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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La galette des rois
Les artisans boulangers-pâtissiers offrent tous les ans la galette de l'Élysée. Cette galette ne contient pas de fève de façon à ce que le président de la République ne puisse pas être couronné. Cette tradition remonte à l'année 1975, date à laquelle fut offerte à Valéry Giscard d'Estaing une galette géante d'un mètre de diamètre
En Belgique et aux Pays-Bas : on mange également une galette à la pâte d’amande. Le plus jeune se cache sous la table pour désigner les parts et le roi du jour choisit sa reine. Pendant la journée les enfants parcourent les rues en chantant la chanson de l’étoile et font du porte à porte pour recevoir des mandarines et des bonbons. Cette coutume tend à disparaître en Belgique. Dans les campagnes flamandes cela se fait encore. Notons au passage qu’en Wallonie, c’est à ce moment qu’on commence la préparation du Carnaval.
La tradition de tirer les Rois existe aussi dans le sud des États-Unis, sous le nom de king cake. Ceux-ci sont mangés pendant toute la période qui va de l'Épiphanie jusqu'au carnaval de mardi gras. La fête a lieu le 6 janvier.
En Grèce et à Chypre, la galette « des rois » est interprétée comme galette « de saint Basile ». Le nom « Basile » signifie en effet « roi » en grec. On tire donc les rois le 1er janvier, jour anniversaire de la mort de saint Basile de Césarée et jour de la fête du saint. Les jeunes enfants aiment tirer les rois, c'est un moyen pour eux de réussite.
La galette des rois
La tradition veut que l'Épiphanie soit l'occasion de « tirer les rois » : une figurine est cachée dans une pâtisserie et la personne qui obtient cette fève devient le roi de la journée. Cette pratique trouverait son origine dans les Saturnales de la Rome antique.
En France, depuis le xive siècle, on mange la galette des Rois à l'occasion de cette fête. La tradition veut que l'on partage la galette en autant de parts que de convives, plus une. Cette dernière, appelée « part du Bon Dieu », « part de la Vierge » ou « part du pauvre », était destinée au premier pauvre qui se présenterait au logis.
Un usage moderne veut aussi que la traditionnelle fève soit accompagnée ou remplacée par un petit sujet caché à l'intérieur de la pâte de la galette des Rois. La personne ayant dans sa part la fève sera symboliquement couronnée roi ou reine et devra offrir la prochaine galette ; quant à celui qui a le sujet, il devra offrir la boisson (mousseux, muscat, ou champagne selon la bourse... ).
Lorsqu'il y a des enfants, l'un d'entre eux – en général le plus jeune – doit se placer sous la table et, tandis que la personne qui fait le service choisit un morceau, l'enfant désigne le destinataire de cette portion.
Des variantes se sont développées. Certaines familles s'arrangent pour que la fève ou la figurine revienne à un des plus jeunes enfants. Il est couronné roi ou reine. Il choisit alors son roi ou sa reine qui est souvent sa mère ou son père. Fréquemment, les « Rois » sont tirés plusieurs fois au cours de la période.
Dans le sud-ouest de la France, traditionnellement, on ne prépare pas une galette, mais un gâteau des rois qui est une brioche en forme de couronne, que l'on nomme « coque » et qui est couverte de sucre granulé. Dans le sud-est, cette même couronne est, en plus du sucre, garnie et couverte de fruits confits. Un santon (généralement santon-puce) tend à remplacer la fève. Cette « couronne des Rois » est toujours très présente mais se fait souvent concurrencer par la galette, moins chère (les fruits confits sont coûteux) mais aussi de fabrication et conservation (voire de manipulation !) plus facile.
On trouve des coutumes similaires en Espagne, au Portugal (Bolo Rei) et dans les pays d'Amérique latine. Le Día de los Reyes Magos y est souvent un jour férié et les enfants y reçoivent leurs cadeaux plutôt qu'à Noël.
Caractères et aspects des rois mages
Melchior est celui qui vient "des sources du Nil" (Nubie-Soudan). C'est le plus âgé. Il parle au nom de tous. Il offre "l'or qu'il convient à un roi de posséder". Son périple a couvert entre 2.000 et 3.000 kms. La même distance pour le retour.
Gaspard vient de "l’Inde lointaine". C'est le plus jeune. Il offre "l'encens comme il convient à un Dieu". Son périple à couvert de 3.000 à 3.500 Kms.
