Pénitencier - Prison de Kandahar Kandahar ville du sud de l'Afghanistan. Kandahar est le berceau du mouvement des talibans et l'un de leurs bastions. Amnesty International n'a pas eu accès aux prisons de Bagram et Kandahâr, mises à la disposition de l'armée américaine. "L’Afghanistan a besoin d’une assistance et d’un soutien global et à long terme pour pouvoir développer un système judiciaire qui s’appuie sur le respect des règles du droit et fonctionne d’une manière conforme aux normes internationales universellement acceptées en matière de droits humains. Le respect des règles du droit ne pourra être atteint qu’avec le soutien et l’engagement durable de la communauté internationale et des acteurs afghans les plus importants", a conclu l’organisation. 

Pénitencier - Pont des Soupirs, Venise Le Pont des Soupirs construit en 1602, le Pont des malheureux... On l'a appelé le '' Pont des Soupirs '' parce qu'on imaginait les plaintes des condamnés qui le franchissaient pour aller directement du tribunal à la prison ou bien de leur cachot (de la salle de torture également) au tribunal. Fermé comme un Coffre... Les cris des hommes (invisibles) qui clamaient leur innocence, ou qui appelaient au secours étaient ainsi étouffés. Discrétion assurée, secrets bien gardés... et aucun risque d'évasion ! A l'intérieur, c'est un corridor double séparé par un mur, les prisonniers pouvaient se croiser sans pouvoir se voir, ni se parler et des cachots sombres bien humides du sous-sol, jusqu'aux plombs où les prisonniers étouffaient dans la chaleur de cellules situées sous des toits recouverts de grosses plaques de plomb chauffées par le soleil ( plus de 50 degrés celsius ) ( plus de 122 degrés fahrenheit ). Organisation, efficacité! Bref, celui qui passait ce pont n'existait plus.

Voir: http://www.e-venise.com/ponts-venise/pont-des-soupirs-venise-ponte-sospiri.htm

Voir: http://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_des_Doges

Pénitencier

Mort méthode d'exécution en 2018

Injection létale voir site :

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/19520/reader/reader.html#!preferred/1/package/19520/pub/28077/page/6

Inhalation d'azote : une méthode jamais utilisée

Certains spécialistes (lesquels?) ont proposé une méthode d'exécution qui selon eux serait complètement indolore et meilleure que n'importe quelle autre méthode. L'air que nous respirons est composé environ à 78 % d'azote (nitrogen en anglais) et à 21 % d'oxygène. L'oxygène est le seul gaz nécessaire à l'organisme, nous inhalons constamment une grande quantité d'azote sans difficulté et bien que ce gaz soit absolument inutile à la vie humaine, d'où vient d'ailleurs son étymologie française : a- (privatif) et du radical grec « vivant » et signifie donc « privé de vie ». L'idée serait de faire inhaler au condamné un air concentré à 100 % en azote, celui-ci sombrerait dans l'inconscience sans douleur en moins d'une minute et son cœur cesserait de battre au bout de plusieurs minutes (au moins 7). Par rapport à la chambre à gaz, cette méthode n'implique pas d'utiliser un poison provoquant une suffocation. Dans la mesure où l'azote est un gaz inhalable et non un poison dangereux, cette méthode ne nécessiterait même pas de placer le condamné dans une chambre à gaz, il suffirait d'attacher le condamné à un lit ou une chaise et d'installer sur sa tête un masque similaire à celui des hôpitaux pour les anesthésies. Contrairement à l'injection létale, cette méthode ne nécessiterait pas l'emploi de personnels ayant reçu une formation pour insérer une aiguille. Cette méthode n'a jamais été utilisée pour exécuter un être humain, mais elle est parfois utilisée pour euthanasier certains animaux. 

Le Cyanure mort dans une ou deux minutes : 

Le cyanure (acide cyanhydrique) est un poison foudroyant et très efficace. Il provoque d’abord une perte de connaissance, puis des convulsions, des difficultés respiratoires fortes, voire un arrêt cardiorespiratoire dans les minutes qui suivent l’inhalation d’une concentration élevée (forme gazeuse) ou l’injection (ou l’ingestion) de cyanure pur (sel dissous). Parfois,une ou deux minutes après la prise, c’est la mort subite, à peine précédée d’une sensation d’étouffement ! C'est un moyen de suicide très prisé car il agit très rapidement et parce qu'il en faut très peu. On constate souvent une odeur d'amande amère quand il est administré sous forme gazeuse.

