Publié à 12:01 par plumemetissa
Le Sahara
La douceur de ton sable fin
La chaleur de ton sol mouvant
Tourbillonne et déborde
Foulant la poudre d'or
Qui sable le chemin
La lumière aveuglante fait briller
Les alentours d'un éclat minéral
Même les palmiers brillent
Et entends tu ?
Crisser en se balançant sous le vent
l'air brulant, lourd, étouffant
le vent joue avec ma chevelure
Le rayon soleil caresse mon visage
Je sens le sable chaud sous mes pieds
Je ferme les yeux, tout en marchant
Le reflet de chaque grain de poussière
Se former et grandisse en couleur
Pour se transformer en vaste miroir
Dans le ciel d'un magnifique
Tapis de sable mêlé d'ocre jaune
qui s'envole pour la liberté
L'Afrique
DOUCE VITTA
Publié à 12:01 par plumemetissa
Je t’ai @ime
Un fruit sucré
Je t’@ime
Sucrée glacée
Gourmandise d’un baiser de toi
Je t’@ime
De ma passion
Je t’@ime
De notre amour
Je t’@ime
Gâteau d’amour
Je t’@ime
Embrassées
de ses lèvres doux
Je t’@ime
Parfum sucrée
L’alphabet des lèvres
Je t’@ime
Dans toute les langues
Je t’@ime
Cœur sucrèe
Je t’@ime à l’infini
Dans le creux de l’oreille
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Douce Vitta
Publié à 12:01 par plumemetissa
Enfant du soleil
Un regard bleu tendresse
Comme un ciel qui s’éveille
Ou brun comme la terre
Cet arc-en –ciel éclaire ton cœur
Tu es la flamme de mon cœur
Ta peau est jaune comme le soleil
Ton cœur est un soleil qui nous éclaire
Enfant du soleil
Mes mots jouent de la ronde
La terre des mots
Où ton nom aux lettres rondes
Je te broderais à la soie arc- en- ciel
La lueur de tes yeux est
Comme des rayons du soleil
Le sable chaud tapisse ta peau colorée
A des frissons de joie aux baisers du soleil
Des mots au coucher du soleil
Une voix qui m’envoute
Que mon cœur qui écoute
À la joie enfantine
Des mots au coucher du soleil
Le soleil à l’orient se couche
Ô soleil riant de l’orient
Douce vitta
Publié à 12:01 par plumemetissa

Piano bleu
De la plume au piano
Je vous emmène loin de tout
Venez l'amour est devant nous
De tes doigts blancs sur un piano noir
Mon souffle frôle tes mots et tes mains
Les notes frôlent le piano comme souffle sur le dos
Je voudrais être mélodie pour vivre au cœur de ton esprit
Pour conquérir son cœur, avec mon sourire d'angélique
Du bout mes lèvres
On se laisse bercer par un baiser de miel
La douceur de ta peau, de tes mains sur mon corps
Les corps s'entrevoient, les corps se dévoilent,
Dansent à corps
Je te caresse doucement au rythme lent du piano
Du fond de la salle cette mélodie
Si calme, si douce dans mes pensées
Croquer d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Attends laisse-moi te regarder mais, tu pleures
Je ne peux pas te dire l'effet qu'tu me fais
Laisse-moi quand même te dire ma chanson
Je vais réchauffer ton cœur, mon piano t'est dédié
Juste "un rayon" sur mon piano
Pour te dire je t'aime
Et aux publics bleus
Un petit mot pour vous dire
La vie est belle quand on la partage avec les autres
Le bonheur est fait de rien qui font plaisir à tous moment
J'offre cette note de piano pour vous dire que je vous aime
DOUCE VITTA
Publié à 12:01 par plumemetissa
Dans le langage des fleurs
J’ai rencontre une fleur rose
Saluent en soleil les yeux blancs
Comme le soleil, chaud, ardent
Donne sa lumière à une fleur
Et sur une bruyère en fleur
Notre abeille a donné son cœur ...
Écoutant le bourdon
A ces mots s'émerveille ...
Tandis que chantaient les grillons, ...
