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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour : 15.10.2017
124619 articles


Regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 Il était la, triste comme trop souvent
Regard avide penché sur les cailloux
Il pleurait sa vie, pleurait tout le temps
Tête enfouie dans ses frêles genoux

Je passais simplement au hasard
Dans ces rues sans vies, sans regards
Cités perdues d’un monde chaviré
Les yeux noirs d’absence, prêts à tirer

J’ai posé, longuement tendu la main
Pour rien, le petit avait peur de tout
Je n’ai jamais vu ses yeux, que ses genoux
Un regard toujours rivé sur les cailloux

En retour de mes mots, un profond silence
Au détour d’un cœur chaud, grande absence
La lune fit de l’ombre au soleil il était l’heure
Le petit s’enfuyait d’un coup vers ses cœurs

Je suis repassé de temps en temps même tard
Simple passant en recherche d’un petit regard
Que je n’ai jamais croisé, comme un mirage
Oasis probable, cet instant restera en la cité

 

 



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 Il était la, triste comme trop souvent
Regard avide penché sur les cailloux
Il pleurait sa vie, pleurait tout le temps
Tête enfouie dans ses frêles genoux

Je passais simplement au hasard
Dans ces rues sans vies, sans regards
Cités perdues d’un monde chaviré
Les yeux noirs d’absence, prêts à tirer

J’ai posé, longuement tendu la main
Pour rien, le petit avait peur de tout
Je n’ai jamais vu ses yeux, que ses genoux
Un regard toujours rivé sur les cailloux

En retour de mes mots, un profond silence
Au détour d’un cœur chaud, grande absence
La lune fit de l’ombre au soleil il était l’heure
Le petit s’enfuyait d’un coup vers ses cœurs

Je suis repassé de temps en temps même tard
Simple passant en recherche d’un petit regard
Que je n’ai jamais croisé, comme un mirage
Oasis probable, cet instant restera en la cité

 

 



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 




Les enfants tristes ne pleurent pas,

des larmes pour qui, pourquoi?

Leurs regards portent jusqu’où?

On ne sait pas.

Les enfants tristes ne crient pas,

Ne gémissent pas.

À croire,

ils ne sont pas des enfants du bon dieu.

Ils n'ont ni printemps, ni été.

Pas de mains rassurantes

dans lesquelles cacher leurs petites menottes,

si ce n'est leurs poches trouées.

C'est ainsi !!!

Ils vont ainsi le long des chemins sans fortune,

eux, toujours sans haine,

aimant leur solitude

comme on aime une vierge de pierre.

Même la pluie ennuyante d’automme

et la pluie froide d'hiver

ne viennent pas les perturber.

Au fond de leurs yeux,

des petits bateaux

et des colliers de fleurs.

Ils sont sans âge,

Ou trop vieux,

sans avoir vécu.

Le monde n'est pas pour eux

Le monde les a oubliés.

Leur monde à eux

est en dehors du temps

ils le traversent

jusqu'au plus profond de l'oubli.

Aucune joie,

aucune victoire,

mais une sempiternelle de routes.

leurs yeux ont beau demander

et demander sans cesse,

il n'y a pas de rédemption pour un péché

qu'ils n'ont jamais commis

Le péché de détresse.

Le jardin du bonheur leur est interdit,

le jardin des caresses et des rires aussi.

Ils ont si mal,

mais ils ne vous en diront jamais rien.

Les enfants tristes ne pleurent jamais…




Les enfants tristes,

Une hymne poétique à des blessés de la vie.



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 




Les enfants tristes ne pleurent pas,

des larmes pour qui, pourquoi?

Leurs regards portent jusqu’où?

On ne sait pas.

Les enfants tristes ne crient pas,

Ne gémissent pas.

À croire,

ils ne sont pas des enfants du bon dieu.

Ils n'ont ni printemps, ni été.

Pas de mains rassurantes

dans lesquelles cacher leurs petites menottes,

si ce n'est leurs poches trouées.

C'est ainsi !!!

Ils vont ainsi le long des chemins sans fortune,

eux, toujours sans haine,

aimant leur solitude

comme on aime une vierge de pierre.

Même la pluie ennuyante d’automme

et la pluie froide d'hiver

ne viennent pas les perturber.

Au fond de leurs yeux,

des petits bateaux

et des colliers de fleurs.

Ils sont sans âge,

Ou trop vieux,

sans avoir vécu.

Le monde n'est pas pour eux

Le monde les a oubliés.

Leur monde à eux

est en dehors du temps

ils le traversent

jusqu'au plus profond de l'oubli.

Aucune joie,

aucune victoire,

mais une sempiternelle de routes.

leurs yeux ont beau demander

et demander sans cesse,

il n'y a pas de rédemption pour un péché

qu'ils n'ont jamais commis

Le péché de détresse.

Le jardin du bonheur leur est interdit,

le jardin des caresses et des rires aussi.

Ils ont si mal,

mais ils ne vous en diront jamais rien.

Les enfants tristes ne pleurent jamais…




Les enfants tristes,

Une hymne poétique à des blessés de la vie.



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 




Les enfants tristes ne pleurent pas,

des larmes pour qui, pourquoi?

Leurs regards portent jusqu’où?

On ne sait pas.

Les enfants tristes ne crient pas,

Ne gémissent pas.

