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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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La cathédrale d'Amiens
Ornant les clôtures du chœur, le haut relief a été réalisé en 1531. Il représente les épisodes de la vie de Saint Firmin
La cathédrale d'Amiens
Deux mausolées sont situés dans la partie sud de la clôture du chœur. Les personnalités inhumées sont Ferry de Beauvoir et Adrien de Hénencourt :
Adrien de Hénencourt fit exécuter la première partie de la clôture au niveau de la première travée du chœur, pour servir de mausolée à son oncle, l'évêque Ferry de Beauvoir.
Le tombeau de Ferry de Beauvoir avec son gisant est encastré dans un enfeu de la portion de clôture occupant la première travée du chœur (donc proche de la croisée du transept). Il est surmonté d'une série de niches sculptées, couvertes de voûtes d'ogives, figurant l'histoire de saint Firmin, depuis son entrée à Amiens jusqu'à son martyre puis son exhumation par saint Saulve. Les personnages de ces niches, polychromes, sont très expressifs. Ils portent les costumes de la fin duxve siècle. On peut ainsi admirer les somptueux atours des notables ainsi que les haillons des pauvres de l'époque. Notez le bourreau vêtu de curieux hauts-de-chausses.
Ce n'est que quelque temps avant de mourir qu'Adrien de Hénencourt fit exécuter, à côté de la sépulture de son oncle, sa propre sépulture. Celle-ci se trouve dans un second enfeu creusé au niveau de la travée suivante du chœur.
Son testament daté du 18 juillet 1527 et ses comptes d'exécution fournissent sur sa construction des renseignements importants. On sait grâce à ces documents que la représentation de la découverte des reliques de saint Firmin (visible dans la partie supérieure de son tombeau) était déjà réalisée avant sa mort. Il ne restait plus qu'à faire son propre gisant et la peinture d'ensemble.
Les portions de clôture du chœur délimitées par les colonnes latérales du chœur sont chacune divisées en deux niveaux horizontaux : un soubassement plein au-dessous, surmonté d'une série de quatre niches racontant l'histoire de saint Firmin. Le soubassement ou stylobate mesure 2,45 mètres de haut, il est peint et sculpté.
La cathédrale d'Amiens
Ornant les clôtures du chœur, le haut relief a été réalisé en 1531. Il représente les épisodes de la vie
La cathédrale d'Amiens
Le gisant d'Evrard de Fouilloy
Il est situé entre deux piliers de la nef, côté sud, et fait face à celui de Geoffroy d’Eu. Ces deux tombeaux sont en bronze, ce qui est particulièrement rare aujourd’hui, les objets en bronze ayant été souvent refondus.
Évrard de Fouilloy était l’évêque d’Amiens qui vit les débuts de la construction de la cathédrale. Il est mort en 1222. Il est représenté gisant et bénissant, couché sur une lame de bronze coulée d’une seule pièce et posée sur six lionceaux. Sa tête mitrée repose sur un coussin. Le visage, aux yeux ouverts, reflète, comme tous les gisants du XIIIe siècle, l’image tranquille de la mort.
La décoration du tombeau est à l’image de celle de la cathédrale : arc trilobé, chapiteaux à crochets, arcs-boutants crénelés, pinacles ciselés. Une épitaphe rappelle aux vivants les mérites du mort. « Celui qui fit paître le peuple, qui établit les fondations et aux soins de qui la ville fut confiée, Évrard, repose ici… »
Geoffroy d’Eu fut son successeur. Il mourut en 1236.
La cathédrale d'Amiens
Le gisant de l'évêque Geoffroy d'Eu
À l'entrée de la nef, à droite et à gauche, on peut admirer les tombeaux surmontés de gisants des deux évêques, Évrard de Fouilloy (évêque de 1211 à 1222) etGeoffroy d'Eu (de 1223 à 1236), qui donnèrent l'impulsion décisive à l'édification de ce grand sanctuaire. Les gisants de bronze, superbes chefs-d'œuvre taillés d'une seule pièce, datent de la première moitié du xiiie siècle. Ce sont des pièces uniques, seuls témoins des bronzes du xiiie siècle subsistant en France, et miraculeusement épargnés par le vandalisme révolutionnaire de la fin du xviiie siècle. Certains pensent que les visages sculptés de ces gisants sont les portraits authentiques des deux défunts, tant leurs traits sont admirablement typé
Le gisant de l'évêque Geoffroy d'Eu se trouve à gauche du début de la nef. La surface de ce gisant est moins travaillée que le tombeau de son prédécesseur. On y retrouve les mêmes créatures diaboliques et fantastiques représentant le mal, et écrasées par ses pieds. Six lions, assez différents des lions de l'autre tombeau, supportent le gisant.
