CREATION POEME
Publié à 12:00 par plumemetissa
C'est quoi une vie d'homme? C'est le combat de l'ombre et de la lumière… C'est une lutte entre l'espoir et le désespoir, entre la lucidité et la ferveur… Je suis du côté de l'espérance, mais d'une espérance conquise, lucide, hors de toute naïveté.
Entretien dans Présence africaine.
Citations de Aimé Césaire
Livres de Aimé Césaire
Publié à 12:00 par plumemetissa
Aucun contact humain, mais des rapports de domination, et de soumission qui transforment ... l'homme indigène en instrument de production.
A mon tour de poser une équation.
Colonisation = Chosification.
Discours sur le Colonialisme (1950)
Citations de Aimé Césaire
Livres de Aimé Césaire
Publié à 12:00 par plumemetissa
Le Cahier d'un retour au pays natal, écrit par Aimé Césaire, a marqué les premiers pas de la lutte antiraciste.
Photo: Reuters
Elsa Pépin, collaboration spéciale
La Presse
En hommage au grand poète martiniquais Aimé Césaire, mort le 17 avril 2008, le Festival international de la littérature (FIL) organise des activités à la mémoire du père fondateur de la négritude, le mouvement pour la défense de la culture noire.
Avant de faire paraître son célèbre Discours sur le colonialisme en 1950, Césaire a pondu un poème en 1939, alors qu'il était étudiant à Paris. Chef-d'oeuvre à la fierté des noirs, le Cahier d'un retour au pays natal a marqué les premiers pas de la lutte antiraciste. Autour de ce «?chant libératoire?», Rodney Saint-Éloi, écrivain d'origine haïtienne et directeur de la maison d'édition montréalaise Mémoire d'encrier, a conçu un Cabaret Césaire.
Pour Rodney Saint-Éloi, Césaire est un père universel, «?l'aîné capital, le nègre fondamental, le père de ceux qui n'ont pas de père, pas de voix?», lance-t-il. Le poète autant que l'homme politique (Césaire a été maire de Fort-de-France durant près de 50 ans) a insufflé à tous les opprimés un vent de liberté et de rébellion.
«?Chez Césaire, l'individuel rejoint le collectif. Dans cette mise en lecture, on veut montrer le Césaire rebelle qui remet tout en question. C'est une histoire de nègres qui n'est pas inclusive, qui concerne le monde?», précise Rodney Saint-Éloi.
«?Il y a un effet miroir?: tout le monde se regarde dans ce petit homme pauvre, ce petit Noir qui va devenir le grand Césaire, qui va rencontrer tous les «?prophètes noirs?» à Paris et fonder L'Étudiant noir avec Senghor.?»
Les anciennes colonies se sont particulièrement reconnues dans le miroir tendu par Césaire. «?Il rejoint Haïti et le Québec, car ces deux terres luttent contre l'aliénation?», précise Rodney Saint-Éloi. «?Au Québec, les poètes comme Chamberland et Miron ont revendiqué l'oeuvre de Césaire, parce qu'il casse le langage du pouvoir, des dominants. Ici, on se considère souvent comme des nègres d'Amérique et on se retrouve dans le combat pour la désaliénation de l'homme.?»
C'est donc sous la forme d'un hommage du Québec et d'Haïti à Césaire que Rodney Saint-Éloi réunit sur scène quatre comédiens qui liront des extraits du Cahier d'un retour au pays natal, ce «?legs à l'humanité.?» «?Chaque peuple a besoin d'une oeuvre à laquelle s'identifier?», affirme le directeur artistique.
«?Pour les Martiniquais, c'est le Cahier, comme L'Homme rapaillé de Miron l'est pour le Québec.?» Or chacun peut se retrouver dans la révolte de Césaire, le cri inspiré d'un homme en quête de liberté.
