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Date de création : 07.05.2008
Dernière mise à jour :
30.06.2017
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Jean Bernard, Mr Becary, Alain Boinot, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot et Mme Becary, mardi à Paris. Crédits photo : AFP
Les deux sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, qui décryptent depuis des décennies les us et coutumes des anciens et nouveaux riches, se sont penchés sur ces gagnants du Loto, devenus millionnaires du jour au lendemain.Richard et Sandrine (les prénoms ont été changés à leur demande) ont gagné 7 millions d'euros au Loto en 2006. Quatre ans plus tard, leurs enfants ne sont toujours pas au courant. Quand ils ont empoché leur pactole, Sandrine était vendeuse dans un magasin de chaussures et Richard travaillait dans une crèperie. Ils ont expliqué à leurs enfants qu'ils avaient acheté une grande maison avec piscine après avoir vendu le magasin de chaussures et la crèperie. Trop petits pour comprendre, les enfants n'ont pas posé de question. Pour eux, la vie continue presque comme avant. Maman a arrêté de travailler pour s'occuper d'eux et papa a racheté une brasserie. Ils ont découvert les joies du Club Med. Mais l'été dernier, toute la famille est partie dans un gîte 4 étoiles pour les vacances. Pourtant, Richard et Sandrine ont totalement changé de train de vie. Quand ils partent en amoureux, ils n'hésitent plus à descendre au George V, un palace parisien. Ils se sont tous les deux offert une Rolex à 10.000 euros. Et pour les fringues, ils ne comptent plus. «Le premier mois, on a renouvelé notre garde-robe, pour 40.000 euros chacun, raconte Sandrine. Mais on n'achète pas de marques haute couture».
Les deux sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot, qui décryptent depuis des décennies les us et coutumes des anciens et nouveaux riches, se sont penché sur ces gagnants du Loto, devenus millionnaires du jour au lendemain. Pendant deux ans, ils en ont interrogé une trentaine. Le couple à la ville comme à l'université livre son analyse cette semaine dans un opus intitulé «Les millionnaires de la chance» (éditions Payot). Ausculter les riches, c'est leur dada. «Nous avons travaillé vingt ans sur l'argent hérité et les dynasties fortunées, raconte au figaro.fr Michel Pinçon. Contrairement à ce que la rumeur veut bien faire croire, les millionnaires du Loto ont des envies raisonnables. Dans l'ensemble, ce ne sont pas des fambleurs».
Le premier chapitre de leur livre, «Une catastrophe heureuse», annonce la couleur. Pour les Pinçon, la vie change vraiment quand le gain atteint au moins 5 millions d'euros. «Le réflexe, au moins dans un premier temps, est de tenir le gain caché», écrivent-ils. Sandrine et Richard ne diront pas le contraire.... Paradoxalement, ils acceptent de rencontrer les journalistes, mais c'est sous un pseudonyme. «Il y a une difficulté à garder le secret: le silence, s'il est protecteur, est aussi frustrant», soulignent Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot. Autre difficulté: «la richesse, ça s'apprend, déclare Michel Pinçon. Un héritier, ça se forme. Les millionnaires du Loto ont des reflexes dus à leurs origine». Les Pinçon n'ont pas rencontré de gagnants qui ont «pété les plombs». Il y en a, mais les cas sont rarissimes selon la Française des Jeux pour qui 99,9% des grands gagnants font fructifier leur pactole.
Comment dépensent-ils leur argent ? Selon la Française, ils commencent par acheter leur résidence principale, ils investissent aussi dans des placement sûrs (assurance-vie) et mettent de l'argent de côté pour l'éducation des enfants. «On a le sentiment de faire des générations de millionnaires», se félicite-t-on au service relation gagnants de la Française des Jeux, chargé d'aider les gagnants quand ils découvrent, un peu (beaucoup) déboussolés leur nouvelle richesse. «C'est un peu tôt pour le savoir, mais il y a des gens dont la fortune gagnée au Loto va franchir la barre de la 2ème génération», pense aussi Michel Pinçon. L'an dernier, 122 joueurs du Loto ont gagné plus d'un million d'euros. Le record toute catégorie remonte à 2005: 75 millions d'euros empoché par une seule et même personne. «La magie du Loto, c'est donner sa chance à tout le monde, car c'est le hasard pur. Il apporte un gain qui ne récompense ni le mérite, ni l'effort, mais qui ne lèse personne», affirme Michel Pinçon. Selon lui, pour les gens modestes, c'est toujours du bonheur, car l'argent leur apporte des satisfactions auxquelles ils aspiraient mais qui étaient inaccessibles. «Pour autant, l'argent ne suffit pas à apporter une plénitude absolue mais c'est beaucoup plus difficile d'être heureux en étant pauvre!». Sandrine et Richard, en tout cas, semblent bien dans leurs nouvelles baskets. «On était heureux avant de gagner au Loto, c'est que du plus», insistent-ils tous les deux. Cette semaine, Sandrine s'est acheté un nouveau sac, un modèle Lancel à 1. 000 euros. Elle sait qu'elle en aura bientôt un autre.