Parmi les dix meurtres perpétrés dans les Dix Petits Nègres d'Agatha Christie, deux le sont grâce à du cyanure de potassium: dans une seringue pour l'un, dans du champagne pour l'autre. Dans la Mort dans les nuages (Agatha Christie), c’est un meurtre maquillé en suicide.
L'empereur romain Néron a utilisé le cyanure naturel pour empoisonner ses ennemis.
Le zyklon B, tristement célèbre pour son utilisation par les Nazis dans les chambres à gaz dégage du cyanure d'hydrogène.

Justice de célébrité: les modes de vie des détenus riches et célèbres  

Il existe deux systèmes de justice pénale aux États-Unis. L'un est destiné aux personnes riches, renommées ou influentes qui peuvent se permettre d'embaucher des avocats et des agences de relations publiques de premier plan, qui contribuent aux shérifs, aux législateurs et à d'autres élus, et qui jouissent de certains privilèges en raison de leur statut de célébrité ou de leurs comptes bancaires. L'autre système de justice est pour tout le monde. Autant de justice que vous pouvez vous permettre. 

Les programmes de pay-to-stay ne désavantagent pas significativement les riches, mais les frais de subsistance que les prisons ordinaires imposent de plus en plus aux prisonniers dévastent économiquement les pauvres.Jusqu'à ce que cette disparité soit résolue, les prisons à autofinancement, la surveillance des mises en liberté sous caution et d'autres avantages offerts uniquement aux délinquants aisés resteront moralement et éthiquement indéfendables dans un système de justice criminelle qui se fie à la devise américaine. Cour suprême: « une justice égale en droit » 

Mais honnêtement, que pouvons - nous attendre d'un système de justice axée sur la richesse quand, selon information financière de l' État-ments publié en Juin 2010, au moins cinq juges de la Cour suprême sont millionnaires? L'argent et le statut de célébrité parlent, et notre système de justice pénale écoute.

Ce site est en anglais mais vous pouvez télécharger un plug-in de traduction pour vos pages web :

http://www.prisonlegalnews.org/news/2010/jul/15/celebrity-justice-prison-lifestyles-of-the-rich-and-famous/

Une personne détenue sur quatre souffrirait de troubles psychotiques. C’est huit fois plus que dans la population générale. Face à la présence massive de malades psychiques en détention, les gouvernements successifs ont fait le choix de faire entrer le soin en prison plutôt que de faire sortir les malades. Faisant fi de ce qui tient autant du principe que du constat : la prison n’est pas, et ne peut pas être, un lieu de soin. Alors que faire ?

Les nouvelles prisons offrent-elles de meilleures conditions de détention ?

Des prisons neuves, surchargées et déshumanisantes 

Des usines carcérales éloignées des centres urbains 

Les prisons modernes, théâtre de violences carcérales  

Renforcement des inégalités : 

http://www.senat.fr/rap/l99-449/l99-44927.html

Le site au service des citoyens: Clic sur ce lien : 

http://www.senat.fr/rap/r09-434/r09-4342.html

Les conditions de détention dans les établissements pénitentiaires en France : 

http://www.senat.fr/rap/l99-449/l99-44918.html

Les souvenirs de l'homme Kyarizov sur Ovadan Depe sont repris par des rapports plus récents de groupes tels que Human Rights Watch, Amnesty International et Crude Accountability sur les conditions qui y règnent. 

http://www.rferl.org/a/turkmenistan-tortured-by-hunger-prison-kyarizov/27408793.html

La prison d' Ovadan Depe , située à environ 50 kilomètres au nord-ouest d'Achgabat la capitale du pays, au Turkménistan à proximité de la frontière iranienne , n'est pas seulement destinée à héberger des détenus, mais a été conçue spécifiquement pour éroder définitivement le bien-être physique et mental des prisonniers politiques qu'elle contient. Jusqu'à présent, on sait peu de choses sur cette prison comme non ...

