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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Par Anonyme, le 22.12.2024
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Date de création : 13.04.2009
Dernière mise à jour :
15.10.2017
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Sainte Anne
Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes; elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent surtout illustres entre tous leurs concitoyens par l'éclat d'une vie pleine de bonnes oeuvres et de vertus.
Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l'aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables. Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Mais si elle reçut tant de grâces, comme elle sut y répondre par la sainteté de sa vie!
Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite! Puis, quand il plut à Dieu d'unir son sort à celui de Joachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière.
Dieu lui refusa longtemps de devenir mère; elle se soumit humblement à cette épreuve et l'utilisa pour sa sanctification. Mais à l'épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d'Anne, déjà vieux, naquit miraculeusement Celle qui devait être la Mère du Sauveur et la Corédemptrice du genre humain. C'est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d'avoir donné naissance à la Mère de Dieu; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d'avoir formé le coeur de Marie à la vertu et à l'innocence! L'Église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.
Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l'ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l'église d'Apt, en Provence, à l'époque des persécutions. A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l'objet d'un pèlerinage. Mais c'est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit. De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d'Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d'une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d'Auray est encore aujourd'hui l'objet d'un pèlerinage national.
Sainte Anne
Sainte Anne appartenait à ce peuple choisi qui, dans les desseins de Dieu, devait donner naissance au Sauveur des hommes; elle était de la tribu de Juda et de la race de David. Ses parents, recommandables par leur origine, devinrent surtout illustres entre tous leurs concitoyens par l'éclat d'une vie pleine de bonnes oeuvres et de vertus.
Dieu, qui avait prédestiné cette enfant à devenir l'aïeule du Sauveur, la combla des grâces les plus admirables. Après Marie, aucune femme plus que sainte Anne ne fut bénie et privilégiée entre toutes les autres. Mais si elle reçut tant de grâces, comme elle sut y répondre par la sainteté de sa vie!
Toute jeune enfant, elle était douce, humble, modeste, obéissante et ornée des naïves vertus de son âge. Plus tard, comme elle sut bien garder intact le lis de sa virginité! Comme elle dépassait toutes les filles, ses compagnes, par sa piété, par la réserve de sa tenue, son recueillement et la sainteté de toute sa conduite! Puis, quand il plut à Dieu d'unir son sort à celui de Joachim, combien Anne fut une épouse prévenante, respectueuse, laborieuse, charitable et scrupuleusement fidèle à tous les devoirs de son état, vaquant à propos au travail et à la prière.
Dieu lui refusa longtemps de devenir mère; elle se soumit humblement à cette épreuve et l'utilisa pour sa sanctification. Mais à l'épreuve succéda une grande joie, car de Joachim et d'Anne, déjà vieux, naquit miraculeusement Celle qui devait être la Mère du Sauveur et la Corédemptrice du genre humain. C'est sans doute un grand honneur pour sainte Anne, que d'avoir donné naissance à la Mère de Dieu; mais il lui revient beaucoup plus de gloire d'avoir formé le coeur de Marie à la vertu et à l'innocence! L'Église célébrera dans tous les âges la piété maternelle de sainte Anne, et la gloire de sa Fille rejaillira sur elle de génération en génération.
Le culte de sainte Anne a subi diverses alternatives. Son corps fut transporté dans les Gaules, au premier siècle de l'ère chrétienne, et enfoui dans un souterrain de l'église d'Apt, en Provence, à l'époque des persécutions. A la fin du VIIIe siècle, il fut miraculeusement découvert et devint l'objet d'un pèlerinage. Mais c'est surtout au XVIIe siècle que le culte de sainte Anne acquit la popularité dont il jouit. De tous les sanctuaires de sainte Anne, le plus célèbre est celui d'Auray, en Bretagne; son origine est due à la miraculeuse découverte d'une vieille statue de la grande Sainte, accompagnée des circonstances les plus extraordinaires et suivies de prodiges sans nombre. Sainte-Anne d'Auray est encore aujourd'hui l'objet d'un pèlerinage national.
