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Date de création : 09.08.2009
Dernière mise à jour :
31.01.2016
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Elle était pâle, et pourtant rose,
Petite avec de grands cheveux.
Elle disait souvent : Je n’ose,
Et ne disait jamais : Je veux.
Le soir, elle prenait ma Bible
Pour y faire épeler sa sœur,
Et, comme une lampe paisible,
Elle éclairait ce jeune cœur.
Sur le saint livre que j’admire,
Leurs yeux purs venaient se fixer ;
Livre où l’une apprenait à lire,
Où l’autre apprenait à penser !
Sur l’enfant, qui n’eût pas lu seule,
Elle penchait son front charmant,
Et l’on aurait dit une aïeule
Tant elle parlait doucement !
Elle lui disait : —Sois bien sage ! -
Sans jamais nommer le démon ;
Leurs mains erraient de page en page
Sur Moïse et sur Salomon,
Sur Cyrus qui vint de la Perse,
Sur Moloch et Leviathan,
Sur l’enfer que Jésus traverse,
Sur l’éden où rampe Satan !
Moi, j’écoutais… — O joie immense
De voir la sœur près de la sœur !
Mes yeux s’enivraient en silence
De cette ineffable douceur.
Et dans la chambre humble et déserte
Où nous sentions, cachés tous trois,
Entrer par la fenêtre ouverte
Les souffles des nuits et des bois,
Tandis que, dans le texte auguste,
Leurs cœurs, lisant avec ferveur,
Puisaient le beau, le vrai, le juste,
Il me semblait, à moi, rêveur,
Entendre chanter des louanges
Autour de nous, comme au saint lieu,
Et voir sous les doigts de ces anges
Tressaillir le livre de Dieu !
L'Allemagne n'est pas du genre à faire des cadeaux. Et surtout pas à la Grèce ! Sur fond de conflit politique et économique, la Mannschaft a achevé sportivement la sélection hellène, ce vendredi, en quart de finale de l'Euro 2012. Les hommes de Joachim Löw, emmenés pour un soir par le vétéran Klose, se sont imposés 4-2 face à de courageux Grecs. La série continue pour les Lahm et consorts.
Fernando Santos avait promis que sa sélection jouerait le jeu. Lui, le Portugais qui la veille avait vu son pays prendre le meilleur sur une République tchèque campée sur ses arrières et trop attentiste pour prétendre au dernier carré, ne voulait pas tomber dans le cliché du challenger inoffensif et sans ambition. Chose promise, chose due, la Grèce peut se targuer d'avoir donné du fil à retordre à la surpuissante Allemagne, ce vendredi, en quart de finale de l'Euro 2012. Dans le scénario plus que dans les faits, la Mannschaft ayant tout de même copieusement dominé les débats avant de s'imposer largement.
Témoignage de la puissance de feu du groupe de Joachim Löw, ce dernier avait pour l'occasion laissé sur le banc les Gomez, Müller et Podolski au coup d'envoi. Places étaient ainsi faites aux jeunes Schürrle et Reus autour du vétéran Klose. Un trident qui aura mis du temps à trouver ses marques, avant de donner la pleine mesure de son talent. Longtemps stérile en effet, l'Allemagne aura dû s'en remettre en première période à son capitaine et latéral gauche Lahm pour ouvrir les hostilités. D'un coup de canon qui n'était pas sans rappeler son but contre le Costa Rica en ouverture du Mondial 2006, le défenseur bavarois trouvait la faille (1-0, 40e). Le plus dur, croyait-on, était fait pour la sélection germanique.
Pourtant dans le deuxième acte, loin de sombrer, la Grèce s'accrochait. Avec ses armes, son abnégation. Salpingidis s'échappait sur le flanc droit, dans le dos de Lahm, et servait Samaras dans la surface pour l'improbable égalisation (1-1, 55e). Las pour les troupes de Fernando Santos, les Allemands ne prenaient pas le temps de douter. Sous les yeux d'une Angela Merkel plus enthousiaste que jamais, Khedira avait tôt fait de reprendre de volée un centre de Boateng pour rendre l'ascendant à la Mannschaft, six minutes seulement après la réalisation hellénique (2-1, 61e).
S'ensuivait un véritable récital offensif, insufflé par un Klose qui à la retombée d'un corner d'Özil inscrivait de la tête son 64e but en 130 sélections pour revenir à quatre longueurs du bombardier Gerd Müller (3-1, 68e). Dans la foulée, alors que l'attaquant de la Lazio manquait le doublé en butant sur Sifakis, Reus, opportuniste, voyait tous ses efforts récompensés d'une reprise victorieuse (4-1, 74e). Le penalty accordé aux Grecs en toute fin de match pour une main de Boateng dans la surface, bien que transformé par Salpingidis (4-1, 88e), était anecdotique. Eliminatoires compris, l'Allemagne signait là son 14e succès en autant de matches dans le cadre de l'Euro 2012. Avec à la clef une quatrième qualification consécutive pour les demi-finales d'un grand rendez-vous international - série débutée au pays lors de la Coupe du monde 2006.
