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Date de création : 07.05.2008
Dernière mise à jour : 30.06.2017
122498 articles


FOND D ECRAN KELLY CLARKSON

Publié à 12:38 par chouky39 Tags : fond d ecran kelly clarkson fond
FOND D ECRAN KELLY CLARKSON

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FOND D ECRAN KELLY CLARKSON

Publié à 12:38 par chouky39 Tags : fond d ecran kelly clarkson fond
FOND D ECRAN KELLY CLARKSON

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FOND D ECRAN KELLY CLARKSON

Publié à 12:38 par chouky39 Tags : fond d ecran kelly clarkson fond
FOND D ECRAN KELLY CLARKSON

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aux petits enfants

Publié à 12:36 par chouky39 Tags : enfants fleurs neige anges
aux petits enfants

Enfants d’un jour, ô nouveau-nés,
Petites bouches, petits nez,
Petites lèvres demi-closes,
Membres tremblants,
Si frais, si blancs,
Si roses !

Enfants d’un jour, ô nouveaux-nés,
Pour le bonheur que vous donnez,
À vous voir dormir dans vos langes,
Espoir des nids
Soyez bénis,
Chers anges !

Pour vos grands yeux effarouchés
Que sous vos draps blancs vous cachez.
Pour vos sourires, vos pleurs même,
Tout ce qu’en vous,
Êtres si doux,
On aime ;

Pour tout ce que vous gazouillez,
Soyez bénis, baisés, choyés,
Gais rossignols, blanches fauvettes ;
Que d’amoureux
Et que d’heureux
Vous faites !

Lorsque sur vos chauds oreillers,
En souriant vous sommeillez,
Près de vous, tout bas, ô merveille !
Une voix dit :
« Dors, beau petit ;
Je veille. »

C’est la voix de l’ange gardien ;
Dormez, dormez, ne craignez rien,
Rêvez, sous ses ailes de neige :
Le beau jaloux
Vous berce et vous
Protège.

Enfants d’un jour, ô nouveau-nés,
Au paradis, d’où vous venez,
Un léger fil d’or vous rattache.
À ce fil d’or
Tient l’âme encor
Sans tache.

Vous êtes à toute maison
Ce que la fleur est au gazon,
Ce qu’au ciel est l’étoile blanche,
Ce qu’un peu d’eau
Est au roseau
Qui penche.

Mais vous avez de plus encor
Ce que n’a pas l’étoile d’or,
Ce qui manque aux fleurs les plus belles :
Malheur à nous !
Vous avez tous

Des ailes.



trois jours de vendanges

Publié à 12:33 par chouky39 Tags : ange
trois jours de vendanges

Je l’ai rencontrée un jour de vendange,
La jupe troussée et le pied mignon ;
Point de guimpe jaune et point de chignon :
L’air d’une bacchante et les yeux d’un ange.

Suspendue au bras d’un doux compagnon,
Je l’ai rencontrée aux champs d’Avignon,
Un jour de vendange.

* * *

Je l’ai rencontrée un jour de vendange.
La plaine était morne et le ciel brûlant ;
Elle marchait seule et d’un pas tremblant,
Son regard brillait d’une flamme étrange.

Je frisonne encore en me rappelant
Comme je te vis, cher fantôme blanc,
Un jour de vendange.

* * *

Je l’ai rencontrée un jour de vendange,
Et j’en rêve encore presque tous les jours.
Le cercueil était couvert en velours,
Le drap noir avait une double frange.

Les sœurs d’Avignon pleuraient tout autour…
La vigne avait trop de raisins ; l’amour

A fait la vendange.



le brasier

Publié à 12:31 par chouky39 Tags : vie moi dieu nuit femmes oiseaux coeurs
le brasier

J’ai jeté dans le noble feu
Que je transporte et que j’adore
De vives mains et même feu
Ce Passé ces têtes de morts
Flamme je fais ce que tu veux

Le galop soudain des étoiles
N’étant que ce qui deviendra
Se même au hennissement mâle
Des centaures dans leurs haras
Et des grand’plaintes végétales

Où sont ces têtes que j’avais
Où est le Dieu de ma jeunesse
L’amour est devenu mauvais
Qu’au brasier les flammes renaissent
Mon âme au soleil se dévêt

Dans la plaine ont poussé des flammes
Nos coeurs pendent aux citronniers
Les têtes coupées qui m’acclament
Et les astres qui ont saigné
Ne sont que des têtes de femmes

Le fleuve épinglé sur la ville
T’y fixe comme un vêtement
Partant à l’amphion docile
Tu subis tous les tons charmants
Qui rendent les pierres agiles

***

Je flambe dans le brasier à l’ardeur adorable
Et les mains des croyants m’y rejettent multiple innombrablement
Les membres des intercis flambent auprès de moi
Éloignez du brasier les ossements
Je suffis pour l’éternité à entretenir le feu de mes délices
Et des oiseaux protègent de leurs ailes ma face et le soleil

Ô Mémoire Combien de races qui forlignent
Des Tyndarides aux vipères ardentes de mon bonheur
Et les serpents ne sont-ils que les cous des cygnes
Qui étaient immortels ey n’étaient pas chanteurs
Voici ma vie renouvelée
De grands vaisseaux passent et repassent
Je trempe une fois encore mes mains dans l’Océan

Voici le paquebot et ma vie renouvelée
Ses flammes sont immenses
Il n’y a plus rien de commun entre moi
Et ceux qui craignent les brûlures

***

Descendant des hauteurs où pense la lumière
Jardins rouant plus haut que tous les ciels mobiles
L’avenir masqué flambe en traversant les cieux

