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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de John Tenniel
Le Pays des merveilles est pour Alice terriblement dépaysant. Dès son arrivée, la petite fille se retrouve en proie à une véritable crise d'identité, en raison des métamorphoses physiques qu’elle subit, mais aussi de la perte du savoir scolaire auquel elle voudrait tant se référer pour tenter de comprendre et de rationaliser le monde étrange qui l’entoure. Ayant oublié sa poésie, elle devient par ailleurs l’agent d’une parodie de poèmes célèbres dans l’Angleterre de Carroll.
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustration de Lewis Carroll
Les illustrations de John Tenniel semblent aujourd'hui inséparables du texte de Lewis Carroll. Mais Alice a inspiré un nombre impressionnant d'illustrateurs de sa création et jusqu'à nos jours. Plusieurs centaines de versions ont ainsi vu le jour.
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Alice s'ennuie auprès de sa sœur qui lit un livre (« sans images, ni dialogues ») tandis qu'elle ne fait rien. « À quoi bon un livre sans images, ni dialogues ? », se demande Alice. Mais voilà qu'un lapin blanc aux yeux roses vêtu d'une redingote rouge passe près d'elle en courant. Cela ne l'étonne pas le moins du monde. Pourtant, lorsqu'elle le voit sortir une montre de sa poche et s'écrier : « Je suis en retard ! En retard ! En retard ! », elle se dit que décidément ce lapin a quelque chose de spécial. En entrant derrière lui dans son terrier, elle fait une chute presque interminable qui l'emmène dans un monde aux antipodes du sien. Elle va rencontrer une galerie de personnages retors et se trouver confrontée au paradoxe, à l'absurde et au bizarre…
Alice aux pays des merveilles
Conte de Charles Lutwidge Dodgson, sous le pseudonyme de Lewis Carroll
Illustratio de Peter Newell
Le personnage d'Alice
« Aimante comme un chien », ainsi que la décrit Lewis Caroll dans Alice à la scène, Alice est également « curieuse, extravagamment curieuse ». Ce trait de caractère en fait l’exploratrice idéale, d’autant plus que la petite fille se montre d'emblée d’une insouciance totale, s’engageant dans le terrier du Lapin sans songer un seul instant à la manière dont elle pourra en ressortir.
Alice est aussi d’une courtoisie exemplaire, car elle veut prouver à son entourage, qui semble la considérer comme trop étourdie et rêveuse, qu'elle connaît les bonnes manières et toutes les leçons qu'elle se force à apprendre. Sa bonne éducation ne lui évite cependant pas les gaffes aux quelles la conduit sa nature spontanée : ainsi n’hésite-t-elle pas à parler de sa chatte Dinah à la Souris de la Mare de larmes…
Alice est aussi un personnage très patient et attentif envers les êtres étranges qu'elle rencontre. Ainsi, elle s'arrête souvent pour entendre ce que chaque personnage a à lui dire : elle revient pour entendre la dernière phrase du Ver à Soie, elle écoute les chansons de Tweedledee et Tweedledum, écoute les plaintes de la Tortue-Fantaisie, et essaie même de comprendre les discours illogiques du diabolique trio du Chapelier, du Lièvre de mars et du Loir…
Blanche-Neige étendue dans un cercueil de verre
Illustration de Marianne Stokes
Conte de Jacob et Wilhelm Grimm
Résumé Version des fréres Grimm
Une reine se désolait de ne pas avoir d'enfant. Un jour d’hiver, alors qu'elle était assise près d'une fenêtre au cadre d'ébène, elle se piqua le doigt en cousant et quelques gouttes de sang tombèrent sur la neige, Et la reine se dit : « Si j'avais un enfant, au teint blanc comme la neige, aux lèvres rouges comme le sang et aux cheveux noirs comme le bois d’ébène ! »…
(En fait dans le texte orignal en allemand des frères Grimm, il est question d'un enfant "rouge comme le sang", mais les traductions ajoutent souvent "un enfant… aux lèvres rouges comme le sang", ou "un enfant… aux joues rouges comme le sang". Dans les dessins animés de Disney "Blanche Neige" ou La belle au bois dormant, les lèvres sont rouges comme la rose).
Peu de temps après, elle mourut en accouchant d'une petite fille. Le roi prit une nouvelle épouse, belle mais méchante, orgueilleuse et jalouse de Blanche-Neige. Son miroir magique lui répétait qu'elle était la plus belle femme du royaume, jusqu'au jour où il dut reconnaître que Blanche-Neige était devenue plus belle que sa marâtre. La reine demanda alors à un chasseur d'aller tuer l'enfant, mais l'homme se contenta de l'abandonner dans les bois.
Errant dans la forêt, Blanche-Neige découvrit une petite maison où elle entra se reposer. C'était la demeure des sept nains qui, apitoyés par son histoire, acceptèrent de la cacher et de la loger comme servante.
La méchante reine, apprenant grâce au miroir que Blanche-Neige était toujours vivante, essaya par trois fois de la faire mourir. La troisième fois, déguisée en paysanne, elle trompa la vigilance de la jeune fille et réussit à lui faire croquer une pomme empoisonnée. Blanche-Neige tomba inanimée. Affligés, les nains lui firent un cercueil de verre qu'ils déposèrent sur une colline afin que toutes les créatures puissent venir l'admirer.
Un prince qui chevauchait par là en tomba amoureux. Il obtint des nains la permission d'emporter le cercueil. Mais en route un porteur trébucha, délogeant le morceau de pomme coincé dans la gorge de la jeune fille qui se réveilla. Le prince lui demanda sa main.
Invitée au mariage, la méchante reine fut condamnée à danser avec des chaussures de métal chauffées au rouge jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Conte de Charles Perrault - Le petit Poucet
Moralité de l'histoire:
« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants,Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands,Et d'un extérieur qui brille ;Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot,On le méprise, on le raille, on le pille ;Quelquefois cependant c'est ce petit marmotQui fera le bonheur de toute la famille. »
Conte de Charles Perrault - Le petit Poucet
Moralité de l'histoire:
« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants,Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands,Et d'un extérieur qui brille ;Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot,On le méprise, on le raille, on le pille ;Quelquefois cependant c'est ce petit marmotQui fera le bonheur de toute la famille. »
Conte de Charles Perrault - Le petit Poucet
Moralité de l'histoire:
« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants,Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands,Et d'un extérieur qui brille ;Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot,On le méprise, on le raille, on le pille ;Quelquefois cependant c'est ce petit marmotQui fera le bonheur de toute la famille. »
Conte de Charles Perrault - Le petit Poucet
Moralité de l'histoire:
« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants,Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands,Et d'un extérieur qui brille ;Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot,On le méprise, on le raille, on le pille ;Quelquefois cependant c'est ce petit marmotQui fera le bonheur de toute la famille. »
Conte de Charles Perrault - Le petit Poucet
Moralité de l'histoire:
« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants,Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands,Et d'un extérieur qui brille ;Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot,On le méprise, on le raille, on le pille ;Quelquefois cependant c'est ce petit marmotQui fera le bonheur de toute la famille. »