Sainte Anne d’Auray
« Anne au flambeau »
Un soir d’août 1623, Yves Nicolazic est réveillé par une lumière intense, l’éblouissement s’atténue. Dans la grange, Nicolazic aperçoit une main tenant un flambeau. Celui qu’on a surnommé le « taiseux » ne dit mot de cette mystérieuse illumination. Un mois plus tard, il est dans son champ quand le cierge allumé réapparaît devant lui . La flamme est droite malgré les rafales de vent. Intrigué, il serre un peu plus son chapelet mais continue à se taire. Un autre soir, il ramène il ramène ses bœufs à l’abreuvoir avec son beau frère quand les deux hommes aperçoivent une femme de lumière. Un capucin d’Auray lui conseille la plus totale discrétion.
La dame de gloire revient à plusieurs reprises . Nicolazic, inquiet, s’accroche à son chapelet comme à sa charrue, et enchaîne les suppliques à sa « Mestrez vat », sa bonne Maîtresse Sainte Anne. Le 25 juillet, nouvelle visite et grande première: la Dame le rassure , en breton: « Ne craignez point, Yves Nicolazic, je suis Anne, la Mère de Marie. Dites à votre recteur que dans le champs du Bocenno, il y a eu autrefois, avant même qu’il y eut un village ici, une chapelle dédiée à mon nom. C’était la première de tout le pays. Il y a 924 ans et 6 mois qu’elle est ruinée. Je désire qu’elle soit rebâtie au plus tôt et que vous en preniez soin, parce que Dieu veut que j’y sois honorée… »
Le sémaphore breton fonctionne aussi vite que le téléphone arabe; si le recteur et son vicaire sont plus sceptiques, des foules sen pressent au Bocenno. Pour convaincre le clergé rétif, Nicolazic demande un signe à Sainte Anne. Promis, dans la nuit du 7 au 87 mars 1625, le laboureur rassemble famille et voisins. Ils se rendent au Bocenno, guidés par le flambeau céleste, jusqu’à ce ce que la flamme soit subitement aspirée sous terre. Ils creusent. Exhument la vielle statue de Sainte Anne qui sommeillait dans les ruines enfouies de la chapelle originelle depuis neuf siècles.
Le recteur ne veut rien voir ni savoir , frappe même du pied cette représentation de la seconde Dame du Ciel. Mais la foule est plus compacte que le bois de la statue. On abrite celle ci dans une cabane de branchages. Les pèlerinages commencent.
L’évêque de Vannes fait instruire le procès de Nicolazic par un recteur bachelier en Sorbonne. « Il fallait bien tant de science pour sonder tant d’ignorance », note avec humour le poète Charles Le Quintrec. D’autres signes confirment le signe, et d’abord la sainteté de Nicolazic. Mgr de Rosmadec autorise la pose de la première pierre du sanctuaire, le 25 juillet 1625. Le premier à y célébrer la messe est le recteur repenti.
Nicolazic s’éteint 20 ans après cette fondation, le 13 mai 1645. Une vision illumine son agonie: « Je vois la Vierge Marie et Madame Sainte Anne, ma bonne maîtresse ». On lui présente la statue en lui demandant une dernière fois: « Est il vrai que vous avez trouvé miraculeusement cette image ? » Il répond : « oui ». Baise le bois vénérable et rend son dernier soupir. Son épouse Guillemette, mère de leur quatre enfants, le rejoint en paradis quelques semaines plus tard, puisqu’il ne convient pas de séparer trop longtemps sur cette terre ce que Dieu a uni.
Sainte Anne, sainte patronne des marins et des pêcheurs, à Hendaye-plage.
Sainte Anne - Verdelais
Les reliques de sainte Anne , à Apt
D'après la tradition, les Saintes-Maries, proches parentes de sainte Anne, emportèrent son corps lorsqu'elles quittèrent la Palestine, en compagnie de saint Lazare et des autres disciples qui devaient fonder les églises de Provence. C'est saint Auspice, premier évêque d'Apt, qui devint, en France, le gardien des reliques ; mais conduit au martyre, il les dissimula dans un souterrain dépendant sans doute de l'amphithéâtre et où les évêques réunissaient les fidèles en temps de persécution ; cette grotte, qui existe encore, forme actuellement la deuxième crypte de la basilique.