Balthazar vient des "chaînes mongoliques". Il apporte "la myrrhe parce que ton Enfant Né, qui est Dieu, est aussi un Homme et dans sa chair et sa vie d'homme il connaîtra l'amertume et la loi inévitable de la mort". Son périple a couvert entre 3.000 et 4.000 Kms en dix mois environ. Il a du couvrir un peu plus de 10 Kms par jour.
Hommes de science et de foi, ces sages étaient puissants et riches
Melchior : de peau très foncée, à peine descendu d'un chameau s'enveloppe tout entier dans un magnifique vêtement de soie blanche. Son front est ceint d’un cercle de métal précieux et il a à la taille une riche ceinture d'où pendent un poignard ou une épée dont la garde est ornée de gemmes.
Balthasar : Les deux autres, descendus de deux magnifiques chevaux, sont vêtus l'un d'une étoffe rayée très belle où domine la couleur jaune. Cet habit est fait comme un long domino garni d'un capuchon et d'un cordon qui semblent faits tout d'une pièce en filigrane d'or tant ils sont ornés de broderie d'or.
Gaspard : Le troisième porte une chemise de soie bouffante qui sort d'un large et long pantalon serré aux pieds. Il est enveloppé dans un châle très fin, véritable jardin fleuri tant sont vives les couleurs dont il est orné tout entier. Sur la tête un turban retenu par une chaînette ornée de chatons de diamants.
Astrologues ils remarquent, chacun de leur côté, la naissance d’une étoile inconnue. Elle n'avait pas de nom. "Née du sein de Dieu, elle avait fleuri pour dire aux hommes une vérité bénie, un secret de Dieu. Mais les hommes n'en avaient pas fait cas, car leurs âmes étaient plongées dans la boue. Ils ne levaient pas leurs regards vers Dieu et ne savaient pas lire les paroles qu'Il trace - qu'Il en soit éternellement béni - avec les astres de feu sur la voûte des cieux".
Chacun part à l’insu des autres et ils se retrouvent près de la mer Morte. L’étoile disparaît au-dessus de Jérusalem, alors qu'ils campent près de la fontaine d'En Rogel .Cela les incite à aller voir Hérode. Leur déclaration trouble Hérode, le roi paranoïaque, qui appelle en consultation les scribes. "Seigneur, peut-être tu ne le sais pas. Eux deux et moi-même, nous fûmes appelés un jour parce que trois Sages étaient venus pour demander où était Celui qui était né roi des hébreux. L’étoile réapparue les guide jusqu’à Bethléem où ils apportent l’or, l’encens et la myrrhe au jeune Jésus âgé de neuf à douze mois.
"Lui, ton Fils est le Sauveur, le Christ de Dieu et pour ce motif il devra, pour sauver la terre, prendre sur Lui le mal de la terre dont un des châtiments est la mort. Cette résine (la myrrhe) est pour cette heure, pour que ses chairs saintes ne connaissent pas la pourriture de la corruption et conservent leur intégrité jusqu'à la résurrection. Qu'à cause de ces dons, Lui se souvienne de nous et sauve ses serviteurs en leur donnant son Royaume." L’or, ainsi amené par la Providence, servira à la sainte famille lors de safuite en Égypte et sa réinstallation à Nazareth.
Fuyant Hérode le Grand qui veut les contraindre à dénoncer le Messie, les mages s’enfuient en passant par Engaddi où ils croisent Abraham le chef de la synagogue. Apprenant cela, Hérode, fou furieux, ordonne le massacre de tous les enfants de Bethléem âgé de moins de deux ans .
La tradition rapporte que trois Rois Mages venus d'Orient ont fait route jusqu'à Bethléem guidés par la lumière d’une étoile. Quand ils découvrent l'enfant Jésus dans l'étable, ils s'agenouillent devant lui en signe de respect et lui offrent de l'or, de la myrrhe et de l'encens.
Ces personnages que l’on appelle les rois mages sont évoqués uniquement dans l'Evangile selon Matthieu.
D’après le texte de la Bible, il ne s’agit pas de rois mais seulement de mages. Leur nom et leur nombre ne sont pas précisés. Guidés par une étoile "qui se lève à l'Est", ils trouvent le lieu de naissance de Jésus et lui offrent des cadeaux :
"Ils entrèrent dans la maison, trouvèrent l'enfant avec Marie, sa mère, et, se prosternant, ils l'adorèrent ; puis, ouvrant leurs trésors, ils lui offrirent des présents : de l'or, de l'encens et de la myrrhe." (Matthieu, II:11).
