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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour :
31.01.2016
113496 articles
Auteur d'un doublé et d'un match plein dimanche soir face à des Néerlandais battus pour la troisième fois en trois matches (2-1), Cristiano Ronaldo, en souffrance depuis le début de l'Euro, aura été le grand artisan de la qualification pour les quarts de finale, où le capitaine portugais et ses hommes seront opposés à la République Tchèque. Dans l'autre match de ce Groupe B, l'Allemagne a confirmé sa première place en dominant difficilement le Danemark (2-1).
Il ne pouvait en être autrement. Très critiqué depuis le début de la compétition, notamment après ses deux énormes ratés face au Danemark, Cristiano Ronaldo a mis tout le monde d'accord dimanche soir. Il a même tout vu en double à Kharkov. Deux comme le nombre de coupes de cheveux arborées par le capitaine portugais sur l'ensemble de la rencontre, deux comme le nombre de poteaux trouvés, et surtout deux comme le nombre de buts inscrits face aux Pays-Bas (2-1). Un doublé qui propulse les Portugais en quarts de finale face à la République Tchèque, l'Allemagne ayant dominé dans le même temps le Danemark (2-1), et qui renvoie au pays les Néerlandais avec un piteux bilan.
Avec déjà deux défaites au compteur à l'entame de cette rencontre, les Pays-Bas n'avaient, il est vrai, plus franchement le choix. Pour éviter cette élimination prématurée et donc une sévère désillusion, il fallait à tout prix l'emporter, par au moins deux buts d'écart, et compter sur une victoire de l'Allemagne face au Danemark à Lviv. De quoi forcer Bert van Marwijk à jouer son va-tout, et à aligner le duo Van Persie-Huntelaar dès le coup d'envoi tout en se privant de son gendre Van Bommel, face à une équipe portugaise inchangée. Une tactique d'abord payante, et qui voit même, une fois n'est pas coutume, Robben se sacrifier sur l'autel du collectif. Servi par le Munichois à l'entrée de la surface, le capitaine Van der Vaart place une superbe frappe enroulée qui ne laisse aucune chance à Patricio (1-0, 11e).
Nani aussi en grande forme
La fameuse peur de gagner s'emparerait-elle alors des Néerlandais ? Toujours est-il qu'ils reculent de plus en plus, et subissent la pression grandissante de leurs adversaires. Ronaldo trouve d'abord le poteau droit de Stekelenburg à l'issue d'un raid solitaire (15e), avant, à la réception d'un centre de Nani, de placer une tête puissante qui finit sur le portier de l'Ajax (23e). Un dernier avertissement sans frais, avant une égalisation méritée. Très fébrile, Willems rate sa relance et les Portugais ne vont pas manquer de profiter de cette erreur. Pereira reprend le contrôle du cuir avant de délivrer une passe en profondeur parfaite pour son capitaine, qui ne tremble pas pour inscrire, de près et dans l'angle fermé, son premier but de la compétition (1-1, 28e).
Dominateurs, les Lusitaniens, qui tiennent alors une bien fragile qualification, tentent d'enfoncer le clou avant la pause, mais ni Nani, pourtant en grande forme (30e), ni Ronaldo n'y parviennent (33e, 35e). Dès la reprise, Ronaldo et ses partenaires continuent à pousser. Postiga se voit d'abord logiquement refuser un but pour une position de hors-jeu (60e), avant que Coentrao puis Nani ne bute sur Stekelenburg (66e, 72e). La délivrance est proche, et Ronaldo ne va laisser à personne d'autre. Nani, encore à la baguette, déborde avant de centrer à ras de terre pour son ancien partenaire à Manchester United, qui s'offre tranquillement au doublé, non sans avoir encore fait tourner en bourrique Van der Wiel (2-1, 74e). Après un poteau de Van der Vaart (83e), Ronaldo va à son tour toucher du bois (90e), et rater ainsi de peu le triplé. Mais à voir son large sourire au coup de sifflet final, on peut penser qu'il s'en contentera. Pour le moment...