Consignons en passant la légende par laquelle une lampe, suspendue par saint Auspice devant l'armoire aux reliques, resta allumée durant six siècle jusqu'au jour de l'Invention miraculeuse. Cette Invention eut lieu sous Charlemagne, à la date de Pâques 702, selon des documents quelque peu discutés : un sourd-muet, aveugle de naissance, nommé Caseneuve de Simiane, aurait pénétré ce jour-là dans l'église, poussé par une force mystérieuse, et fait soulever une dalle pour dégager la crypte, dont le souvenir s'était perdu.
Il est difficile de vérifier l'exactitude de ces faits d'après les lettres, peut-être apocryphes, de Charlemagne et du pape Adrien, mais les deux dalles couvertes de graphites qui plafonnent la crypte prouvent, par leurs inscription, que l'Invention remonte bien au règne du grand empereur.
L'une de ces dalles porte les noms de personnages de l'époque, suivis de la désignation en abrégé SAC. VEL. CL que l'on traduit par "Gardien du Saint-Voile" (Sancti veli clavicularii), le voile en question étant celui qui enveloppait la relique ; la seconde présente le dessin d'un rameau, assez semblable à la feuille du palmier, entouré de pampres et de raisins, et c'est là l'emblème bien connu de sainte Anne.
Quant à l'authenticité des reliques, elle est attestée par les encouragements que donnèrent toujours les Souverains Pontifes, depuis Benoît XII, à la dévotion portée à sainte Anne d'Apt. Un bref du pape Clément VII, en date du 30 octobre 1533, accorde des indulgences au pèlerinage et recommande aux fidèles de réparer l'église "où reposent les corps de plusieurs saints et, notamment, celui de sainte Anne, mère de la glorieuse Vierge Marie."
Conservées pendant cinq siècles après leur Invention, dans la crypte inférieure de l'église, les reliques furent transportées, le 21 avril 1392, dans une chapelle édifiée auprès du choeur, par les soins d'Antoine Ollier, dont les aïeux pavaient déjà enrichi l'église de donations considérables ; elles y demeurèrent jusqu'au 28 juillet 1664, date à laquelle el corps de sainte Anne fut transféré en grande pompe dans la chapelle royale élevée par Anne d'Autriche.
La vaste niche à grille dorée, réservée au fond de cette nouvelle chapelle, reçut en même temps les restes de saint Auspice et de saint Castor, ceux de saint Elzéar de Sabran, comte d'Ariano, et de sainte Delphine, son épouse, ceux de sainte Marguerite, servante de la comtesse d'Ariano, ceux enfin de saint François de Sales.
Charlemagne et, plus tard, le chapitre de l'Église avaient distribué des parcelles des précieuses reliques aux abbayes de l'Ile-Barbe, près de Lyon, et d'Orcamp, près de Noyon, ainsi qu'à de nombreux sanctuaires jusqu'à Ancône et jusqu'à Naples. Ces dons s'étaient multipliés de telle sorte que le Parlement avait interdit, le 8 janvier 1621, de toucher aux reliques sans autorisation du roi, donnée par lettres patentes ; Anne d'Autriche elle-même ne put obtenir un ossement de sa sainte patronne qu'après une lettre de cachet, un ordre de Louis XIII au Parlement de Provence et la délégation d'un commissaire.
La reine ayant enfin reçu une phalange du doigt de sainte Anne en fit trois parts : la première échut à la Visitation de Paris, la seconde à Saint-Anne d'Auray, la troisième aux Prémontrés du quartier de Saint-Germain-des-Prés, nommés, depuis lors, religieux de Sainte-Anne.
Les pèlerinages célèbres.