Nous attendons ton bon plaisir ô mon amie

J’ose à peine regarder la divine mascarade

Quand bleuira sur l’horizon la Désirade

Au-delà de notre atmosphère s’élève un théâtre
Que construisit le ver Zamir sans instrument
Puis le soleil revint ensoleiller les places
D’une ville marine apparue contremont
Sur les toits se reposaient les colombes basses

Et le troupeau de sphinx regagne la sphingerie
A petits pas Il orra le chant du pâtre toute la vie
Là-haut le théâtre est bâti avec le feu solide
Comme les astres dont se nourrit le vide

Et voici le spectacle
Et pour toujours je suis assis dans un fauteuil
Ma tête mes genoux mes coudes vain pentacle
Les flammes ont poussé sur moi comme des feuilles

Des acteurs inhumains claires bêtes nouvelles
Donnent des ordres aux hommes apprivoisés
Terre
Ô Déchirée que les fleuves ont reprisée

J’aimerais mieux nuit et jour dans les sphingeries

Vouloir savoir pour qu’enfin on m’y dévorât



l oiseau bleu

Publié à 11:55 par chouky39 Tags : fond bleu oiseaux
l oiseau bleu

J’ai dans mon cœur un oiseau bleu,
Une charmante créature,
Si mignonne que sa ceinture
N’a pas l’épaisseur d’un cheveu

Il lui faut du sang pour pâture.
Bien longtemps, je me fis un jeu
De lui donner sa nourriture :
Les petits oiseaux mangent peu.

Mais, sans en rien laisser paraître,
Dans mon cœur il a fait, le traître,
Un trou large comme la main,

Et son bec, fin comme une lame,
En continuant son chemin,

M’est entré jusqu’au fond de l’âme !



nature impassible

Publié à 11:46 par chouky39 Tags : moi belle nature femmes fleurs oiseaux aimer
nature impassible

Lorsque l’homme pleura sa première chimère,
Moins impassible qu’aujourd’hui,
La nature sentit frémir ses flancs de mère
Et voulut pleurer avec lui.
Tout s’assombrit. Les cieux n’eurent plus une étoile,
La terre n’eut plus une fleur.
Le soleil se cloîtra, la lune prit le voile,
Et la forêt tordit ses branches, de douleur.

Les couchants lumineux, les aubes éclatantes
S’éteignirent en un clin d’œil.
Les brumes de l’hiver déployèrent leurs tentes,
Les plaines prirent le grand deuil.
Le lac mouilla ses bords de son flot le plus triste ;
Dans la Notre-Dame des Bois
Les oiseaux et le vent, les clercs et l’organiste
Chantèrent en mineur pour la première fois.

La douleur arrachait des larmes aux abîmes
Et des cris de rage aux volcans.
Les ravins éplorés eurent des mots sublimes,
Les rochers furent éloquents.
« Nous voulons notre part de la souffrance humaine »,
Sanglotaient les vieux antres sourds…
L’homme oublia son mal au bout d’une semaine ;
Après quatre mille ans, eux sanglotaient toujours.

Quand la mère au grand cœur fut enfin consolée,
Presque honteuse de ses pleurs,
Vite elle rajusta les plis de sa vallée
Et mit son chaperon de fleurs.
Puis elle se dressa belle de tous ses charmes,
Poussant du vert à pleins talus ;
Mais sachant désormais ce que valent nos larmes,
Elle nous dit : « C’est bien ! vous ne m’y prendrez plus. »

Pour moi, si les douleurs chères aux grandes âmes
Viennent m’assaillir quelque jour,
Si jamais je m’éprends dans le troupeau des femmes
Trop belles pour aimer l’amour ;
Ou si, voyant mourir quelque chose qui m’aime,
Vivant, je souffre mille morts,
O nature ! tu peux rester toujours la même,
Je me passerai bien des pitiés du dehors.

Les plateaux de colzas, les blés, les plaines d’orge
Pourront impunément fleurir ;
Je ne leur mettrai pas ma douleur sur la gorge,
Non ! je serai seul à souffrir.

Terre, tu souriras ; bois, vous ferez comme elle.
Vous, les lacs, vous resplendirez,
Et vous chanterez tous sans craindre que je mêle

Un blasphème ou des pleurs à vos concerts sacrés.



la synagogue

Publié à 11:42 par chouky39 Tags : fond sourire
la synagogue

Ottomar Scholem et Abraham Loeweren
Coiffés de feutres verts le matin du sabbat
Vont à la synagogue en longeant le Rhin
Et les coteaux où les vignes rougissent là-bas

Ils se disputent et crient des choses qu’on ose à peine traduire
Bâtard conçu pendant les règles ou Que le diable entre dans ton père
Le vieux Rhin soulève sa face ruisselante et se détourne pour sourire
Ottomar Scholem et Abraham Loeweren sont en colère

Parce que pendant le sabbat on ne doit pas fumer
Tandis que les chrétiens passent avec des cigares allumés
Et parce qu’Ottomar et Abraham aiment tous deux
Lia aux yeux de brebis et dont le ventre avance un peu

Pourtant tout à l’heure dans la synagogue l’un après l’autre
Ils baiseront la thora en soulevant leur beau chapeau
Parmi les feuillards de la fête des cabanes
Ottomar en chantant sourira à Abraham

Ils déchanteront sans mesure et les voix graves des hommes
Feront gémir un Léviathan au fond du Rhin comme une voix d’automne
Et dans la synagogue pleine de chapeaux on agitera les loulabim

Hanoten ne Kamoth bagoim tholahoth baleoumim



cadeau de http://mamiejosiane.centerblog.net/ merciii

Publié à 11:41 par chouky39 Tags : centerblog cadeau
cadeau de http://mamiejosiane.centerblog.net/ merciii

cadeau de http://mamiejosiane.centerblog.net/ merciii



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