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Par Anonyme, le 18.12.2024
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Par le Bris, le 25.11.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Abbaye Saint-Sauveur-le-Vicomte
L’abbaye de Saint-Sauveur-le-Vicomte, située à Saint-Sauveur-le-Vicomte, dans le département de la Manche a été fondée au xie siècle par Néel de Néhou, vicomte de Saint-Sauveur.
L’abbaye fut construite à partir de 1067 par les moines de l’abbaye de Jumièges. Le vicomte de Néhou souhaitant remplacer le collège de clercs séculiers qui officiaient dans la chapelle de son château. Aux environs de 1180, le premier moulin à vent y a été installé . De cette époque, l’église abbatiale garde encore un mur latéral qui présente des arcades en plein cintre, surmontées d’un triforium. D’autres éléments peuvent encore se voir dans le transept nord. La consécration de l'abbatiale eut lieu « dans les premières années de la seconde moitié du xiie siècle » par l'évêque Algare . Toutefois, elle n'était pas encore terminée en 1198, lors du mariage de la fille de Raoul Tesson, Mathilde Tesson, avec Richard d'Harcourt . La construction de l'abbatiale dura plus de trente ans et fut l'œuvre de trois familles: les Saint-Sauveur, La Roche-Tesson et les d'Harcourt
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.
Abbaye de Valloires
L'abbaye de Valloires est une fondation cistercienne du xiie siècle située dans la commune d'Argoules dans la Somme. Reconstruite au xviiie siècle, elle est particulièrement bien conservée.
L'abbaye est fondée en 1138 grâce aux comtes de Ponthieu, qui ont cédé leurs terres aux moines venant del'abbaye de Cîteaux. L'abbatiale est consacrée en 1226. Le Ponthieu constitua un champ de bataille durant plusieurs siècles (guerre de Cent ans, de religions, de Trente ans?), au cours desquels l'abbaye fut largement détruite. Elle a été reconstruite aux XVIIème et XVIIIème siècles, dans un style en parfaite contradiction avec l'austérité cistercienne. Si l'architecture de l'abbatiale est simple, sobre, comme le veut la tradition cistercienne, elle s'oppose à la décoration intérieure baroque, oeuvre de l'artiste autrichien Pfaffenhoffen.
La Révolution française et les derniers conflits l'ont miraculeusement épargnée. Les moines ont quitté définitivement l'abbaye en 1791. C'est en 1922 que Thérèse Papillon, infirmière de la Croix Rouge, fonde l'association de Valloires et transforme l'abbaye en préventorium. Cette vocation d'accueil et de services ne quittera plus Valloires. Aujourd'hui encore, la maison d'Enfants à Caractère Social, l'Institut Thérapeutique Educatif et Pédagogique et l'Accueil Temporaire pour les personnes âgées, cohabitent avec l'ouverture touristique. Au-delà des vieilles pierres, c'est ce mélange d'ouverture et de tolérance qui fait la richesse de cette abbaye vivante. Au pied de l'abbaye, le grand parc est devenu un jardin contemporain. Créé par Gilles Clément, il est classé, avec ses 5000 espèces de plantes, comme jardin remarquable.