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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Carnaval de Nice 2012
La tradition du carnaval nous ramène au Moyen-Âge. L’étymologie du mot « carnaval » la plus communément retenue est « carne levare », « enlève la chair ».
À cette époque, les Niçois, avant de jeûner pendant 40 jours, selon la tradition catholique du Carême, profitaient d’une cuisine riche et copieuse. Cette période festive était accompagnée d’une série d'animations : bals, mascarades, danses, farandoles, feux de joie, exhibitions diverses. Il était alors de mise de se moquer de tout et de tous aux dépens de chacun, caché derrière des masques, protégé par des déguisements et ce, jusqu’au Mardi-Gras.
La première mention retrouvée de ces réjouissances remonte à 1294, lorsque Charlesd’Anjou, Comte de Provence, signale avoir passé à Nice « les jours joyeux de Carnaval ». En 1830, un 1er cortège fut organisé en l’honneur de Charles-Felix et de Marie-Christine, souverains du Royaume de Piémont Sardaigne. La trentaine d’équipages défilant pour le roi et la reine annonçaient le futur déroulement du Carnaval.
Jusqu’en 1872, la fête battit son plein, dans les rues de Nice, au gré des inspirations de chacun : la foule déguisée se bombardait de confetti de plâtre, de farine, d’oeufs.
En 1873, le Niçois Andriot Saëtone prit l’initiative de fonder le « Comité des Fêtes » qui, sous le patronage de la municipalité, fut chargé d’organiser et donner de l’ampleur aux festivités. Des cortèges de chars, des tribunes payantes, une mise en scène structurée... firent leur apparition.
Ainsi, le 23 février 1873, Carnaval 1er entre dans la ville. Le Carnaval moderne était né, auquel Alexis Mossa et son fils Gustav Adolf apportèrent, jusqu’en 1971, un étonnant particularisme, actualité, grotesque et fabuleux, réalisant les maquettes des chars les plus spectaculaires qui aient défilé à Nice.
Le 14 février 1882, Sa Majesté «Triboulet » fit une entrée triomphale dans la cité : le modeste pantin de paille et de chiffons, jusque-là spectateur immobile sur la place de la Préfecture, participait pour la première fois au cortège, trônant sur le « Char royal»
identique à celui d’aujourd’hui. Les cortèges se déroulaient au coeur de la ville selon une dizaine de parcours différents et sitôt les animations terminées, la fête se prolongeait dans les quartiers ; de petits chars créés pour l’occasion devenaient les symboles des festivités plus localisées encore.
Les premières et secondes guerres mondiales ont empêché Carnaval de régner durant plusieurs années. En 1991, Carnaval devait être « Roi des Fous », mais la Guerre du Golfe l’oblige à renoncer également…
Image prise sur le net
Carnaval de Nice 2012
La tradition du carnaval nous ramène au Moyen-Âge. L’étymologie du mot « carnaval » la plus communément retenue est « carne levare », « enlève la chair ».
À cette époque, les Niçois, avant de jeûner pendant 40 jours, selon la tradition catholique du Carême, profitaient d’une cuisine riche et copieuse. Cette période festive était accompagnée d’une série d'animations : bals, mascarades, danses, farandoles, feux de joie, exhibitions diverses. Il était alors de mise de se moquer de tout et de tous aux dépens de chacun, caché derrière des masques, protégé par des déguisements et ce, jusqu’au Mardi-Gras.
La première mention retrouvée de ces réjouissances remonte à 1294, lorsque Charlesd’Anjou, Comte de Provence, signale avoir passé à Nice « les jours joyeux de Carnaval ». En 1830, un 1er cortège fut organisé en l’honneur de Charles-Felix et de Marie-Christine, souverains du Royaume de Piémont Sardaigne. La trentaine d’équipages défilant pour le roi et la reine annonçaient le futur déroulement du Carnaval.
Jusqu’en 1872, la fête battit son plein, dans les rues de Nice, au gré des inspirations de chacun : la foule déguisée se bombardait de confetti de plâtre, de farine, d’oeufs.
