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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
Karnak et Louxor (Egypte)
Allée des sphinx à l'entrée du temple de Karnak
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Karnak et Louxor (Egypte)
Allée des sphinx à l'entrée du temple
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Karnak et Louxor (Egypte)
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Karnak et Louxor (Egypte)
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Karnak et Louxor (Egypte)
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Karnak et Louxor (Egypte)
Vue de la salle hypostyle
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Karnak et Louxor (Egypte)
Statue de 15 mètres de hauteur du grand prêtre d'Amon Pinedjem Ier et pharaon de la XXIème dynastie,
Le complexe religieux de Karnak comprend un vaste ensemble de ruines de temples, chapelles, pylônes, et d’autres bâtiments situés au nord de Thèbes, aujourd’hui la ville de Louxor en Egypte, sur la rive droite du Nil
Le complexe de Karnak, reconstruit et développé pendant plus de 2 000 ans par les pharaons successifs, de Sésostris I er au Moyen Empire à l'époque ptolémaïque , s’étend sur plus de deux kilomètres, et est composé de trois enceintes. Il est le plus grand complexe religieux de toute l’Antiquité.
Temple le plus important de la XVIIIe dynastie , il était consacré à la triade thébaine avec à sa tête le dieu Amon-Rê. Le complexe était relié au temple de Louxor par une allée de sphinx de près de trois kilomètres de long.
Site touristique, il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO depuis 1979. Seule l’enceinte d'Amon peut être visitée. Le site fait l’objet de fouilles conduites dès le XIXe siècle par des Français, organisés depuis 1967 au sein du Centre franco-égyptien d'étude des temples de Karnak . Les découvertes continuent à être nombreuses.
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Lalibela -Cité monastique du Nord de l'Éthiopie (province d'Amhara).
Bete Giyorgis (Église Saint-Georges)- Églises creusées dans le roc de Lalibela
L'église Bete Giyorgis , est isolée au sud-ouest du village. C'est la plus connue des églises de Lalibela. Elle est unique par son plan en forme de croix grecque.
Les églises rupestres de Lalibela sont onze églises monolithiques taillées dans la roche. Elles se trouvent dans la ville de Lalibela en Ethiopie .
La tradition dit qu'elles furent taillées au début du XIIIe siécle sur l'ordre du roi Gebra Maskal Lalibela qui voulait permettre aux chrétiens orthodoxes éthiopiens d'avoir sur leur terre leur propre Jérusalem, les pèlerinages vers la ville sainte étant de plus en plus difficile suite à l'expansion de l'islam. L’aménagement du site a été conçu pour que sa topographie corresponde à une représentation symbolique de la Terre Sainte, d'où son appellation de « Jérusalem Noire ».
Cependant, des études du site montrent qu'il a été sans doute aménagé sur une période plus longue, plusieurs siècles, même si la chronologie reste à préciser
D'énormes moyens ont dû être mis en œuvre pour réaliser ces travaux. En ce qui concerne l'église Bete Giyorgis 3 400 m³ de rocher furent enlevés dans la cour et environ 450 m³ à l'intérieur de l'église.
Quant à l'église Bete Medhane Alem, 15 000 m³ furent enlevés de la cour et 10 000 m³ à l'intérieur.
Le site fut décrit par un européen en septembre 1520, lorsque une mission est arrivée en Éthiopie.
A son époque, les églises étaient dans un meilleur état qu'aujourd'hui. Monti delle Corte a réalisé en 1940 des photos et des dessins qui montrent l'état préoccupant des monuments.
Les premières restaurations ont été effectués sous le règne de Zewditu (1916-1930), elles ont permis de protéger, avec les moyens de l'époque, les églises. Enfin, en 1978, le site de Lalibela est inscrit par l'Unesco au patrimoine culturel de l'humanité, des moyens ont alors été mis à disposition afin de conserver les monuments.
Le cœur de chaque église est le « maqdas », la pièce qui abrite le « tabot » symbolisant à la fois l'Arche de l'Alliance et les Tables de la Loi. Seul le prêtre a le droit d'y pénétrer. La porte en est généralement décorée d'images pieuses et de riches draperies. Une croix monolithe marque le point de départ d’un parcours sacré effectué par les pèlerins.
Lalibela -Cité monastique du Nord de l'Éthiopie (province d'Amhara).
Églises creusées dans le roc de Lalibela
Bete Giyorgis (Église Saint-Georges)
L'église Bete Giyorgis , est isolée au sud-ouest du village. C'est la plus connue des églises de Lalibela. Elle est unique par son plan en forme de croix grecque
Les églises rupestres de Lalibela sont onze églises monolithiques taillées dans la roche. Elles se trouvent dans la ville de Lalibela en Ethiopie .
