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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Conte de Hans Christian Andersen - La petite Siréne
Illustration de Bertall
Il était une fois une sirène vivant dans les profondeurs de l'océan avec son père, le roi de la mer, et sa famille. Un jour qu'elle contemple la surface et le monde extérieur, elle aperçoit un navire avec, à son bord, un beau jeune homme. Une tempête éclate et le navire chavire. La petite sirène sauve le prince et disparaît dans les profondeurs marines à son réveil…
Ce conte, écrit par Hans Christian Andersen, est l'un des plus connu de cet auteur et est encore vivace aujourd'hui.
Conte de Hans Christian Andersen - La petite Siréne
Ce conte est également nommé La Petite Ondine.
La petite sirène vit sous la mer auprès de son père, le roi de la mer, de sa grand-mère et de ses cinq sœurs. Lorsqu’une sirène atteint l’âge de quinze ans, elle est autorisée à nager jusqu’à la surface pour contempler le monde extérieur.
Lorsque la petite sirène atteignit enfin cet âge, elle se rendit à son tour à la surface où elle aperçut un navire avec un beau prince (humain) de son âge. Une tempête se déclencha, le navire chavira et le prince tomba à l’eau. Elle le sauva en le ramenant, inconscient, au rivage. Mais une jeune femme surgit, la sirène s’éclipsa. Le prince, à son réveil, aperçut la jeune femme et pensa qu’elle l’avait sauvé. La petite sirène s’en alla. Surprise d’avoir découvert que les hommes ne respirent pas sous l’eau et meurent très vite, elle questionna sa grand-mère. Celle-ci lui apprend que les hommes vivent bien moins longtemps que les sirènes mais qu’ils ont une âme éternelle. La petite sirène veut, elle aussi, avoir une âme éternelle. Pour cela, lui dit sa grand-mère, elle doit se faire aimer et épouser d’un homme.
Elle finit par aller trouver la sorcière des mers, qui lui fournit une potion permettant d’avoir des jambes à la place de sa queue de poisson, afin de séduire le prince. La petite sirène paye cela en offrant sa voix magnifique à la sorcière, en lui coupant la langue. Lors de sa transformation, la douleur fut terrible. Si elle échoue et que le prince en épouse une autre, à l’aube, elle se dissoudra dans l’eau.
Le prince la découvrit sur la plage, frappé par sa beauté. Il s’attache à elle, mais il pensa toujours à la jeune femme de la plage qui l’aurait sauvé, et qu’il avait perdue de vue. Malheureusement, la pauvre sirène ne pouvait plus parler ni expliquer que c’est elle qui l’a sauvé.
Un jour, le prince est contraint par son père de naviguer jusqu’au royaume d’un roi voisin pour épouser sa fille. Le prince prétendait alors qu’il préfère épouser la sirène. Mais arrivé sur place, il découvrit que la fille de ce roi est celle qui l’avait retrouvé sur le rivage. Le prince tomba amoureux de cette princesse et annonça leur mariage.
La petite sirène eut le cœur brisé, mais ses sœurs vinrent à elle avec un couteau magique. Si la petite sirène frappe au cœur le prince avec ce couteau, elle redeviendra sirène à nouveau et pourra continuer sa vie sous-marine. Mais la petite sirène ne put pas se résoudre à tuer le prince, lorsqu’il fut endormi auprès de sa compagne. Elle se jeta donc à la mer et se transforma en écume de mer.
Mais elle ne meurt pas et devient alors une fille des airs, un être invisible pour les humains. En s’acharnant pendant trois cents ans à faire des bonnes actions et veiller sur les hommes, elle gagnera une âme éternelle.
Morale : il ne faut pas chercher à changer sa nature…
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Vittorio Accornero
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Vittorio Accornero
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Vittorio Accornero
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Vittorio Accornero
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Vittorio Accornero
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Vittorio Accornero
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Arthur Rackham
Au Pays des merveilles, le temps est déréglé, au point qu’il n’y en a pas assez, comme pour le Lapin Blanc toujours pressé, ou comme le Chapelier fou, qui est condamné à vivre éternellement à l'heure du thé.
On peut interpréter le pays de plusieurs façons différentes. On peut, tout d'abord, le considérer comme un monde surréaliste, coloré et ingénu. À l'inverse, on peut y voir un endroitcauchemardesque dans lequel Alice se retrouve prise au piège, un monde où la logique a été abandonnée au profit de la folie, peuplé de personnages ambigus et inquiétants. Les représentations picturales sombres et plutôt effrayantes des protagonistes exécutées par John Tenniel semblent d'ailleurs accentuer cette ambiguïté.
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Arthur Rackham
Le pays est le lieu de la contestation, par le biais de l’absurde, d’un certain ordre établi du monde réel, notamment de l’arbitraire du langage : Humpty Dumpty, par exemple, définit comme il l’entend le mot « gloire » et met au jour la nature purement conventionnelle du lien entre signe et sens. Le texte est aussi une critique de la société victorienne, notamment de ses intérieurs « fonctionnels », où chaque chose doit trouver et tenir une place minimale : le Lièvre de mars et le Chapelier « rangent » le Loir dans… la théière. Les frères Tweedeldee et Tweedeldum contredisent sans arrêt Alice. Le chat de Cheshire se contredit.
Le pays est aussi un lieu d’excès, où la gourmandise d’Alice est sans cesse confrontée à des choses qui se boivent ou se mangent et qui la transforment physiquement, et où la cruauté de personnages féminins comme la fameuse Reine de Cœur s’exprime sans retenue.