Selon une interprétation traditionnelle, les trois présents apportés par les Rois Mages symbolisent trois aspects de Jésus :
• l'or symbolise la royauté
• l'encens, utilisé pour le culte, symbolise la divinité du Christ
• la myrrhe, qui servait à embaumer les morts, rappelle qu’il est aussi véritablement homme et mortel.
C’est à partir du nombre de présents offerts que l’on a déduit que les rois mages étaient trois. Ce chiffre est aussi symbolique car il évoque la trinité.
A la fin du XIIIe siècle, Jacques de Voragine propose cette interprétation dans "La Légende dorée" et dresse un portrait des trois mages :
"Le premier des Mages s’appelait Melchior, c’était un vieillard à cheveux blancs, à la longue barbe. Il offrit l’or au Seigneur comme à son roi, l’or signifiant la Royauté du Christ.
Le second, nommé Gaspard, jeune, sans barbe, rouge de couleur, offrit à Jésus, dans l’encens, l’hommage à sa Divinité. Le troisième, au visage noir, portant toute sa barbe, s’appelait Balthazar ; la myrrhe qui était entre ses mains rappelait que le Fils devait mourir".
L’Etoile de Bethléem et les Rois mages
Le Nouveau Testament nous assure que l’étoile de Bethléem guida les Rois mages vers le lieu de naissance du Christ.
Cette étoile intrigue les scientifiques depuis fort longtemps.
Quel type de phénomène céleste a bien pu, si l’on en croit saint Matthieu, naître à l’Orient puis voyager devant les trois Mages, « jusqu’à ce qu’il parvint et demeurât au-dessus de l’endroit où se trouvait l’enfant Jésus ? ».
L’histoire des rois mages est un mélange de faits réels et légendaires. Seuls les évangiles de Luc et de Matthieu évoquent la naissance et l’enfance du Christ.
Cependant, Luc ne parle ni des mages, ni de la fuite en Egypte et Matthieu ne parle ni des bergers, ni de la crèche.
D’après l’évangile selon saint Matthieu :
« Jésus étant né à Bethléem de Judée au temps du roi Hérode, voici que des mages venus d’Orient se présentèrent à Jérusalem et demandèrent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu en effet son astre se lever et sommes venus lui rendre hommage. »
Informé, le roi Hérode s’émut, et tout Jérusalem avec lui.
Alors, Hérode manda secrètement les mages, se fit préciser par eux la date de l’apparition de l’astre et les dirigea sur Bethléem en disant : »Allez vous renseigner exactement sur l’enfant ; et quand vous l’aurez trouvé, avisez-moi afin que j’aille, moi aussi lui rendre hommage. »
Sur ces paroles du roi, ils se mirent en route ; et voici que l’astre, qu’ils avaient vu à son lever, les devançait jusqu’à ce qu’il vînt s’arrêter au-dessus de l’endroit où était l’enfant.
La vue de l’astre les remplit d’une très grande joie. Entrant alors dans le logis, ils virent l’enfant avec Marie sa mère, et tombant à genoux, se prosternèrent devant lui.
Puis, ouvrant leurs cassettes, ils lui offrirent des présents: de l’or, de l’encens et de la myrrhe.
près quoi, un songe les ayant avertis de ne pas retourner chez Hérode, ils prirent une autre route pour rentrer dans leur pays. »
Les rois mages que l’imagerie populaire représente de couleur noire, jaune et blanche symbolisent les trois âges de la vie et les trois races connues alors.
Les Rois mages, fin du 19e siècle
L’historien Bède, mort en 735, cite pour la première fois les noms des rois tels qu’ils ont été fixés par la tradition et l’usage :
Bien que normalement d’ethnies différentes, sur de nombreuses enluminures du Moyen Âge, les rois mages sont de race blanche.
Les hypothèses sur l’étoile de Bethléem
Selon une hypothèse très répandue, cette étoile était en réalité la comète de Halley. Or, on sait aujourd’hui que si la comète apparut bien dans le ciel du Moyen-Orient, ce fut en l’an II avant notre ère.
D’autre part, elle était à l’apogée de son éclat au moment précis où elle se trouvait au-dessus de Bethléem.
Chacun à Bethléem aurait donc pu l’observer.
Dans ce cas, pourquoi Hérode aurait-il demandé où se trouvait l’enfant ?
Venus d’Orient, après avoir « vu » l’Etoile, nous dit saint Matthieu, les Rois mages firent leur rapport à Hérode.
Celui-ci leur demanda de trouver l’enfant. Il se mirent en route et l’étoile qu’ils avaient vue à l’est se plaça devant eux, puis elle demeura où était l’enfant.