Un seul joueur a coché les six bons numéros du Super Loto du vendredi 13 et empochera donc la cagnotte de 13 millions d'euros, a annoncé la Française des Jeux (FDJ). Ce gagnant, a précisé la FDJ, a validé son bulletin dans la Haute-Vienne. Il dispose, selon le règlement, de soixante jours pour se faire connaître de la FDJ et se faire remettre son chèque. Ce joueur avait une chance sur 19 millions de cocher les six bons numéros : 32, 19, 41, 29, 43 et le numéro 5 Un Français gagne 5 millons à l'EuroMillions Même coup de chance pour un Français ce même vendredi soir au tirage de l'EuroMillions. En cochant les cinq bons numéros 15, 9, 47, 21, 4 et les deux bonnes étoiles 2 et 7, l'heureux gagnant empochera la somme de 5 millions d'euros. Trois autres joueurs européens feront de même. Le vendredi 13 août était le seul vendredi 13 de l'année 2010. Selon un sondage publié en 2007 par la FDJ, 36 % des Français choisissent un vendredi 13 plutôt qu'un autre jour pour jouer à un jeu d'argent. Un seul tirage Super Loto de vendredi 13 génère en moyenne 7 millions de prises de jeu, soit l'équivalent de 3 tirages Loto pour une semaine classique. Il y aura un seul vendredi 13 en 2011 et trois vendredi 13 en 2012.
Qui n'a pas rêvé de gagner un jour au loto, s'imaginant déjà au volant d'une Ferrari, aux commandes d'un yacht aux Antilles ou propriétaire d'un château de conte de fée ? Mais que sait-on vraiment de la vie de ceux qui sont devenus soudainement millionnaires par la grâce du hasard et de la Française des Jeux ? C'est pour répondre à cette question que les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont rencontré 30 gros gagnants qui ont empoché un jour plusieurs millions d'euros. Dans leur livre, « Les millionnaires de la chance. Rêve et réalité », les témoignages attestent que devenir riche n'est parfois pas une sinécure. « Être perçu comme le riche n'est pas de tout repos », résument les deux chercheurs, particulièrement si l'on vient d'un milieu modeste. « En milieu populaire, cette ouverture des possibles est anxiogène : la richesse inattendue offre une multitude de potentialités dont on ne possède pas les clefs. Le gagnant se trouve démuni devant une plus ou moins grande fortune : il ne sait par quel bout la prendre.
"La cafetière que je voulais récupérer, tu peux la garder. Ma grande, j'ai gagné au loto!" Au bout du fil, l'ex-de Jérémy n'en croit pas ses oreilles. Elle avait largué son petit ami, mais aujourd'hui, il la rappelle. Dans un premier temps, elle le nargue "Ca allait bien.. avant que tu m'appelles" . Mais en entendant la somme, le ton change: "C'est génial! Oh, et puis Xavier, c'est juste un mec... On va boire un café ensemble demain?"
Sauf... que Jérémy n'a jamais gagné au loto. Il a monté un canular téléphonique, en direct sur Virgin radio, dans l'émission"L'alibi de service". Et si son ex- doit le haïr depuis, il est devenu une star de Facebook enFrance!
500 000 fans en quinze jours
Même si les canulars radiophoniques ont toujours eu la cote sur les radios musicales avec des animateurs comme Difool sur Skyrock, le phénomène Jérémy impressionne par son ampleur: Le 26 janvier, huit jours après l'émission, un groupe Facebook s'ouvre en l'honneur du jeunehomme:Jérémy, ou l'homme qui s'est magnifiquement bien vengé de son ex sur Virgin. Le 10 février, près de quinze jours plus tard, 501 000 internautes en sont déjà devenus fans.
"J'ai beau etre unefille, je trouve que ce gars est un dieu!", s'enthousiasme Zoé. "Bravo Jéremy t'as bien fait! Au moins t'es fixé sur sa personnalité!", renchérit Céline. Quentin conclut: "Bien joué mon grand elle te mérite pas de toute façon! Et continue de jouer au loto on sait jamais...".
Après le coup de massue reçu par celui qui vient d'apprendre son nouveau statut de millionnaire, vient une période de désarroi et de questions. L'accompagnement de la Française des Jeux est alors capital pour surmonter le choc et se projeter dans l'avenir en apprenant à être riche. Les groupes de paroles qui réunissent les gros gagnants, parfois plusieurs années d'affilée, leur permettent de tenir le coup. Dès lors, pas étonnant que les gagnants rencontrés par les sociologues soient plutôt sages et ne succombent que très rarement à quelques folies. Les millions servent davantage à assurer l'avenir familial et parfois réaliser un rêve de toujours. Même si leur vie a forcément changé, certains gros gagnants renouent avec leur vie simple d'avant pour retrouver par exemple leurs collègues. Comme quoi s'il y contribue, l'argent ne fait pas forcément le bonheur…
La Française des Jeux aux côtés des gros gagnantsGagner soudainement une somme importante qui efface les incertitudes matérielles peut entraîner un réel et angoissant bouleversement. C'est pour aider les nouveaux gagnants à y faire face que le service Relations Gagnants de la Française des jeux offre gracieusement ses services d'assistance et de conseil depuis 1993.
