bouillote-penis

chausure

- Vous savez ce que c'est un concours hippy ? C'est une course de cheveux.

La plus grosse légende urbaine de l'univers.
Tout le monde pense, à un moment ou à un autre de sa vie, avoir eu des couilles
au cul... Lisez plutôt ce qui va suivre pour avoir une idée vraisemblable de ce
qu'est le vrai culot.
Ce qui va suivre est une histoire vraie, arrivée à un mariage en Alsace, près de
Colmar. Un de mes amis connaît un type qui figurait parmi les invités.
C'était un énorme mariage. La messe de mariage avait eu lieu dans la cathédrale
St Martin. Pour la réception qui suivait, Il devait y avoir quelque chose comme
300 invités.
Dès le début de la réception, le marié est monté sur la scène réservée à
l'orchestre qui devait animer le mariage, et s'est emparé du micro et a dit:
- Je tiens à remercier tout le monde d'être venu, surtout ceux qui ont fait une
longue route pour venir jusqu'ici. Je voudrais aussi remercier tout spécialement
la famille de mon épouse pour s'être déplacé en masse.
Et pour vous témoigner ma gratitude d'être venu à ce mariage et d'avoir offert
tant de cadeaux, j'ai tenu à vous faire moi aussi un cadeau: Vous pourrez tous
trouver, collée sous votre chaise, une enveloppe. Cette enveloppe est pour vous,
ouvrez la!
À l'intérieur de l'enveloppe, chacun a alors pu voir une photo de la mariée et
du témoin du marié en pleine partie de jambes-en-l'air.
Personne ne sait comment cette photo avait pu être prise, mais toujours est-il
que dès que tout le monde eut pris connaissance de son cadeau, le marié alla
voir ses beaux-parents pour leur dire qu'il ferait annuler le mariage dès le
lendemain.
Ce gars avait donc décidé, plutôt que de rompre dès le moment où il avait pris
connaissance de l'infidélité de sa future femme de:
- Choisir son amant comme propre témoin pour mieux le détruire plus tard
- Faire payer à ses beaux-parents toute la réception en pure perte
- Déshonorer sa femme et sa belle famille
[Je suis sûr que je vais encore recevoir au moins un mail d'un gars qui va me
dire: 'Non, c'est pas une légende, ça s'est passé à *** en 19**, un pote à moi y
était... :-) ]

- J'ai jamais été grand. J'ai d'abord été petit, puis j'ai tout de suite été gros.

J'aime les pommes de terre mais pour vous convaincre définitivement de leurs qualités, je ne peux mieux faire que de les comparer à une femme !
> J'ai toujours été frappé par l'utilisation fréquente de noms féminins pour en désigner les variétés comme les Charlotte, les Mona Lisa ou les belles de Fontenay et, surtout, les modes de cuisson.
> Mesdames et chères amies, vous n'êtes pas des pommes de terre, et cependant ...
> Que vous soyez en robe de chambre ou en chemise,
> Sans pelure ou drapées de mousseline,
> Vous restez toujours Duchesses ou Dauphines !
> Parfois atteintes de vapeur, mais rarement soufflées,
> Vous gardez la ligne allumette et la taille noisette !
> Vous êtes délicieuses à croquer, tant que vous n'avez pas germé !
> Vous êtes délicieuses à savourer, surtout dorées,
> Mais meilleures encore quand vous êtes sautées !
> Quand de vos maris, j'épluche la conduite,
> Je découvre qu'avec vous, ils ont la frite.
> Ils sortent sans pelure, même s'ils pèlent de froid.
> Pour eux, même si vous n'êtes plus des primeurs,
> Vous demeurez d'éternelles nouvelles !
> Pour vous, ils se laissent arracher les yeux,
> Friper la peau et meurtrir la chair.
> Car comme les pommes de terre,
> Ils ont des yeux, une peau et une chair !
> Sans vous, ils sont dans la purée,
> Sans vous, ils en ont gros sur la patate,
> Alors que, de la société, vous en êtes le gratin !

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