Publié à 12:00 par rene
Ferdinand Cheval (1836-1924)
"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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Ferdinand Cheval (1836-1924)
"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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Ferdinand Cheval (1836-1924)
"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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Ferdinand Cheval (1836-1924)
"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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Ferdinand Cheval (1836-1924)
"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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Ferdinand Cheval (1836-1924)
"Fils de paysan je veux vivre et mourir
pour prouver que dans ma catégorie
il y a aussi des hommes de génie
et d'énergie. Vingt-neuf ans je suis resté
facteur rural. Le travail fait ma gloire
et l'honneur mon seul bonheur;
à présent voici mon étrange histoire.
Où le songe est devenu,
quarante ans après, une réalité."
Ferdinand Cheval, 15 mars 1905
Le Palais Idéal
1879 - 1912
93 000 heures
10 000 journées
33 ans d'épreuves
"Plus opiniâtre que moi se mettre à l'oeuvre"
Travail d'un seul homme
Le rêve d'un paysan
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Deux copains déjeunent ensemble et se racontent leurs dernières nouvelles :
- Figure-toi qu'un cambrioleur a pénétré chez moi à trois heures du matin,
juste avant mon retour à la maison.
- Il a pris quelque chose ?
- Je crois bien ! Le malheureux est à l'hôpital : Ma femme a cru que c'était moi qui rentrais !
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J'ai été toute retournée, raconte une adepte de la vie au grand air à une amie,
quand Antoine m'a embrassée.
- Tu n'avais jamais été embrassée ?
- Si, mais jamais en canoé.
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En Ecosse, un médecin questionne un de ses patients :
- Y-a-t-il des gestes qui vous sont particulièrement douloureux à accomplir ?
- Oui, docteur. Un, surtout.
- Lequel ?
- Tirer mon portefeuille de la poche intérieure de ma veste.