Une fidèle héritière
Le FIL invite également Christiane Yandé Diop, qui fut au coeur de la vie littéraire de Césaire depuis ses débuts. Âgée de plus de 70 ans, elle dirige aujourd'hui les éditions Présence africaine depuis la mort de son mari, Alioune Diop. Fondée en 1947, la revue parisienne deviendra une maison d'édition et contribuera à la diffusion de la culture africaine et des oeuvres de Césaire.
«?Alioune Diop a été le moteur de Présence africaine, avec ses compagnons, Césaire et Senghor, mais aussi avec des personnalités françaises comme Sartre, Camus et Gide?», raconte Mme Diop, rejointe au téléphone à Paris.
Née dans le Paris d'après-guerre, alors que «?les Africains, Antillais et Asiatiques se sentaient mis à l'écart et voulaient se regrouper pour parler de leur identité?», Présence africaine génèrera notamment deux congrès mondiaux des écrivains et artistes noirs (Paris-1956 et Rome-1958), raconte Mme Diop. «?On peut dire qu'Alioune Diop a été l'administrateur du mouvement de la négritude lancé par Césaire. Il a su réunir des hommes de toutes croyances. Il a été en quelque sorte un fédérateur.?»
Mme Diop porte donc le précieux héritage de cette aventure intellectuelle et militante. «?Après le décès de mon mari, ça a été difficile, mais on a tenu bon, grâce à des amitiés. Césaire nous est resté fidèle jusqu'à sa mort.?»
Selon elle, le principal héritage légué par Césaire est d'avoir fait comprendre l'importance de la culture pour l'émancipation des peuples. «?On a peur de la culture, parce qu'elle éveille les consciences, mais sans elle, je crois que l'Afrique avancera difficilement.?»
Publié à 12:00 par plumemetissa
Culture - Caraïbes - France - International - Pan Afrique - Littérature
Césaire : les Africains saluent un « prophète pour le monde noir »
Premières réactions africaines à la mort du poète
Hommes de lettres et politiques africains sont unanimes. L’héritage d’Aimé Césaire est « énorme », sont décès laisse « un grand vide » tant il a contribué à « la prise de conscience par l’Homme noir de sa condition et aussi de la prise de conscience par le reste du monde de la condition de l’Homme noir ».
--------------------------------------------------------------------------------
vendredi 18 avril 2008, par Falila Gbadamassi
--------------------------------------------------------------------------------
« Ce qu’on retiendra, c’est le chant de la négritude et la lutte contre le colonialisme ». Ces mots du président sénégalais, Abdoulaye Wade, résument le sentiment des Africains qui ont commencé à rendre hommage au chantre de la négritude Aimé Césaire décédé, jeudi matin, dans sa 95e année en Martinique. « C’était un homme d’une dimension mondiale, note Cheikh Hamidou Kane, auteur de L’Aventure ambiguë. « Un Noir qui a acquis une stature mondiale du fait de la prise de conscience par l’Homme noir de sa condition et aussi de la prise de conscience par le reste du monde de la condition de l’Homme noir. (Aimé Césaire) a éveillé à cette conscience de l’identité noire non seulement les Noirs de la diaspora mais, nous, les Noirs d’Afrique ». « Il était vraiment très Sénégalais, très Africain, ajouté l’écrivain. C’était admirable car au moment où il a vécu les Antillais, que les Africains connaissaient, étaient considérés un peu comme des auxiliaires du colonisateur, comme des Français à peau noire ».
« C’est énorme ce qu’(Aimé Césaire) nous a laissé »
Les Sénégalais rendent un vibrant hommage au "compagnon d’armes" de Léopold Sédar Senghor. Hamidou Dia, écrivain et ami du poète martiniquais, qui l’a qualifié de « nègre fondamental » souligne que « c’est avec un de nos compatriotes (Léopold Sédar Senghor) qu’il a fondé le mouvement de la Négritude, (…) un mot qui a été inventé par (Aimé Césaire) ». Abdou Diouf, un autre Sénégalais, le successeur de l’enfant de Joal au poste de secrétaire général de la Francophonie, « salue la mémoire d’un homme qui a consacré sa vie aux multiples combats menés sur tous les champs de bataille où se jouait le destin culturel et politique de ses frères de race, un combat noble car exempt de cette haine qu’il avait en horreur ». Pour lui, le poète « a su prendre les dimensions de l’univers, tout en restant profondément attaché aux valeurs culturelles du monde noir ». Enfin, a-t-il indiqué dans un communiqué, un homme « qui a vécu sa francophonie dans l’abondance de ses œuvres qui font chanter la langue que nous avons en partagé ».