La tradition dit qu'elles furent taillées au début du XIIIe siécle sur l'ordre du roi Gebra Maskal Lalibela qui voulait permettre aux chrétiens orthodoxes éthiopiens d'avoir sur leur terre leur propre Jérusalem, les pèlerinages vers la ville sainte étant de plus en plus difficile suite à l'expansion de l'islam. L’aménagement du site a été conçu pour que sa topographie corresponde à une représentation symbolique de la Terre Sainte, d'où son appellation de « Jérusalem Noire ».
Cependant, des études du site montrent qu'il a été sans doute aménagé sur une période plus longue, plusieurs siècles, même si la chronologie reste à préciser
D'énormes moyens ont dû être mis en œuvre pour réaliser ces travaux. En ce qui concerne l'église Bete Giyorgis 3 400 m³ de rocher furent enlevés dans la cour et environ 450 m³ à l'intérieur de l'église.
Quant à l'église Bete Medhane Alem, 15 000 m³ furent enlevés de la cour et 10 000 m³ à l'intérieur.
Le site fut décrit par un européen en septembre 1520, lorsque une mission est arrivée en Éthiopie.
A son époque, les églises étaient dans un meilleur état qu'aujourd'hui. Monti delle Corte a réalisé en 1940 des photos et des dessins qui montrent l'état préoccupant des monuments.
Les premières restaurations ont été effectués sous le règne de Zewditu (1916-1930), elles ont permis de protéger, avec les moyens de l'époque, les églises. Enfin, en 1978, le site de Lalibela est inscrit par l'Unesco au patrimoine culturel de l'humanité, des moyens ont alors été mis à disposition afin de conserver les monuments.
Le cœur de chaque église est le « maqdas », la pièce qui abrite le « tabot » symbolisant à la fois l'Arche de l'Alliance et les Tables de la Loi. Seul le prêtre a le droit d'y pénétrer. La porte en est généralement décorée d'images pieuses et de riches draperies. Une croix monolithe marque le point de départ d’un parcours sacré effectué par les pèlerins.
Lalibela -Cité monastique du Nord de l'Éthiopie (province d'Amhara).
Églises creusées dans le roc de Lalibela
Bete Giyorgis (Église Saint-Georges)
L'église Bete Giyorgis , est isolée au sud-ouest du village. C'est la plus connue des églises de Lalibela. Elle est unique par son plan en forme de croix grecque
Les églises rupestres de Lalibela sont onze églises monolithiques taillées dans la roche. Elles se trouvent dans la ville de Lalibela en Ethiopie .
La tradition dit qu'elles furent taillées au début du XIIIe siécle sur l'ordre du roi Gebra Maskal Lalibela qui voulait permettre aux chrétiens orthodoxes éthiopiens d'avoir sur leur terre leur propre Jérusalem, les pèlerinages vers la ville sainte étant de plus en plus difficile suite à l'expansion de l'islam. L’aménagement du site a été conçu pour que sa topographie corresponde à une représentation symbolique de la Terre Sainte, d'où son appellation de « Jérusalem Noire ».
Cependant, des études du site montrent qu'il a été sans doute aménagé sur une période plus longue, plusieurs siècles, même si la chronologie reste à préciser
D'énormes moyens ont dû être mis en œuvre pour réaliser ces travaux. En ce qui concerne l'église Bete Giyorgis 3 400 m³ de rocher furent enlevés dans la cour et environ 450 m³ à l'intérieur de l'église.
Quant à l'église Bete Medhane Alem, 15 000 m³ furent enlevés de la cour et 10 000 m³ à l'intérieur.
Le site fut décrit par un européen en septembre 1520, lorsque une mission est arrivée en Éthiopie.
A son époque, les églises étaient dans un meilleur état qu'aujourd'hui. Monti delle Corte a réalisé en 1940 des photos et des dessins qui montrent l'état préoccupant des monuments.
Les premières restaurations ont été effectués sous le règne de Zewditu (1916-1930), elles ont permis de protéger, avec les moyens de l'époque, les églises. Enfin, en 1978, le site de Lalibela est inscrit par l'Unesco au patrimoine culturel de l'humanité, des moyens ont alors été mis à disposition afin de conserver les monuments.
Le cœur de chaque église est le « maqdas », la pièce qui abrite le « tabot » symbolisant à la fois l'Arche de l'Alliance et les Tables de la Loi. Seul le prêtre a le droit d'y pénétrer. La porte en est généralement décorée d'images pieuses et de riches draperies. Une croix monolithe marque le point de départ d’un parcours sacré effectué par les pèlerins.