Depuis la découverte de la crypte, en 792, le corps de sainte Anne était devenu l'objet d'une telle vénération que la grille du tombeau s'était usée peu à peu sous les baisers des pèlerins.
Les plus grands personnages, pontifes et rois, religieux et laïcs, avaient prié dans le souterrain : le pape Urbain II, prêchant en France la première croisade, et le pape Urbain V venu pour prier sur la tombe de ses parents qui avaient désiré être ensevelis auprès des saintes reliques ; le cardinal Pierre de Luxembourg, plus tard béatifié ; les souverains de Naples, puis le roi de Chypre, Guy de Lusignan...
Mais le plus fameux pèlerinage fut accompli par la reine Anne d'Autriche, en reconnaissance à sa sainte patronne, après la naissance du futur Louis XIV. Longtemps stérile, la reine de France avait envoyé une solennelle députation au sanctuaire d'Apt dans l'espoir d'obtenir un fils : son voeu ayant été exaucé, elle partit en pèlerinage, accompagnée d'une suite nombreuse et arriva dans la ville le 17 mars 1660. Anne vénéra les Saintes Reliques et établit une fondation annuelle de six messes ; elle accorda une somme de 8.000 livres pour élever une chapelle destinée à recevoir les reliques et fit présent, à l'église, d'une statue de la sainte, en or massif, d'un aigle de métal orné de pierres précieuses et d'une couronne garnie de rubis et de perles fines.
La dévotion des pèlerins se traduisait, d'ailleurs, par des présents de grande valeur et l'Administration des Beaux-Arts a fait récemment exécuter un coffre, lui-même fort beau, pour contenir le trésor de l'église, en même temps que les manuscrits, dont plusieurs remontent au XIème siècle.
Privilèges accordés.
Nous avons vu le pape Clément VII accorder au pèlerinage de précieuses indulgences. Un siècle plus tôt, le bon roi René d'Anjou avait confirmé, par lettres patentes, les privilèges du chapitre d'Apt, dépositaire des reliques de sainte Anne.
La Confrérie, fondée en 1501, reçut à son tour les faveurs du Saint-Siège : Pie IX lui décerna, le 28 juillet 1861, le titre et les privilèges d'Archiconfrérie, et Léon XIII donnait, quelques années plus tard, à cette association le pouvoir d'agréger les confréries des diocèses voisins.
L'église reçut le titre de basilique, le 8 août 1879, pour être agrégée, le 9 nombre 1880, à la basilique vaticane. Elle abritait, depuis 1873, la statue de sainte Anne offerte par Mgr Dubreuil et couronnée, le 9 septembre 1878, en présence de douze évêques et de pèlerins venus en grand nombre pour assister à cette solennité.
Les miracles.
Les guérisons merveilleuses obtenues par l'intercession de sainte Anne d'Apt sont consignées dans plusieurs actes pontificaux. Les chroniqueurs, et parmi eux l'historien Legrand, citent aussi les miracles journellement accomplis ; grâces particulières obtenues ici par une mère pour son enfant malade, là par un ouvrier pris dans un accident, ou bien faveurs collectives accordées à une famille, à un équipage de vaisseau, voire à une ville entière.
Sainte Anne d'Apt est la protectrice des navigateurs provençaux avec Notre-Dame de la Garde et les offrandes des marins rappellent combien de fois elle les secourut pendant l'orage et la tempête. Les tableaux votifs qui couvrent les murailles de la crypte et de l'église sont d'ailleurs les témoignages des innombrables grâces déversées sur les pèlerins. Ces tableaux augmentent toujours en nombre, car la dévotion à sainte Anne reste très ardente ; non seulement les voyageurs viennent visiter son humble sanctuaire, classé monument historique, mais les pèlerins confiants en son pouvoir affluent chaque 26 juillet, et souvent au cours de l'année, pour implorer la mère de la Vierge Marie
La péninsule de Rhuys
La statue de Sainte Anne érigée en 1988 veillant sur les marins à la pointe de Bilgroix
Sainte Anne est vénérée ici depuis 1673.