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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
124619 articles
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Présidé par Mgr Alain Castet, évêque de Luçon , en présence des évêques bretons ou de leurs représentants, de très nombreux prêtres et des chevaliers de l'Ordre du Saint Sépulcre et de l'Ordre de Malte et notre petit servant d'autel Picard , tout souriant et fier d'étre là .......
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.
26 juillet 2013 - Le Grand Pardon de Sainte-Anne d’Auray
Le Pardon de Sainte-Anne d’Auray est appelé « Grand Pardon », sans doute en raison de son importance – autour de 20 000 pèlerins chaque année – mais aussi, parce qu’il fête sainte Anne, patronne de la Bretagne.
Dans la nuit du 7 au 8 mars 1625, sainte Anne apparaît une nouvelle fois à Yvon Nicolazic. Elle tient un flambeau à la main, mais elle porte aussi une autre lumière : celle de l’espérance. A l’humble laboureur qui la supplie : « Faites donc quelque miracle, ma bonne maîtresse… »Et depuis le 26 juillet 1625, date à laquelle la paroisse de Riantec (Morbihan) ouvre la longue liste des pèlerinages, ce sont des millions de pèlerins et visiteurs qui sont venus dans ce haut lieu spirituel ; on compte en moyenne 600 à 700 000 pèlerins par an.
150.000 personnes étaient présentes lors du pèlerinage de Jean-Paul II en 1996. Le message confié à Nicolazic s'adresse à tous, bretons ou non. C'est pourquoi Jean-Paul II a considéré Sainte-Anne d'Auray comme un haut lieu spirituel.
La foule, priant et recueillie lors des 2 jours de fête dédiés à sainte Anne, illustre aussi la prédiction de sainte Anne. Le 25 juillet, l’appel du bourdon pour les premières vêpres de sainte Anne marque l’ouverture des fêtes. Et c’est au cours de la veillée, lors la procession aux flambeaux, que sont évoquées les premières « marches à la lumière », où Yvon Nicolazic et les hommes du village de Keranna suivaient le flambeau de sainte Anne. Le 26 juillet voit au grand jour le triomphe de sainte Anne.
la messe solennelle est célébrée au Mémorial. La fête s’achèvera après la prière mariale et les vêpres pontificales.
La réconciliation s’est faite et comme il n’y a pas de pardon sans festivités, les pèlerins se retrouvent sur le parvis de la basilique pour entendre les sons joyeux de la bombarde.