Enfants  ,se moquant du singe

Le ramoneur et le boulanger 

La mauvaise surprise

Le petit journal

Le Jeu de la Grenouille

Paul-Charles Chocarne-Moreau

La répétition générale

Déjà célèbre de son vivant, et très productif, Paul Chocarne-Moreau expose à presque tous les Salons à partir de 1882. («Au plus adroit», Salon de 1905; «Mi-carême», 1907;«Heureuse rencontre», 1908; «Sur la barricade», 1909; «Saute-mouton», 1911; «Libre échange», 1913...)
Paul Chocarne-Moreau obtient une Mention Honorable en 1886 («Avant le Salon») et une Médaille de bronze à l'Exposition Universelle de 1889.
La fraîcheur et la simplicité de ses oeuvres sont appréciées du grand public et des collectionneurs, et ses tableaux ont été fréquemment reproduits dans la presse, notamment en couverture du Monde Illustré. Paul Chocarne-Moreau a souvent été présenté comme un précurseur de l'artiste américain Norman Rockwell.

Paul-Charles Chocarne-Moreau

Une libation spiritueuse

 Images sentimentales du jeu enfantin de jeunes garçons, tout en contribuant à l'expansion des limites de la peinture de genre.  Ces stupidités et  anecdotes amusantes ont été un répit agréable d'une grave période dans l'histoire de l'art , ilsont été rafraîchissant dans leur désir de représenter une journée moyenne dans la vie d'un jeune garçon et ses compatriotes.   Bien que les deux la scène narrative et la tradition de genre ont été remis en question,Chocarne Moreau montrent qu'il y avait encore les artistes et les mécènes intéressés par des images avec lesquelles ils puissent s'identifier.  Le grand nombre d'œuvres de Chocarne-Moreau qui peuplent le marché, indiquent qu'au cours de sa carrière, il y avait un large public intéressé à les acheter, et une base continue dans le public du XXI éme siècle.     
 

Enfants du chœur à la sacristie

Paul-Charles Chocarne-Moreau

 Jeu de croquet

Sa palette de couleurs apparaît compatible avec son choix de l'image et rappelle les jeux de couleurs semblables utilisées par les peintres réalistes et remarquablement souligné de  couleurs vives comme le rouge, qui rappelle également Jean-Georges Vibert. Chocarne represente ces enfants à la fois au travail et à jouer, raconte des histoires animées au sein de ses tableaux.    C'est une tranche de la vie quotidienne qui est le plus grand intérêt , les jeux, les menaces, et les joies de la relation entre les enfants.  Bien que souvent oublié dans l'histoire de l'art du XIXe siècle, l'importance des scènes de genre, à laquelle Chocarne-Moreau a été de contribuer

Bien que ces scènes d'enfants sont ceux pour lesquels il est surtout connu pour présenter des collectionneurs, il est clair de son Salon des entrées qu'il était également intéressé par la peinture de paysage et portrait.  

 En 1888, Chocarne-Moreau est devenu un membre de la Société des Artistes Français et l'année suivante, a pris part à l'Exposition Universelle où il a obtenu une médaille de bronze.  Il a continué à présenter régulièrement au Salon annuel au long de sa carrière. Il est décédé le5 mai, 1930  ou 1931 à Neuilly-sur-Seine . .  

Paul-Charles Chocarne-Moreau

 Le boulanger et le sacristin

Chocarne-Moreau c'est également engage avec des mécènes privés depuis son  entrées au Salon portraits. Ses projections au Salon annuel  lui ont permis de créer une base de son propre patron , ce qui peut aussi avoir influencé son désir et la capacité de travailler principalement avec les images impliquant l'enfance . Il était plus probable avec  ces scènes de genre que Chocarne-Moreau recueilli la majorité des louanges et "un succès considérable."  Ses peintures ont été considérés, sur le temps, l'un des "points forts du Salon."Le caractère ludique de la vie quotidienne des enfants ,reflète un intérêt croissant en permanence chez les enfants eux-mêmes, une discussion qui a commencé au cours des siècles plus tôt, mais qui a été, par le XIX éme siècle, visuellement ancrée.   C'est précisément ce caractère particulier de l'enfance que Chocarne-Moreau cherche à représenter, mais pas l'enfance de la classe supérieure de la société, mais les enfants de la classe ouvrière.  Il a surtout favorisé des scènes  « d'activité des jeunes garçons au sein de l'église, démontrant la vivacité derrière la solennité, comme son travail, Le Jeu de la Grenouille  ou La Répétition Générale  de 1925, deux images représentant ce que les jeunes garçons peuvent vraiment faire quand leurs maîtres ne regardent pas. Une autre scène favorite pour Chocarne-Moreau est celui du jeune boulanger, le plus souvent faire autre chose que la cuisson, ou une combinaison des deux types, comme dans Le Petit Journal .

 Dans chaque exemple, l'objectif est similaire: pour représenter la dichotomie de l'action des garçons jeunes par rapport à leur situation.     Une telle dichotomie apparemment intentionnelle, c'est exactement cela qui crée l'humour qui caractérise aspect fortement peint  par Chocarne-Moreau.