Moulin a vent

Moulin le Ballon Beuvry les Bethune -Nord-Pas-de-Calais

Très beau moulin tour restauré, construit en 1811.

Situé en bordure de la route nationale, au lieu dit "Le Ballon" d'où son appellation. Il appartient à la commune.

Inscrit aux Monuments Historiques depuis le 1er juillet 1987.

Moulin a vent

Moulin à vent dit Moulin Guidon - Eaucourt sur Somme

Ce nom vient de sa position géographique, particulièrement bien choisie. Son implantation au rebord du plateau lui permet de bénéficier du maximum des vents. Il se situe à 98 m d'altitude, un point haut du département, ce qui lui permet à l'est d'apercevoir la tour Perré d'Amiens et la flèche de la cathédrale, et à l'ouest, la baie de Somme. Les bateaux qui rentraient en baie se repéraient au moulin d'Eaucourt qui les guidait, d'où son nom.
Sa construction date du XVIIème siècle. Il peut être considéré comme élément libérateur vis-à-vis du seigneur qui imposait les banalités pour l'utilisation de son moulin à eau. Il arrêta sa production en 1919, et laissé à l'abandon, se dégrada progressivement jusqu'à son rachat en 1998. Commencée en 2000, la rénovation s'est terminée en 2002. Le moulin est actuellement opérationnel. 

Il comporte un soubassement en briques et silex, mur en pierres avec retrait à chaque étage. Peu d'ouvertures, deux fenêtres et deux portes.Le toit est couvert de bardeaux de châtaignier. Ses quatre ailes " flamandes " pèsent 12 tonnes ; une queue de 12 mètres de long permet, grâce à un treuil, de positionner les ailes face an vent. Au rez-de-chaussée se trouve la bluterie pour le tamisage de la farine. Au premier étage le meunier récupérait sa farine, on discutait : c'était le lieu de vie.
Au deuxième étage se trouvent la calotte et le chemin de roulement. L'arbre moteur avec son rouet qui transmet le mouvement à la lanterne qui entraîne la meule tournante.

Moulin a vent

Moulin à vent dit Moulin Guidon - Eaucourt sur Somme

Ce nom vient de sa position géographique, particulièrement bien choisie. Son implantation au rebord du plateau lui permet de bénéficier du maximum des vents. Il se situe à 98 m d'altitude, un point haut du département, ce qui lui permet à l'est d'apercevoir la tour Perré d'Amiens et la flèche de la cathédrale, et à l'ouest, la baie de Somme. Les bateaux qui rentraient en baie se repéraient au moulin d'Eaucourt qui les guidait, d'où son nom.
Sa construction date du XVIIème siècle. Il peut être considéré comme élément libérateur vis-à-vis du seigneur qui imposait les banalités pour l'utilisation de son moulin à eau. Il arrêta sa production en 1919, et laissé à l'abandon, se dégrada progressivement jusqu'à son rachat en 1998. Commencée en 2000, la rénovation s'est terminée en 2002. Le moulin est actuellement opérationnel. 

Il comporte un soubassement en briques et silex, mur en pierres avec retrait à chaque étage. Peu d'ouvertures, deux fenêtres et deux portes.Le toit est couvert de bardeaux de châtaignier. Ses quatre ailes " flamandes " pèsent 12 tonnes ; une queue de 12 mètres de long permet, grâce à un treuil, de positionner les ailes face an vent. Au rez-de-chaussée se trouve la bluterie pour le tamisage de la farine. Au premier étage le meunier récupérait sa farine, on discutait : c'était le lieu de vie.
Au deuxième étage se trouvent la calotte et le chemin de roulement. L'arbre moteur avec son rouet qui transmet le mouvement à la lanterne qui entraîne la meule tournante.

Moulin de Boeschèpe_ Nord

Le moulin de l'Ingratitude ou Ondankmeulen a été construit en 1802 à Morbecque près d'Hazebrouck, il est transféré à Boeschèpe en 1884.

Pivot à 2 étages, équipé d'une paire de meules à farine et d'une paire de meules à mouture pour animaux, actionnées par le dessous, ce qui en fait son originalité

Moulin a vent

Moulin de Westmolen à Naours -Somme

Moulin a vent

Le moulin de Chantecoq. Puteaux-Hauts-de-Seine

Situé dans un parc boisé dans la partie haute de Puteaux, il s'agirait du plus ancien moulin des Hauts de Seine. Construit en 1648, il partageait la colline avec moulins à vent, il était entouré de terres vierges.

En 1787, les religieuses de la Maison royale de St Louis le donnent en bail à un meunier. Le 3 septembre 1790, il est acheté par la commune. En 1823, Charles Lorilleux, propriétaires des usines d'encre d'imprimerie le rachète.

Une des ailes a été cassée lors de la tempête du 26 décembre 1999, mais très vite réparée par la municipalité.