La cathédrale d'Amiens
Après l'ancien jubé, détruit en 1755, ce fut l'ancienne clôture en pierre du xvie siècle qui disparut à son tour, en majeure partie du moins. Le chœur fut alors entouré d'une grille baroque, œuvre de Michel-Ange Slodtz, et exécutée par Jean Veyren dit Vivarais. Admirable travail de ferronnerie, cette grille protégeant le chœur est un pur chef-d'œuvre, plus proche de l'orfèvrerie que de la ferronnerie. Au niveau de la croisée du transept, la grande grille ouvrant sur les stalles et le chœur est entourée des statues de saint Vincent de Paul à gauche et de saint Charles Borromée à droite.
La cathédrale d'Amiens
Les Stalles
Réalisées en bois blond de chêne, les stalles de Notre-Dame d'Amiens représentent le plus grand chef-d'œuvre d'ébénisterie jamais réalisé sur terre (avec celles de la cathédrale de Tolède), et jamais égalé depuis. De style flamboyant, elles ont été conçues par les maîtres huchiers Arnould Boulin, Antoine Avernier et Alexandre Huet.
Elles mettent en scène plus de 4000 personnages et elles furent exécutées en 11 ans, de 1508 à 1519. Elles étaient au nombre de 120 à l'origine, elles sont 110 aujourd'hui, dont 62 hautes et 48 basses. Les deux stalles maîtresses étaient réservées au roi et au doyen du chapitre. Ces dernières sont uniques en leur genre, car surmontées d'une énorme dentelle de bois qui s'élève à pas moins de treize mètres cinquante du sol. Sur la stalle réservée au roi, se sont assis notamment Louis XII, François Ier, Henri IV, puis aussiNapoléon Ier et le président de Gaulle.
Techniquement la perfection de ces stalles est telle que l'œil ne peut pour ainsi dire y déceler la moindre trace d'assemblage. Il n'y a ici ni clous, ni vis, ni chevilles ; rien que des tenons et des mortaises.
À lui seul ce chef-d'œuvre justifie une visite à la cathédrale. Quoique de style gothique flamboyant, cette œuvre magistrale incorpore déjà des éléments Renaissance.
La cathédrale d'Amiens
Les Stalles
Réalisées en bois blond de chêne, les stalles de Notre-Dame d'Amiens représentent le plus grand chef-d'œuvre d'ébénisterie jamais réalisé sur terre (avec celles de la cathédrale de Tolède), et jamais égalé depuis. De style flamboyant, elles ont été conçues par les maîtres huchiers Arnould Boulin, Antoine Avernier et Alexandre Huet.
Elles mettent en scène plus de 4000 personnages et elles furent exécutées en 11 ans, de 1508 à 1519. Elles étaient au nombre de 120 à l'origine, elles sont 110 aujourd'hui, dont 62 hautes et 48 basses. Les deux stalles maîtresses étaient réservées au roi et au doyen du chapitre. Ces dernières sont uniques en leur genre, car surmontées d'une énorme dentelle de bois qui s'élève à pas moins de treize mètres cinquante du sol. Sur la stalle réservée au roi, se sont assis notamment Louis XII, François Ier, Henri IV, puis aussiNapoléon Ier et le président de Gaulle.
Techniquement la perfection de ces stalles est telle que l'œil ne peut pour ainsi dire y déceler la moindre trace d'assemblage. Il n'y a ici ni clous, ni vis, ni chevilles ; rien que des tenons et des mortaises.
À lui seul ce chef-d'œuvre justifie une visite à la cathédrale. Quoique de style gothique flamboyant, cette œuvre magistrale incorpore déjà des éléments Renaissance.