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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Le palais de la Bénédictine
En 1510, Dom Bernardo Vincelli, moine bénédictin de l’abbaye de Fécamp invente ce qui deviendra la Bénédictine. Au 19ème siècle, Alexandre le Grand s’inspire de la recette de Dom Bernardo Vincelli pour créer la fameuse liqueur. Cet homme de commerce et de marketing développe une véritable stratégie de commercialisation de sa liqueur, comme l’expliquent les planches d’exposition de la salle Alexandre le Grand. Le visiteur ne manquera pas de s’arrêter sur l’imposante pyramide de bouteilles de bénédictine contrefaites qui siègent au centre de cette salle. Il faut noter que, dans sa stratégie de commercialisation, Alexandre le Grand n’hésite pas à recourir à la publicité : les grands artistes de l’affiche du 19ème (Cappiello, Lopes Silva) assurent efficacement la diffusion de l’image de la liqueur. Enfin, le négociant fait construire ce palais, bijou du 19ème, dont la distillerie et les caves sont visitables partiellement.
L’intérieur du palais vaut le détour essentiellement grâce au caractère de collectionneur d’Alexandre le Grand. Celui-ci a travaillé, sa vie durant, à la confection d’un véritable cabinet de curiosités qui recèle aujourd’hui d’innombrables indices de l’Histoire, du Moyen Âge au 19ème siècle. Ce cabinet est devenu actuellement un musée des Beaux-Arts, logé dans quatre salles. Pour en faire le tour sérieusement et sans trop de frustration, le visiteur devra prendre deux heures de son temps. La première salle est une salle dédiée à l’art gothique, qui recèle des collections d’ivoire, de livres d’heures et d’émaux champlevés du 13ème siècle. La seconde salle, dénommée « salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement. La Pinacothèque, troisième salle du Palais présente une riche collection de peintures sur bois : quatre écoles se partagent les murs de la pièce (École allemande, flamande, italienne et française). Enfin, la dernière salle, l’Oratoire et la salle du Dôme, présente diverses statues en albâtre, qui côtoient quelques sculpture sur bois. Et ceci n’est qu’une simple énumération non exhaustive de la richesse des collections du musée.
Il faut mentionner que le Palais de la Bénédictine a fait l’objet d’une véritable recherche en matière de pédagogie de l’exposition. À l’entrée du musée, un petit guide d’une dizaine de pages, est fourni au visiteur qui profitera au maximum des collections du Palais. De nombreuses pièces sont accompagnées de commentaires, qui expliquent ce que le visiteur a devant les yeux. Ces commentaires ne s’encombrent guère de détails formels peu significatifs, qui peuvent malgré tout faire défaut aux visiteurs à l’œil affûté.
Ce Palais est avant tout un musée des Beaux-Arts. Les caves sont visitables de loin et rapidement. Comme dans toute distillerie, il est rappelé les principes du procédé de distillation.On apprend ainsi que la bénédictine est composée de vingt-sept plantes et épices, telles l’angélique, la mélisse, la cannelle. Enfin, la fin de la visite pourra coïncider pour ceux qui le souhaitent avec une « dégustation », comme il est d’usage dans les distilleries. Et pour ceux que la bénédictine aura séduit, la boutique sera là pour leur permettre de faire l’acquisition de cet or brun.
Palais de la Bénédictine
La Salle Renaissance
La Salle Renaissance » est l’exemple même du cabinet de curiosités : une admirable collection de ferronnerie (la cinquième de France par la quantité) occupe de façon imposante la pièce. La présence de nombreux coffres augmente l’impression d’encombrement.
Palais de la Bénédictine
Péristyle
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Palais de la Bénédictine
Péristyle
La statue de Dom Bernardo Vincelli
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Palais de la Bénédictine
Péristyle
Vitrail au dessus de l'escalier , montrant Dom Bernardo Vincelli élaboré son élixir
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Palais de la Bénédictine
Escalier montant au musée
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Le breuvage aurait été retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.
Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».
La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade
Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.
Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».
La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.
Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.
Palais de la Bénédictine
Escalier montant au musée
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Le breuvage aurait été retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.
Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».
La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade
Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.
Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».
La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.
Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.
Palais de la Bénédictine
Escalier montant au musée
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Le breuvage aurait été retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.
Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».
La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade
Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.
Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».
La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.
Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.
Palais de la Bénédictine
Vestiges de l'ancien Jubé de l'Abbaye de la Bénédictine de Fécamp
Pierres sculptées XVI° siécle .Le Jubé a été detruit en 1802.
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Le breuvage aurait été retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.
Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».
La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade
Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.
Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».
La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.
Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.
Palais de la Bénédictine
Vestiges de l'ancien Jubé de l'Abbaye de la Bénédictine de Fécamp
Pierres sculptées XVI° siécle .Le Jubé a été detruit en 1802.
Le moine bénédictin Dom Bernardo Vincelli ,envoyé d' Italie à l'Abbaye de Fécamp en 1509, apportant des épices d'Orient arrivées au port de Venise .Ce moine de haut savoir aurait été un spécialiste de l'alchimie.
Dom Bernardo Vincelli aurait élaboré plusieurs recettes d'élixir à base de plantes médicinales locales et d'épices orientales.
L'une d'elle était renommée dans toute la région .
Les bénédictins la produisent pendant prés de 3 siécles.
Ce délicieux breuvage aurait été très apprécié par le roi François Ier.
Cette precieuse recette fut emporté à la révolution Française qui , si elle n'avait pas bénéficié d'un concours de circonstance, aurait pu disparaitre a jamais
Le breuvage aurait été retrouvé en 1863 par le négociant en vin, Alexandre L Grand.
Historiquement, il n'existe aucune trace monastique de l'existence d'un moine dénommé Bernardo Vincelli, ni du fait que François Ier ait apprécié un élixir provenant de l'abbaye de Fécamp. En réalité, il semble qu'Alexandre Le Grand ait concocté lui-même la liqueur, aidé d'un pharmacien, à partir de vieilles recettes médicinales qu'il possédait dans un livre, ayant appartenu à l'abbaye. Alexandre Le Grand entreprit la création d'un nouveau « élixir de santé » qu’il baptise « Bénédictine ».
La Bénédictine est composée à partir de 27 épices orientales et de plantes locales où entrent l’angélique, l’hysope, le genièvre, la myrrhe, le safran, le macis, la fleur de sapin, l’aloès, l’arnica, la mélisse, le thé, le thym, la coriandre, la girofle, le citron, la vanille, le zeste d’orange, le miel, les baies rouges, la cannelle et la noix de muscade
Alexandre Legrand se lance dans sa fabrication industrielle en construisant un « palais-usine » de style néo-gothique et néo-Renaissance, œuvre de l'architecte Camille Albert, le Palais Bénédictine.
Le succès immédiat de la Bénédictine, dont la production atteint près de 150 000 bouteilles par an, dès 1873, oblige son créateur à lutter contre les contrefaçons de son produit. Chaque bouteille de Bénédictine est munie d’un bouchon portant l’inscription : « Véritable Bénédictine » tout autour, avec en dessous le sigle D.O.M. (Deo Optimo Maximo, latin pour : « À Dieu, le meilleur, le plus grand »), et une large ligature de plomb autour du col des bouteilles avec l’inscription : « Véritable † Bénédictine ».
La recette actuelle est toujours tenue secrète et il en existe trois exemplaires tenus cachés en trois endroits différents de la planète. Les alambics de cuivre sont ceux d'origine du temps d'Alexandre Legrand. Le moelleux du produit fini nécessite plusieurs processus de distillation et environ deux ans de vieillissement en fût de chêne.
Ses plus gros consommateurs sont les États-Unis, la Malaisie et Singapour.