines du pèlerinage, les guérisons physiques et morales ont été accordées en grand nombre, notamment par les onctions de l’huile de la lampe du Sanctuaire appliquées avec foi, selon le conseil que la Vierge Marie elle-même donna à Benoîte.