D'un trait de diamant l'abeille.
A fêlé la rêverie dans la ruche, ......
Qu'emplit la rêverie immense de la lune
O lune !
Accueillez-vous dans vos pâles jardins
La douce pluie fécondante et qu'apparaissait la rosée,
Au vallon de ses seins, ...
Les tigres clairs, auprès des fleurs simples et douces, ...
Le croissant fin et clair parmi ces fleurs de l'ombre .....
Une des fleurs les plus rares du jardin de la poésie ! ...
DOUCE VITTA
Publié à 12:01 par plumemetissa
Les larmes du monde
Mon cœur bat
Je crie au monde entier
La fièvre à la bouche
Dans le désespoir
Le crie roule
Quand le monde s’écroule
La mémoire roule des crêtes
Dans la terre en fièvre
J’ai fait tourner le monde sur moi-même
Dans la gorgée du ciel
Sans freins au pied des lettres
Le monde est le théâtre du combat
Du bien et du mal
La musique roule
Qui s’enroule et qui déroule
J’ai hurlé avec les loups
Aux feux de tes volcans
Aux portes des enfers
Dans un rythme endiablé
DOUCE VITTA
Publié à 12:01 par plumemetissa
Laisse-moi te dire des mots
Souffle des mots
Qui glissent de la poésie
Les mots qui sommeillent
Puis se réveillent
Du sommeil de la raison
S’étirent en soupirant
A belles lettres
Tourne, tourne
Dans mes mains
Le silence tourne la clef
Entre le passé et le présent
La voix dans l’onde
L’ombre des mots écrits
À mi-chemin
Le poète est passé
Les mots se sont enfuie
À l’encre bleue
Dans les nuages sans raison
De tes nuits papier glacés
Douce VITTA
Publié à 12:01 par plumemetissa
Je t’offre tes mots
L’ombre sonne
Traverse
Nos froides saisons
Je m’en vais
Sur la pointe des pieds
Le temps s’éclipse
Instant béni
Qui se dilate à l’infini
Les nuits longues
Froides passées sans toi
Me glacent le sang
Qui coulent dans mes veines
Comme une chanson
Qui tourne en boucle
Dans ma tête
Je me coucherais
À côté de ces mots phrasés
Ton regard brûle en moi
Ces murmures
De mots bleus chantent
Tous ronds
Jet’@ime
Douce Vitta
Publié à 12:01 par plumemetissa
La danse du cygne
Je t’en supplie,
Donne-moi une plume
De ton aile sur le sol
Je danse ton nom
Je chante les yeux clos
Lâ ilâha illâ Allah
Sur la terre que j’aime
Entre amour et raison
Je prie pour toi
Sans mon voile
Je suis fleur sans pétales
Ou se coule le corps
Dans le lagon de la tête
Mon corps dessine
L’arabesque
Les mains jointes
Je me tourne vers toi
De ta sagesse
Mon visage rayonne
Fais-moi la lumière,
Ô lumière de la lumière
Le soleil à gauche
Et la lune a droite
La douce clarté de la lune
Je suis mot dans la bouche
d’Allâh صلى الله عليه و سلم
douce vitta
Publié à 12:01 par plumemetissa
Le bonheur au bout des doigts
Ma plume glisse sur le papier
Je te recueille sur le bout de mon doigt
Aux rimes j'ouvre mon cœur!
Pour te souffler ces mots
A la page blanche je raconte mes désirs
Un oiseau je ferais mon nid dans ton cœur
Le voilà fleuri en mon cœur J’en fais un nid
Et je te l’offre
L'oiseau demande son nid, Moi je demande ton cœur
Puisque sous ton cœur
Je m’abrite
Est mon seul désir Que ce qui se lit dans ton cœur
Demeure le bonheur
Mes mots perlent puisqu’ils perlent
Au bout de mon doigt quand tu me donnes la main
A côté du bonheur qui m’abrite à son ombre
La tendresse de tes yeux autour de toi
Le Bonheur a marché côte à côte avec moi
“ Quand je crayonne, je rayonne ”
Douce vitta