C’est à aussi à son héritage que fait allusion le Béninois Albert Tévoédjrè. « C’est énorme ce qu’(Aimé Césaire) nous a laissé ». L’économiste et homme de lettres, 78 ans, se souvient encore des mots du poète martiniquais lors du Congrès de Paris : "le Nègre doit se lever, crier, être debout"’. L’ancien dirigeant de la Fédération des étudiants d’Afrique Noire en France et co-fondateur du Mouvement africain de libération nationale, s’est dit « très troublé par cette disparition qui va laisser en Afrique et dans le monde noir un très très grand vide », sur les ondes de Radio France internationale (RFI). Le président ivoirien Laurent Gbagbo n’en pense pas moins. « Pour l’Afrique, a-t-il déclaré dans un communiqué publié à Abidjan, le monde noir, la francophonie et notre humanité, un phare vient de s’éteindre ».
« Une sorte de prophète pour le monde noir »
Jean-Claude Gakosso, le ministre congolais de la Culture et des Arts, a affirmé pour sa part que « c’est un baobab qui vient de tomber ». Selon lui, Aimé Césaire aura « profondément marqué la jeunesse africaine », un exemple à suivre pour elle. « Césaire était une sorte de prophète pour le monde noir », a-t-il poursuivi. Et Cheikh Amidou Kane de regretter que cet homme exceptionnel « n’ait pas été honoré, consacré, salué comme il le méritait au plan international » par un « un prix Nobel, de la paix ou de la littérature », « comme l’a été Léopold Sedar Senghor, par l’Académie française ». Les obsèques nationales d’Aimé Césaire se dérouleront dimanche en Martinique, à Fort-de-France, en présence du président français Nicolas Sarkozy qu’il avait refusé de recevoir en 2005. Fidèle à lui même, Aimé Césaire avait ainsi exprimé son opposition à la loi sur le rôle positif de la colonisation votée par la droite française.
Publié à 12:00 par plumemetissa
Aimé Césaire est né en Martinique en 1913. Il obtient en 1931 une bourse qui lui permet de suivre des études supérieures à Paris. En 1934, il fonde la revue l'Etudiant noir avec Senghor, Damas, Sainville et Maugée, puis entre à l'Ecole Normale Supérieure. En 1936 il commence à écrire et en 1939 retourne en Martinique où il enseigne au lycée de Fort de France. En 1941, il fonde la revue Tropiques. A partir de 1945, date de son élection à la mairie de Fort de France puis à la députation, il mène une double carrière : homme politique et écrivain.
Bibliographie :
Cahier d'un retour au pays natal (poésie), in revue Volontés, Paris 1939 édité en 1947 par les éditions Bordas avec une préface d'André Breton écrite en 1943 les rééditions, depuis 1956, le furent par les éditions Présence Africaine.
Les Armes miraculeuses (poésie), Ed. Gallimard, Paris 1946 réédité en 1970 dans la collection de poche "Poésie" plusieurs poèmes avaient paru dans la revue Tropiques entre 1941 et 1944.
Soleil cou coupé (poésie), Ed. K., Paris 1948.
Corps perdu (poésie, illustrations de Picasso), Ed. Fragrance, Paris 1949.
Discours sur le colonialisme (essai), Ed. Réclame, Paris 1950 réédité par Présence Africaine en 1955, l'édition de 1973 est déjà la sixième.