En 1873, le Niçois Andriot Saëtone prit l’initiative de fonder le « Comité des Fêtes » qui, sous le patronage de la municipalité, fut chargé d’organiser et donner de l’ampleur aux festivités. Des cortèges de chars, des tribunes payantes, une mise en scène structurée... firent leur apparition.
Ainsi, le 23 février 1873, Carnaval 1er entre dans la ville. Le Carnaval moderne était né, auquel Alexis Mossa et son fils Gustav Adolf apportèrent, jusqu’en 1971, un étonnant particularisme, actualité, grotesque et fabuleux, réalisant les maquettes des chars les plus spectaculaires qui aient défilé à Nice.
Le 14 février 1882, Sa Majesté «Triboulet » fit une entrée triomphale dans la cité : le modeste pantin de paille et de chiffons, jusque-là spectateur immobile sur la place de la Préfecture, participait pour la première fois au cortège, trônant sur le « Char royal»
identique à celui d’aujourd’hui. Les cortèges se déroulaient au coeur de la ville selon une dizaine de parcours différents et sitôt les animations terminées, la fête se prolongeait dans les quartiers ; de petits chars créés pour l’occasion devenaient les symboles des festivités plus localisées encore.
Les premières et secondes guerres mondiales ont empêché Carnaval de régner durant plusieurs années. En 1991, Carnaval devait être « Roi des Fous », mais la Guerre du Golfe l’oblige à renoncer également…
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Carnaval de Nice 2012
Les défilés carnavalesques, se composent de 20 chars qui racontent l’histoire du “Roi du Sport”.
Dans un écrin unique, la Promenade des Anglais, les élégantes batailles de fleurs sont une composante du Carnaval . Sur des chars décorés des plus belles compositions florales, des personnages vétus de costumes extravagants lancent au public mimosas, gerberas, lys…
Le thème de 2012 est « Roi du Sport », un écho à l'actualité olympique Londres 2012 comme à la dynamique sportive de Nice, de la France ou plus largement de la planète. Un thème donc très universel et fédérateur qui est, au cœur des cortèges, un hommage à toutes les compétitions de la prochaine année.
Le Corso se compose de 20 chars conçus selon le thème et un certain nombre d’éléments d’animation, dont 30 en carton-pâte ; il devient un défilé aux couleurs éclatantes auquel se mêlent les arts de rue et groupes musicaux venus du monde entier.
Les chars 2012 sont particulièrement volumineux, fournis et mécanisés; de 8 à 20 m de haut et débordant souvent des plateformes en largeur comme en longueur.
Image prise sur le net
Carnaval de Nice 2012
La tradition du carnaval nous ramène au Moyen-Âge. L’étymologie du mot « carnaval » la plus communément retenue est « carne levare », « enlève la chair ».
À cette époque, les Niçois, avant de jeûner pendant 40 jours, selon la tradition catholique du Carême, profitaient d’une cuisine riche et copieuse. Cette période festive était accompagnée d’une série d'animations : bals, mascarades, danses, farandoles, feux de joie, exhibitions diverses. Il était alors de mise de se moquer de tout et de tous aux dépens de chacun, caché derrière des masques, protégé par des déguisements et ce, jusqu’au Mardi-Gras.
La première mention retrouvée de ces réjouissances remonte à 1294, lorsque Charlesd’Anjou, Comte de Provence, signale avoir passé à Nice « les jours joyeux de Carnaval ». En 1830, un 1er cortège fut organisé en l’honneur de Charles-Felix et de Marie-Christine, souverains du Royaume de Piémont Sardaigne. La trentaine d’équipages défilant pour le roi et la reine annonçaient le futur déroulement du Carnaval.
Jusqu’en 1872, la fête battit son plein, dans les rues de Nice, au gré des inspirations de chacun : la foule déguisée se bombardait de confetti de plâtre, de farine, d’oeufs.