À croire,

ils ne sont pas des enfants du bon dieu.

Ils n'ont ni printemps, ni été.

Pas de mains rassurantes

dans lesquelles cacher leurs petites menottes,

si ce n'est leurs poches trouées.

C'est ainsi !!!

Ils vont ainsi le long des chemins sans fortune,

eux, toujours sans haine,

aimant leur solitude

comme on aime une vierge de pierre.

Même la pluie ennuyante d’automme

et la pluie froide d'hiver

ne viennent pas les perturber.

Au fond de leurs yeux,

des petits bateaux

et des colliers de fleurs.

Ils sont sans âge,

Ou trop vieux,

sans avoir vécu.

Le monde n'est pas pour eux

Le monde les a oubliés.

Leur monde à eux

est en dehors du temps

ils le traversent

jusqu'au plus profond de l'oubli.

Aucune joie,

aucune victoire,

mais une sempiternelle de routes.

leurs yeux ont beau demander

et demander sans cesse,

il n'y a pas de rédemption pour un péché

qu'ils n'ont jamais commis

Le péché de détresse.

Le jardin du bonheur leur est interdit,

le jardin des caresses et des rires aussi.

Ils ont si mal,

mais ils ne vous en diront jamais rien.

Les enfants tristes ne pleurent jamais…




Les enfants tristes,

Une hymne poétique à des blessés de la vie.



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 

l suffit du regard d'un enfant
Pour éclairer mon firmament
Ô oui je sais maintenant
Que la vie est un diamant
Simplement un regard d'enfant

---------------

Il suffit du regard d'un enfant
Pour apaiser peines et tourments
Cela apporte un agrément
Aux portes de mes sables mouvants
Simplement un regard d'enfant



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 


 Il suffit du regard d'un enfant
Pour me faire remonter le temps
Et me redonner de l'allant
C'est toujours très émouvant
Simplement un regard d'enfant

---------------

Il suffit du regard d'un enfant
Perdu dans son élément
Un joli regard innocent
Magnifique clair et franc
Simplement un regard d'enfant



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 


Il suffit du regard d'un enfant
Pour ne plus pleurer autant
Se sentir léger comme le vent
C'est comme un bonheur croissant
Simplement un regard d'enfant

---------------

Il suffit du regard d'un enfant
C'est un petit éclair parlant
Un petit clin d'oeil innocent
Un petit bonheur délirant
Simplement un regard d'enfant

---------------
 

Jean-Jacques Kindler



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 Dans les yeux d’un enfant


Un enfant était là et se tenait assis,
Il était seul et triste et de l’eau dans les yeux,
Alors sans faire de bruit me tenant devant lui,
Je m’assis moi aussi et regardais les cieux.

En posant mon regard sur celui de l’enfant,
Je m’aperçus alors qu’il regardait le mien,
Ce que j’ai vu soudain, je le dis à présent,
Me laissa mal à l’aise, je m’en souviens très bien.

Je regardais ses yeux et sans le moindre mot,
Je compris aussitôt son regard malheureux,
J’y vis tant de questions à vous glacer le dos,
Qu’il n’y a rien à dire, on reste silencieux.

Dans ses beaux yeux d’enfants il demandait pourquoi,
Pourquoi tant de malheurs et de misères aussi,
Pourquoi ces guerres immondes qui font trembler d’effroi,
Pourquoi tant de violence et pourquoi ces tueries ?

Pourquoi tant de barrières au travers de la vie,
Et pourquoi ces frontières qui empêchent d’avancer,
Tous ces moments de haine sans le moindre répit,
Tous ces moments de larmes qui nous font reculer ?

Pourquoi tous ces blessés et pourquoi tous ces morts,
Au nom de religions ou de couleurs de peaux,
Pourquoi pas simplement pour changer de décor,
Effacer tout ce laid et ne garder que beau ?

Je n’ai pas pu répondre car j’avais dans mes yeux,
Quelques larmes qui coulaient sur ma main qui tremblait,
Que voulez-vous répondre à ses yeux malheureux,
Les mots sont inules, il faut bien se l’avouer.

Je lui ai pris la main et j’ai posé dedans,
Ce que j’avais en moi pour assécher ses pleurs,
Je me suis demandé si c’était suffisant,
Je n’avais pas grand-chose, que simplement mon cœur.



Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

Le regard d'un enfant

 

 De mon ciel pur
Aux nuages transparents,
Tu as crevé l'azur
De ton regard d'enfant !

Le corps en lambeaux,
Le coeur en morceaux,
Le mot fin
Ecrit sur le mur de ton destin,
Tu as brisé le cocon
De ma vie de coton,
Et le blanc a rougi
A l'écho de ton cri !

Parce qu'un jour tes yeux
Se sont perdus dans mes yeux,
Et que ta souffrance
Depuis s'y balance
Au rythme de tes pleurs,
Au rythme de ta peur,
Déchirant les images
Colorées et sages
Que j'avais faites
De ma vie parfaite !

Ton regard reste gravé
En mon regard noyé ;
La tristesse qui les assombrit
Ressemble à ton innocence meurtrie,
A ce pâle sourire figé
Sur ton visage défiguré,
Et mon coeur se fane
Lorsque tu hurles à mon âme
Ton appel au secours,
Ton appel à l'amour !