Et les chiens se taisaient (théâtre), Ed. Présence Africaine, Paris 195 réédité en 1962 paru dès 1946 dans Les Armes miraculeuses, sous forme de poème.
Lettre à Maurice Thorez (essai), Ed. Présence Africaine, Paris 1956.
Ferrements (poésie), Ed. du Seuil, Paris 1960.
Toussaint Louverture (essai), Club Français du Livre, Paris 1960 réédité par Présence Africaine en 1962.
Cadastre (poésie), Ed. du Seuil, Paris 1961 version définitive et "résumée" des précédents Soleil cou coupé et Corps perdu.
La Tragédie du Roi Christophe (théâtre), Ed. Présence Africaine, Paris 1963 édition de poche en 1970.
Une saison au Congo (théâtre), Ed. du Seuil, Paris 1965 édition remaniée en 1967 édition du texte définitif : 1973.
Une tempête (théâtre), Ed. du Seuil, Paris 1969 avait paru en 1968, dans le n° 67 de la revue Présence Africaine.
Moi, laminaire (poésie), Ed. du Seuil, Paris 1982.
Publié à 12:00 par plumemetissa
Je retrouverais le secret des grandes communications et des grandes combustions. Je dirais orage. Je
dirais fleuve. Je dirais tornade. Je dirais feuille. Je dirais arbre. Je serais mouillé de toutes les pluies,
humecté de toutes les rosées. Je roulerais comme du sang frénétique sur le courant lent de l'oeil des mots
en chevaux fous en enfants frais en caillots en couvre-feu en vestiges de temple en pierres précieuses assez loin pour décourager les mineurs. Qui ne me comprendrait pas ne comprendrait pas davantage le rugissement du tigre.
Et vous fantômes montez bleus de chimie d'une forêt de bêtes traquées de machines tordues d'un jujubier de chairs pourries d'un panier d'huîtres d'yeux d'un lacis de lanières découpées dans le beau sisal d'une peau d'homme j'aurais des mots assez vastes pour vous contenir
et toi terre tendue terre saoule
terre grand sexe levé vers le soleil
terre grand délire de la mentule de Dieu
terre sauvage montée des resserres de la mer avec
dans la bouche une touffe de cécropies
terre dont je ne puis comparer la face houleuse qu'à
la forêt vierge et folle que je souhaiterais pouvoir en
guise de visage montrer aux yeux indéchiffreurs des
hommes
Publié à 12:00 par plumemetissa
Soirée Aimée Césaire, le 25 avril 2008
La poésie francophone des Antilles a fait démonstration au XXème d'une étonnante vitalité, Aimé Césaire (1913-2008), homme de lettres en même temps qu'homme engagé dans tous les combats politiques de cette région (il est Maire de Fort-de-France) en est un exemple marquant. André Breton, qui découvrit le Cahiers du Retour au Pays Natal dès 1941, dans le premier numéro de la revue Tropiques, ne s'y est pas trompé et l'a aussitôt salué comme un frère surréaliste et comme l'un des plus grands poètes de son époque. Sa poésie, qui est une poésie "engagée" n'a pourtant rien à voir avec un discours politique, et dépasse largement le seul combat des antillais pour retrouver leur souveraineté dans leur propre pays, pour devenir un appel universel à la dignité humaine, à l'éveil et à la responsabilité. Il ne s'agit pas ici de doctrine mais de pure poésie, une poésie exigeante, déconcertante, qui captive par l'originalité de ses images, et en même temps jamais gratuite, pleine de sens, urgente. Initiateur avec Senghor de la Négritude, mouvement qui fit beaucoup pour redonner au peuple noir la fierté de ses racines africaines, il émaille ses poèmes, écrits dans la langue française la plus pure, d'expressions spécifiques à l'imaginaire des Iles où resurgissent des bribes de la culture africaine, sans jamais tomber dans le pittoresque ou le régionalisme. De Césaire à Depestre en passant par Guy Tirolien et Paul Niger, cette partie du monde a considérablement enrichi la poésie francophone de la deuxième partie du XXème siècle. Piers Tenniel.