Le petit déjeuner, le déjeuner et le dîner étaient une fine tranche de pain et une petite portion de bouillie de millet liquide sans viande, huile ou graisse, mais, comme le pain, avec beaucoup de sable et de petites pierres.

Au déjeuner, chaque détenu a également reçu un bol en plastique de «soupe» - de l'eau bouillie, parfois avec quelques bouts d'oignon ou de pommes de terre.

Une tasse de thé tiède et faible était autorisée le matin, et remplacée au déjeuner et au dîner par les feuilles bouillies de la plante de camélorine.

Selon l'homme Kyarizov, la nourriture donnée aux détenus était faite avec les restes des repas préparés pour les gardes armés, jeunes conscrits turkmènes.

"En seulement cinq mois, j'ai perdu près de 40 kilos (88 livres), je pesais 96 kilos (212 livres) quand ils m'ont emmené à Ovadan Depe, et mon poids était de 59 kilos (130 livres) quand j'ai été libéré", a déclaré Kyarizov. "C'est juste dans cinq mois - imaginez ce qui arrive à ceux qui passent des années là-bas."

Aux États-Unis, les cellules de la prison mesurent habituellement environ 6 pieds sur 8 pieds avec des murs en acier ou en briques et une porte pleine ou barrée qui se verrouille de l'extérieur. Beaucoup de cellules de prison modernes sont préfabriquées .  Les portes pleines peuvent avoir une fenêtre qui permet au prisonnier d'être observé de l'extérieur.

L'ameublement et les accessoires à l'intérieur de la cellule sont construits de sorte qu'ils ne peuvent pas être facilement cassés et sont ancrés aux murs ou au plancher. Des lavabos et des commodes en acier inoxydable sont également utilisés. Cela empêche le vandalisme ou la fabrication d'armes.

Il y a un certain nombre de configurations de cellules de prison et de prison, depuis les simples cellules de détention des postes de police jusqu'aux blocs de cellules massives dans les grands établissements correctionnels. La pratique consistant à n'attribuer qu'un seul détenu à chaque cellule  d'une prison s'appelle unicellulaire .

Dans de nombreux pays, les cellules sont sales et ont très peu d'installations.  D'autres pays peuvent héberger de nombreux délinquants dans les prisons, rendant les cellules bondées. 

Cellule de haute sécurité 

Souvent, des normes différentes pour les cellules existent dans un seul pays et même dans une seule prison. Certaines de ces cellules sont réservées à «l'isolement», où un condamné est maintenu seul dans une cellule comme méthode de punition. Certaines cellules d'isolement ne contiennent aucune fourniture et aucun service du tout. 

Top 10 des plus longues peines de prison 

Construite pour punir le criminel et protéger la société, la prison est paradoxalement considérée comme l'école du crime en prison est parfois pour le détenu l'occasion d'étoffer son "carnet d'adresses", de perfectionner ses techniques de vol, d'entretenir sa violence avec celle des autres détenus et de l'institution carcérale, de faire un brainstorming d'idées de méfaits divers et variés

Mais si c'est le psychologue qui se met "à l'école du crime"... que peut-il en apprendre ? 

http://www.topito.com/top-peines-prison-plus-longues-highlander

22 janvier 2018  Pénitencier - Privé de sa Liberté Conditions de vie excécrables en prison: Hygiène déplorable, moyens de subsistance artisanaux… On voit ici combien l’hypocrisie est grande en ce qui concerne les droits des détenus. Ces derniers ont le droit d’acheter de la nourriture mais n’ont pas le droit de cuisiner. En revanche, l’administration pénitentiaire tolère les « chauffes à huile », sorte de système de combustion lente fabriqué en trempant une serpillière dans l’huile. Que penser alors des conditions de sécurité en prison ? Faut-il attendre un énorme incendie pour que les dirigeants s’inquiètent de la situation ? Vidéo à voir sur www.youtube.com : prison Fleury-Mérogis dans la banlieue sud de Paris

Surpopulation et insalubrité dans les prisons de France : paroles d'un ancien détenu

http://www.france24.com/fr/20180116-prisons-detenus-insalubrite-surpopulation-croissantes-surveillants-oip-temoignage