Parce qu’on a porté du pain, du linge blanc,
À quelque humble logis sous les combles tremblant
Comme le nid parmi les feuilles inquiètes ;
Parce qu’on a jeté ses restes et ses miettes
Au petit enfant maigre, au vieillard pâlissant,
Au pauvre qui contient l’éternel tout-puissant ;
Parce qu’on a laissé Dieu manger sous sa table,
On se croit vertueux, on se croit charitable !
On dit : —Je suis parfait ! louez-moi ; me voilà ! -
Et, tout en blâmant Dieu de ceci, de cela,
De ce qu’il pleut, du mal dont on le dit la cause,
Du chaud, du froid, on fait sa propre apothéose.
Le riche qui, gorgé, repu, fier, paresseux,
Laisse un peu d’or rouler de son palais sur ceux
Que le noir janvier glace et que la faim harcèle,
Ce riche-là, qui brille et donne une parcelle
De ce qu’il a de trop, et qui n’a pas assez,
Et qui, pour quelques sous du pauvre ramassés,
S’admire et ferme l’œil sur sa propre misère,
S’il a le superflu, n’a pas le nécessaire :
La justice ; et le loup rit dans l’ombre en marchant
De voir qu’il se croit bon pour n’être pas méchant.
Nous bons ! nous fraternels ! ô fange et pourriture !
Mais tournez donc vos yeux vers la mère nature !
Que sommes-nous, cœurs froids où l’égoïsme bout,
Auprès de la bonté suprême éparse en tout ?
Toutes nos actions ne valent pas la rose.
Dès que nous avons fait par hasard quelque chose,
Nous nous vantons, hélas ! vains souffles qui fuyons !
Dieu donne l’aube au ciel sans compter les rayons,
Et la rosée aux fleurs sans mesurer les gouttes ;
Nous sommes le néant ; nos vertus tiendraient toutes
Dans le creux de la pierre où vient boire l’oiseau.
L’homme est l’orgueil du cèdre emplissant le roseau.
Le meilleur n’est pas bon, vraiment, tant l’homme est frêle ;
Et tant notre fumée à nos vertus se mêle !
Le bienfait par nos mains pompeusement jeté
S’évapore aussitôt dans notre vanité ;
Même en le prodiguant aux pauvres d’un air tendre,
Nous avons tant d’orgueil que notre or devient cendre ;
Le bien que nous faisons est spectre comme nous.
L’Incréé, seul vivant, seul terrible et seul doux,
Qui juge, aime, pardonne, engendre, construit, fonde,
Voit nos hauteurs avec une pitié profonde.
Ah ! rapides passants ! ne comptons pas sur nous,
Comptons sur lui. Pensons et vivons à genoux ;
Tâchons d’être sagesse, humilité, lumière ;
Ne faisons point un pas qui n’aille à la prière ;
Car nos perfections rayonneront bien peu
Après la mort, devant l’étoile et le ciel bleu.
Dieu seul peut nous sauver. C’est un rêve de croire
Que nos lueurs d’en bas sont là-haut de la gloire ;
Si lumineux qu’il ait paru dans notre horreur,
Si doux qu’il ait été pour nos cœurs pleins d’erreur,
Quoi qu’il ait fait, celui que sur la terre on nomme
Juste, excellent, pur, sage et grand, là-haut est l’homme,
C’est-à-dire la nuit en présence du jour ;
Son amour semble haine auprès du grand amour ;
Et toutes ses splendeurs, poussant des cris funèbres,
Disent en voyant Dieu : Nous sommes les ténèbres !
Dieu, c’est le seul azur dont le monde ait besoin.
L’abîme en en parlant prend l’atome à témoin.
Dieu seul est grand ! c’est là le psaume du brin d’herbe ;
Dieu seul est vrai ! c’est là l’hymne du flot superbe ;
Dieu seul est bon ! c’est là le murmure des vents ;
Ah ! ne vous faites pas d’illusions, vivants !
Et d’où sortez-vous donc, pour croire que vous êtes
Meilleurs que Dieu, qui met les astres sur vos têtes,
Et qui vous éblouit, à l’heure du réveil,
De ce prodigieux sourire, le soleil !