Publié à 12:00 par plumemetissa
Il me suffirait d'une gorgée de ton lait jiculi pour qu'en toi je découvre toujours à même distance de mirage - mille fois plus natale et dorée d'un soleil que n'entame nul prisme - la terre où tout est libre et fraternel, ma terre.
Partir. Mon coeur bruissait de générosités emphatiques. Partir... j'arriverais lisse et jeune dans ce pays mien et je dirais à ce pays dont le limon entre dans la composition de ma chair : « J'ai longtemps erré et je reviens vers la hideur désertée de vos plaies ».
Je viendrais à ce pays mien et je lui dirais : Embrassez-moi sans crainte... Et si je ne sais que parler, c'est pour vous que je parlerai».
Et je lui dirais encore :
« Ma bouche sera la bouche des malheurs qui n'ont point de bouche, ma voix, la liberté de celles qui s'affaissent au cachot du désespoir. »
Et venant je me dirais à moi-même :
« Et surtout mon corps aussi bien que mon âme, gardez-vous de vous croiser les bras en l'attitude stérile du spectateur, car la vie n'est pas un spectacle,car une mer de douleurs n'est pas un proscenium, car un homme qui crie n'est pas un ours qui danse... »
Publié à 12:00 par plumemetissa
Je retrouverais le secret des grandes communications et des grandes combustions. Je dirais orage. Je
dirais fleuve. Je dirais tornade. Je dirais feuille. Je dirais arbre. Je serais mouillé de toutes les pluies,
humecté de toutes les rosées. Je roulerais comme du sang frénétique sur le courant lent de l'oeil des mots
en chevaux fous en enfants frais en caillots en couvre-feu en vestiges de temple en pierres précieuses assez loin pour décourager les mineurs. Qui ne me comprendrait pas ne comprendrait pas davantage le rugissement du tigre.
Et vous fantômes montez bleus de chimie d'une forêt de bêtes traquées de machines tordues d'un jujubier de chairs pourries d'un panier d'huîtres d'yeux d'un lacis de lanières découpées dans le beau sisal d'une peau d'homme j'aurais des mots assez vastes pour vous contenir
et toi terre tendue terre saoule
terre grand sexe levé vers le soleil
terre grand délire de la mentule de Dieu
terre sauvage montée des resserres de la mer avec
dans la bouche une touffe de cécropies
terre dont je ne puis comparer la face houleuse qu'à
la forêt vierge et folle que je souhaiterais pouvoir en
guise de visage montrer aux yeux indéchiffreurs des
hommes
Publié à 12:00 par plumemetissa
Les enfants martyrisent de M’ Boui .....
Ma plume voyage à vole d’oiseau
Depuis le plus haut des nuages : ...
Planète d’Afrique regarde-moi !
Dans un village africain, ...
J’ai vu, levée dès l’aurore
J’ai pris mon visage dans mes mains
Entre mes pieds sur la terre rouge
Le puit ; à connaitre la soif ....
La main droite de l'Amour
Qui font battre le Tam Tam du cœur
J’ai appelé DIEU contre la violence
Je plongerai ma tête voyages en écriture et paroles .....
Comment on peut apprendre Lumière sans lumière ou l’Islam
Écrit écritoire écritoire écrits écrit écriture écritur écritures écriture ...
Le Coran et la Sounnah
L’école du banc,
Ses études primaires dans l’école
Les enfants à apprendre l’arabe
L’écriture moderne arabe,
Coran coran coranique
L’épreuve du fouet au point si violente,
Claquer son fouet et ajouta d'une voix forte ......
Coups de fouet à la voix du sang !
Que la cheville du pied se déboîta. .....
Se mit le corps en sang à coups de fouet,
De la main invisible à la main armée
Battu battu battue battre .....
Du droit du corps et de l’esprit dans l’Islam, ......
Stop ! à la violence …
À l'école des droits des enfants ...
La main droite de la tendresse
Cœur de croyance