« Nous prenons en charge les personnes qui gagnent des sommes d'au moins 1 million d'euros », explique Brigitte Roth, responsable du service Relations Gagnants, qui mobilise trois personnes à plein-temps. « Nous avons une première mission lors de la remise du gain. Cette première étape, qui consiste en une cérémonie suivie d'un déjeuner, permet d'échanger, de rassurer les gagnants, de mieux les connaître. Après, nous leur proposons notre programme d'accompagnement. Près de la moitié des gagnants suit ce programme », explique la responsable. Outre la lecture d'un livret de conseils, les gagnants ont la possibilité, s'ils le souhaitent, de participer à des ateliers pédagogiques pour se familiariser avec divers aspects de la fiscalité, la finance, le droit de la famille, etc. Des groupes de paroles entre gagnants sont également organisés par la Française des Jeux. Il y a une quinzaine de réunions par an. « Quand on gagne, on est comme un créateur d'entreprise. On a besoin d'information et de formation ; on a besoin d'être écouté et de parler ; et on a besoin d'avoir un réseau relationnel », résume Brigitte Roth, qui garde parfois des relations avec « ses » gagnants des années durant. « C'est un plaisir pour nous et pour eux, qui jouent le rôle des parrains des nouveaux gagnants. C'est un peu comme une amicale. »
Michel Pinçon est sociologue. Avec son épouse Monique Pinçon-Charlot, ils viennent de publier « Les millionnaires de la Chance. Rêve et réalité » (Éditions Payot, 272 pages, 18,50€).
La Dépêche du Midi. - Avez-vous trouvé des similitudes dans le parcours des 30 gagnants que vous avez rencontrés ?
Michel Pinçon. - La similitude forte, c'est une certaine déstabilisation à la nouvelle du gain. Tous jouent pour gagner bien sûr ; cette éventualité a été rêvée, fantasmée. Ils y ont pensé mais pas de façon raisonnée. Quand cela arrive, ils sont pris de court. Quand ils gagnent plusieurs millions d'euros, certains se trouvent mal, y compris physiquement.
Le choc est psychologiquement trop violent ?
Oui, il y a une sorte de désarroi et la découverte de problèmes auxquels ils n'avaient pas pensé. Comment on va faire ? À qui on va le dire ? Faut-il le dire à la famille, aux collègues, aux enfants ?
D'où l'importance de l'aide offerte par la Française des Jeux ?
Tout à fait. On est très positif sur ce service et les gagnants que nous avons rencontrés sont extrêmement reconnaissants à la Française des Jeux de les réunir lors de ces ateliers-réflexion. Ils apprennent à gérer leur richesse et ce qui est important, c'est qu'ils parlent entre eux, c'est-à-dire à des gens qui connaissent les mêmes difficultés. Ces lieux d'échange sont comme un cercle dans lequel ils sont en confiance.
On a l'impression que les gagnants veulent conserver une vie normale et sont très raisonnables, ne font pas de folies.
C'est vrai. Hormis deux cas où les gagnants ont complètement changé de vie parce que le décalage devenait trop important avec leur vie d'avant, ce que l'on constate, c'est que l'argent du gain permet aux gagnants de réaliser une part importante de leur être. Le manque d'argent les empêchait d'avancer. En général, les gagnants du loto placent leur argent de façon prudente, ils ne flambent pas et ne font pas de folies. Beaucoup montent d'ailleurs une petite entreprise et certains reviennent dans leur travail.
Jacques Ansart* a gagné 53 millions de francs (environ 8 millions d'euros) en 1991 avec son frère Edmond. Il a appris qu'il était heureux gagnant le matin de Noël après avoir réveillonné toute la nuit. Il vit dans le Grand Sud.
Qu'avez-vous ressenti à l'annonce de la bonne nouvelle ?
Sur le moment on est vraiment déstabilisé. Avec le temps, on réalise, on se fait à l'idée d'être millionnaire. Il m'a fallu six mois pour m'en remettre.
Avez-vous eu peur de le dire par crainte des sollicitations ? Avez-vous caché que vous étiez le gagnant ?
Non pas du tout. Mon frère et moi avons décidé de le dire et tout s'est très bien passé. Notre famille, nos amis ont participé à la fête que nous avons organisée. J'ai même versé une « prime » de 2 500 F à tous mes collègues (300). Nous avons bien sûr eu des sollicitations, mais rien de bien méchant.
Ces millions ont-ils changé votre vie ?
J'étais fonctionnaire du trésor public. Avec mon frère nous avons créé une SARL et racheté le magasin d'instruments de musique que je fréquentais. Nous avons aussi créé une SCI.
* Comme tous les gagnants du livre, les noms et prénoms ont été changés.