Basilique St Joseph des fins

La basilique fut construite à l'initiative du prêtre Amédé Folliet, entre 1937 et 1941 et par l'architecte Dom Paul Bellot bénédictin à Solesmes. Le clocher porche domine la façade.L'entrée est ornée d'un tympan en céramique décoré de nombreux personnages. Ce tympan est soutenu par la statue d'une Vierge à l'Enfant. La nef aux multiples arcs brisés en béton est décorée sur ses bas côtés de nombreuses fresques murales qui illustrent le nouveau testament et le chemin de croix. Les portes sont soit sculptées soit peintes de fresques. L'allée principale de la nef est couverte de mosaïques représentant les péchés capitaux. Les confessionnaux nous les rappellent également par des sculptures et leur légende. Les nombreux vitraux sont de Charlin. Le chœur est entouré d'un déambulatoire qui ouvre sur des chapelles rayonnantes.

Basilique St Joseph des fins

La basilique fut construite à l'initiative du prêtre Amédé Folliet, entre 1937 et 1941 et par l'architecte Dom Paul Bellot bénédictin à Solesmes. Le clocher porche domine la façade.L'entrée est ornée d'un tympan en céramique décoré de nombreux personnages. Ce tympan est soutenu par la statue d'une Vierge à l'Enfant. La nef aux multiples arcs brisés en béton est décorée sur ses bas côtés de nombreuses fresques murales qui illustrent le nouveau testament et le chemin de croix. Les portes sont soit sculptées soit peintes de fresques. L'allée principale de la nef est couverte de mosaïques représentant les péchés capitaux. Les confessionnaux nous les rappellent également par des sculptures et leur légende. Les nombreux vitraux sont de Charlin. Le chœur est entouré d'un déambulatoire qui ouvre sur des chapelles rayonnantes.

Basilique St Joseph des fins

La basilique fut construite à l'initiative du prêtre Amédé Folliet, entre 1937 et 1941 et par l'architecte Dom Paul Bellot bénédictin à Solesmes. Le clocher porche domine la façade.L'entrée est ornée d'un tympan en céramique décoré de nombreux personnages. Ce tympan est soutenu par la statue d'une Vierge à l'Enfant. La nef aux multiples arcs brisés en béton est décorée sur ses bas côtés de nombreuses fresques murales qui illustrent le nouveau testament et le chemin de croix. Les portes sont soit sculptées soit peintes de fresques. L'allée principale de la nef est couverte de mosaïques représentant les péchés capitaux. Les confessionnaux nous les rappellent également par des sculptures et leur légende. Les nombreux vitraux sont de Charlin. Le chœur est entouré d'un déambulatoire qui ouvre sur des chapelles rayonnantes.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.

Notre-Dame de La Salette

Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les fidèles catholiques désignent la Vierge Marie en tant qu'elle serait apparue à deux enfants  en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps (Isère).

Notre-Dame de La Salette est aussi le nom sous lequel on désigne le sanctuaire qui a été édifié sur les lieux de l'apparition.

Le 19 septembre 1846, dans les alpages au dessus du village de La Salette en Isère, deux enfants bergers, Maximin Giraud et Mélanie Calvat, disent avoir rencontré une "Belle Dame" en pleurs, toute de lumière. Elle leur confie un message de conversion, pour "tout son peuple". Après 5 ans d’une enquête rigoureuse, l’évêque de Grenoble, Mgr Philibert de Bruillard, reconnaît par un mandement authenticité de l’apparition.

La première pierre d'une grande église fut solennellement posée sur la montagne de la Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église, plus tard promue au rang de basilique, fut desservie par des religieux appelés missionnaires de la Salette, qui furent remplacés en 1891 par des prêtres diocésains après leur expulsion par des lois d’exil.