POEMES D'AUBRYLIA

Je te regarde bel ourson blanc

Et tes grands yeux consolateurs

Ont consolé bien des enfants

Quand dans la nuit ils avaient peur

Jolie peluche, tu es si douce,

Combien de larme as tu séché ?

Chevelures brunes, blondes ou rousses

Tu as si souvent cajolé.

Tu es leur tendre confident

Et ils t'avouent tant de chagrins,

Petit ourson brun, noir ou blanc,

Compagnon de jeux, de câlins.

Ils t'en racontent de histoires

Que tu écoutes si sagement

Et c'est dans tes bras chaque soir

Que commencent leurs rêves d'enfants.

"Aubrylia"

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