S'il a encore touché à deux reprises du bois, pour un total de quatre tentatives repoussées par les montants depuis le début de la compétition, Cristiano Ronaldo n'a pas baissé les bras, surgissant en fin de match pour offrir la victoire au Portugal jeudi contre la République tchèque (1-0). Un but de la tête qui propulse la formation lusitanienne dans le dernier carré de l'Euro 2012 où elle affrontera l'Espagne ou... la France.
Karel Poborsky n'était pas là pour crucifier le Portugal. Bourreau magnifique, d'une louche restée dans les annales, de la première génération dorée lusitanienne, celle des Sa Pinto, Luis Figo, Rui Costa ou autre Jao Pinto, à ce même stade de la compétition en 1996 en Angleterre, le milieu de terrain tchèque, passé par... Benfica, attend encore son héritier. Ses compatriotes ont eu beau réussir un match plein de sérieux, peut-être même trop en seconde période, le génie était, jeudi à Varsovie, dans les rangs du Portugal. Un Cristiano Ronaldo aussi agaçant que déroutant pour ses adversaires, à qui on ne peut enlever sa détermination à toujours aller de l'avant, même quand la chance le fuit, une rage récompensée par le but de la victoire contre la République tchèque (1-0) qui envoie son pays dans le dernier carré de cet Euro 2012.
Discret face à l'Allemagne, passé à côté contre le Danemark, pas toujours récompensé à sa juste valeur contre les Pays-Bas, l'attaquant du Real Madrid a vécu un match à l'image de son Euro, montant progressivement en régime face aux Tchèques pour venir les crucifier à 11 minutes de la fin du temps réglementaire. Un coup de boule salvateur et libérateur pour le Ballon d'Or 2008, critiqué à son arrivée en Pologne mais si fort dans sa tête pour résister aux quolibets, à la pression et à la malchance qui s'en mêle...
Et deux qui font quatre...
Capitaine grincheux quand on le voit houspiller ses coéquipiers, l'ancien Mancunien sait aussi se transformer en guide pour ses hommes quand ils peinent à trouver la lumière. Contrarié par le pressing haut de la République tchèque en début de match, une première demi-heure pendant laquelle Pepe veille au grain, usant de son vice pour déséquilibrer juste ce qu'il faut Baros (18e) ou de son sens du placement pour couper le centre de ce diable de Gebre Selassie (28e), le Portugal s'en remet rapidement à son n°7.
Privé d'une première occasion pour une faute peu évidente sur son défenseur (25e), l'attaquant du Real Madrid se met en évidence à deux reprises, sur un retourné réflexe non cadré (33e) puis sur un coup franc en force encore hors-cadre (35e). Le danger se rapproche encore juste avant la pause quand la star lusitanienne, alertée dans la surface adverse par Raul Meireles, contrôle de la poitrine dos au but, se retourne avant de trouver le montant gauche de Cech (45e).
Ce même poteau, mais de l'autre côté du terrain, est encore là pour repousser un coup franc de Cristiano Ronaldo (50e), pour un total de quatre barres depuis le début de cet Euro... Puisqu'il n'y arrive pas, à l'image de cette frappe dans la course qu'il ne parvient pas à cadrer (54e), ses partenaires s'y essaient à leur tour. Mais ni Almeida, dont le but est refusé pour hors-heu (58e), ni Nani, contré par Cech (58e) puis par le bout d'un pied adverse (74e), pas plus que Moutinho, dégoûté par l'intervention du gardien tchèque (64e), ne font oublier le Madrilène. Alors ce dernier enfile le costume de sauveur, surgissant dans le dos de Gebre Selassie pour couper d'une tête rageuse le centre de Moutinho (79e, 1-0). La République tchèque ne réussira pas le hold-up cette année. Et le Portugal, emmené par son homme fort, rêve encore à son premier titre international...
Elle était déchaussée, elle était décoiffée,
Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants;
Moi qui passais par là, je crus voir une fée,
Et je lui dis: Veux-tu t’en venir dans les champs?
Elle me regarda de ce regard suprême
Qui reste à la beauté quand nous en triomphons,
Et je lui dis: Veux-tu, c’est le mois où l’on aime,
Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds?
Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive;
Elle me regarda pour la seconde fois,
Et la belle folâtre alors devint pensive.
Oh! comme les oiseaux chantaient au fond des bois!
Comme l’eau caressait doucement le rivage!
Je vis venir à moi, dans les grands roseaux verts,
La belle fille heureuse, effarée et sauvage,
Ses cheveux dans ses yeux, et riant au travers.