amour ange anges animaux art artiste background bébé belle belle image belles images bonne
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Images pieuses( Tous les Saints) (384)
· Cartes humour (divers) (499)
· Bébés droles (473)
· Peintres et peintures divers (1) (500)
· Peintres et peintures divers (501)
· Images pieuses, icones( la vierge Marie) (420)
· Enfants en noir et blanc (364)
· Belles illusts -gifs et images de Noël (1083)
· Illustrations - Contes et fables divers (412)
· Poésies de Noël (33)
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
(function( w,d,s,l,i){w[l ]=w[l]||[];w[l ].push({'gtm.s tart':
n
Par Anonyme, le 22.12.2024
natalya zakonova
Par Anonyme, le 21.12.2024
· Poésies de Noël- Le sapin de Noël
· Gif et image de chat
· Poèmes de la Saint Valentin
· Poésie -Le bonhomme de neige
· Poémes(Le paradis des mamans )
· Lady DIANA
· Carte humour de chasseur
· Alice au pays des Merveilles (Disney)
· La Belle au Bois Dormant (Disney)
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Contes de Grimm - Boucles d'Or et les trois ours
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Peintre célèbre -Claude Monet
· Conte de Perrault - Le petit Poucet
· Lady DIANA
· chezwindy
· manuella13
· monjardinsecret59
· lesmontagesdagnes
· animo-services
· noeletconfety
· jessiedarko
· luciecreadore
· rosannette
· depannageelectromenagerparis
· marzou2
· cmjg1954
· galeriedesreves
· pouce83
· fabi2033
· mon-album-d-images
· chezguylou
· saisistachance
· mavieen-mots
· mesangebleu
Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Berthe Morisot
Les chrysanthémes
Biographie
Arrière-petite-nièce de Fragonard, Berthe Morisot est âgée de 16 ans lorsqu’elle prend ses premiers cours de dessin et de peinture. Elle est alors élève de Corot. Elle rencontre bientôt Fantin-Latour, qui lui présentera Édouard Manet en 1868. Elle épouse son frère Eugène en 1874. Sa première exposition personnelle date de 1892, à la galerie Boussod et Valadon. Avec Camille Pissarro, elle sera la seule artiste dont les tableaux auront été présentés à toutes les expositions impressionnistes (sauf celle de 1879, année de la naissance de sa fille). Elle aime peindre des femmes, des enfants et des scènes familiales.
Les oeuvres de Berthe Morisot sont présentes dans le monde entier, de la National Gallery of Art de Washington au musée d’Orsay et au musée Marmottan à Paris, de la National Gallery de Londres au Toledo Museum of Art et au Minneapolis Institute of Art.
Berthe Morisot
La leçon de couture, 1884
Biographie(suite)
L'inauguration a lieu le 15 avril 1874, quinze jours avant l'ouverture du Salon officiel, dans les ateliers du photographe Nadar. Trente artistes, dont Berthe Morisot, Pierre-Auguste Renoir et Claude Monet, accrochent quelque deux cents tableaux sur deux rangs en hauteur, en ménageant un espace entre chaque plutôt que de les juxtaposer cadre contre cadre comme cela se pratique au Salon officiel. Rupture avec la tradition.
La même année, elle épouse Eugène Manet, frère d'Édouard, dont elle aura une fille, Julie Manet, en avril 1879, à l'âge de 38 ans.
En 1892, Berthe a sa première exposition personnelle (à la galerie Boussod et Valadon), quelques mois après avoir perdu son mari. Le couple avait pris des dispositions devant notaire pour confier la tutelle de leur fille Julie à leur ami et poète Stéphane Mallarmé, ainsi qu'à Pierre-Auguste Renoir pour son éducation de peintre.
Avec Camille Pissarro, elle sera la seule artiste dont les tableaux ont été présentés à toutes les expositions impressionnistes (sauf celle de 1879, année de la naissance de sa fille).
Comme sa contemporaine américaine, Mary Cassatt, elle a souvent peint femmes, enfants et scènes familiales.
Berthe Morisot tombe malade à la mi-février 1895. Elle meurt d'une pneumonie le 2 mars 1895 à Paris et lègue la plupart de ses œuvres à ses amis artistes : Degas, Monet, Renoir. Malgré sa riche production artistique, le certificat de décès mentionne : "sans profession". Elle est enterrée dans le caveau des Manet au cimetière de Passy où il est simplement gravé : "Berthe Morisot, veuve d'Eugène Manet".
Pour le premier anniversaire de sa mort, une rétrospective est organisée dans la galerie de Paul Durand-Ruel où 394 toiles dessins et aquarelles y sont exposés.
Berthe Morisot
Portrait de Berthe Morisot(Manet)
Biographie
Berthe Morisot (née le 14 janvier 1841 à Bourges - morte le 2 mars 1895 à Paris) était une artiste-peintre française liée au mouvement impressionniste.
Berthe Morisot naît à Bourges d'un père préfet du département du Cher. Elle est l'arrière petite-nièce du peintre Jean Honoré Fragonard. Sa famille s'installe définitivement à Paris en 1852. Berthe prend des cours de dessin à l'âge de 16 ans, en compagnie de ses deux soeurs, Yves (qui deviendra "Madame Théodore Gobillard", dont il existe un portrait par Degas) et Edma. Elle étudie très tôt la peinture avec Edma, notamment en copiant les chefs-d'œuvre du Louvre, où elle fait la connaissance de Fantin-Latour. C'est par l'intermédiaire de ce peintre que, plus tard, elle rencontrera Édouard Manet.