En 1873, le Niçois Andriot Saëtone prit l’initiative de fonder le « Comité des Fêtes » qui, sous le patronage de la municipalité, fut chargé d’organiser et donner de l’ampleur aux festivités. Des cortèges de chars, des tribunes payantes, une mise en scène structurée... firent leur apparition.
Ainsi, le 23 février 1873, Carnaval 1er entre dans la ville. Le Carnaval moderne était né, auquel Alexis Mossa et son fils Gustav Adolf apportèrent, jusqu’en 1971, un étonnant particularisme, actualité, grotesque et fabuleux, réalisant les maquettes des chars les plus spectaculaires qui aient défilé à Nice.
Le 14 février 1882, Sa Majesté «Triboulet » fit une entrée triomphale dans la cité : le modeste pantin de paille et de chiffons, jusque-là spectateur immobile sur la place de la Préfecture, participait pour la première fois au cortège, trônant sur le « Char royal»
identique à celui d’aujourd’hui. Les cortèges se déroulaient au coeur de la ville selon une dizaine de parcours différents et sitôt les animations terminées, la fête se prolongeait dans les quartiers ; de petits chars créés pour l’occasion devenaient les symboles des festivités plus localisées encore.
Les premières et secondes guerres mondiales ont empêché Carnaval de régner durant plusieurs années. En 1991, Carnaval devait être « Roi des Fous », mais la Guerre du Golfe l’oblige à renoncer également…
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Carnaval de Nice 2012
La tradition du carnaval nous ramène au Moyen-Âge. L’étymologie du mot « carnaval » la plus communément retenue est « carne levare », « enlève la chair ».
À cette époque, les Niçois, avant de jeûner pendant 40 jours, selon la tradition catholique du Carême, profitaient d’une cuisine riche et copieuse. Cette période festive était accompagnée d’une série d'animations : bals, mascarades, danses, farandoles, feux de joie, exhibitions diverses. Il était alors de mise de se moquer de tout et de tous aux dépens de chacun, caché derrière des masques, protégé par des déguisements et ce, jusqu’au Mardi-Gras.
La première mention retrouvée de ces réjouissances remonte à 1294, lorsque Charlesd’Anjou, Comte de Provence, signale avoir passé à Nice « les jours joyeux de Carnaval ». En 1830, un 1er cortège fut organisé en l’honneur de Charles-Felix et de Marie-Christine, souverains du Royaume de Piémont Sardaigne. La trentaine d’équipages défilant pour le roi et la reine annonçaient le futur déroulement du Carnaval.
Jusqu’en 1872, la fête battit son plein, dans les rues de Nice, au gré des inspirations de chacun : la foule déguisée se bombardait de confetti de plâtre, de farine, d’oeufs.
En 1873, le Niçois Andriot Saëtone prit l’initiative de fonder le « Comité des Fêtes » qui, sous le patronage de la municipalité, fut chargé d’organiser et donner de l’ampleur aux festivités. Des cortèges de chars, des tribunes payantes, une mise en scène structurée... firent leur apparition.
Ainsi, le 23 février 1873, Carnaval 1er entre dans la ville. Le Carnaval moderne était né, auquel Alexis Mossa et son fils Gustav Adolf apportèrent, jusqu’en 1971, un étonnant particularisme, actualité, grotesque et fabuleux, réalisant les maquettes des chars les plus spectaculaires qui aient défilé à Nice.
Le 14 février 1882, Sa Majesté «Triboulet » fit une entrée triomphale dans la cité : le modeste pantin de paille et de chiffons, jusque-là spectateur immobile sur la place de la Préfecture, participait pour la première fois au cortège, trônant sur le « Char royal»
identique à celui d’aujourd’hui. Les cortèges se déroulaient au coeur de la ville selon une dizaine de parcours différents et sitôt les animations terminées, la fête se prolongeait dans les quartiers ; de petits chars créés pour l’occasion devenaient les symboles des festivités plus localisées encore.
Les premières et secondes guerres mondiales ont empêché Carnaval de régner durant plusieurs années. En 1991, Carnaval devait être « Roi des Fous », mais la Guerre du Golfe l’oblige à renoncer également…
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