Dès 1861, Berthe et Edma étudient auprès de Jean-Baptiste Camille Corot à son atelier de Ville-d'Avray. Berthe Morisot participe au Salon de 1864, puis à celui de 1865, où elle présente quelques paysages. En 1868, Berthe rencontre Manet pour qui elle pose (Le Balcon, Le Repos, Berthe Morisot au bouquet de violettes).
Elle délaisse le Salon officiel de 1874 pour rejoindre les Indépendants (futurs Impressionnistes) menés par Monet, Sisley, Renoir et participe avec eux à leur première exposition (sous l'appellation d'Artistes Anonymes Associés).
Berthe Morisot
Portrait d'Alice Gamby
La « grâce touchante » des aquarelles ne lui a pas échappé davantage; et, de fait, Berthe Morisot abordait avec une déconcertante maîtrise la technique où elle devait fournir la meilleure mesure de ses dons. Les tableaux, les pastels avoueront les sollicitations changeantes de ses préférences; ici Berthe Morisot découvre du premier coup une façon de s’exprimer définitive, invariable. Son aquarelle se classe, avec celle de J.-B. Jongkind, comme la plus triomphante aquarelle de l’impressionnisme; elle est alerte, fraîche, légère, diaphane; les modalités du jour tamisé ou direct s’y différencient à ravir dans leur ténuité; toute mièvrerie en est proscrite; l’attitude, le geste, s’y trouvent fixés, à la dérobée, avec l’inconscience heureuse du génie qui se rit, sans crainte et sans fatigue, des difficultés qu’il ignore. Nulle part Berthe Morisot n’apparaît plus personnelle, plus exquise, et jamais, en réalité, ne se rencontra accord aussi décisif, corrélation aussi étroite entre la qualité du procédé expéditif, instantané et la nature même de l’artiste, toute du premier mouvement.
L’aveuglement de la foule, les dénis de justice et les invectives ne pouvaient manquer de blesser la susceptibilité d’une sensitive; et cependant c’est un parti bien arrêté chez Berthe Morisot de n’esquiver aucune rencontre et de réclamer fièrement sa place aux côtés de ses compagnons de lutte. Avec Claude Monet, Renoir et Sisley elle brave, le 24 mars 1875, l’épreuve d’une vente tumultueuse à l’Hôtel Drouot .
Quelques oeuvres:
Berthe Morisot
Portrait de mademoiselle M_T_ (1873)
Berthe Morisot épousa, en 1874, Eugène Manet, le frère cadet du peintre
Elle allait éprouver la satisfaction de voir sa Femme au bal, entrer au musée du Luxembourg .Ce tableau avait figuré à l'exposition des Impressionnistes de l'année 1880, rue des Pyramides. De Nittis l'y avait acheté. Je l'avais après cela acquis moi-même à sa mort. Je le tenais chez moi à la meilleure place et quand Mallarmé venait me voir, nous nous extasions ensemble sur son charme. Lorsque les circonstances m'amenèrent, en 1894, à une vente de mes tableaux, Mallarmé pensa que l’occasion était excellente, pour faire pénétrer une œuvre de Berthe Morisot au musée du Luxembourg et que la Femme au bal était un excellent exemple à choisir. Il était personnellement très lié avec le directeur des Beaux-Arts M. Roujon, qui, avant de se consacrer à l’administration, avait fait partie des hommes de lettres soumis à son influence. Il lui écrivit donc, pour lui recommander l'achat de la Femme au bal, d'une manière pressante. Mais l'entrée maintenant prévue de la collection Caillebotte au musée du Luxembourg, léguée par le possesseur, avait soulevé une telle colère dans certains quartiers influents, que l’achat à effectuer, par surcroît, d'une œuvre impressionniste paraissait scabreux.
M. Roujon désireux de se mettre en règle, en s'assurant les lumières des hommes de compétence officielle, vint chez moi voir le tableau, avec M. Bénédite, le conservateur du Luxembourg et M. Benoit, conservateur au Louvre. Le tableau parlait pour lui-même et les trois visiteurs en décidèrent l'achat. M. Roujon se montra d'ailleurs plein de sollicitude. Puisqu'il s'agissait de l’œuvre d une femme distinguée, dont on voulait honorer le talent, il déclara qu'en crainte quelle ne restât sans être poussée aux enchères, ce qui serait une sorte de défaveur jetée sur l'œuvre et sur l'artiste, il convenait de fixer d'avance le prix, où l'on entendait la faire monter. Il le fixa à 4.500 francs, ce qui à cette époque était une somme plus que convenable. Le tableau fut en effet acquis à la vente publique pour ce prix, et aussitôt placé au musée du Luxembourg. Berthe Morisot éprouva une vraie satisfaction de cet achat, qui en soi n'avait rien d extraordinaire mais qui prenait à ses yeux de l’importance, du fait qu'une reconnaissance publique de son mérite s'était produite et que l’entrée au Luxembourg la sortait du rang d’artiste amateur, où l'on avait comme cherché à la tenir. Berthe Morisot perdit son mari, en 1892, et resta veuve avec une fille. Elle-même, de santé frêle et délicate, mourut le 2 mars 1895