Publié à 12:01 par georgessylviemarie
L'orignal est le plus gros de nos mammifères terrestres. Il peut atteindre 600 kg! Ce gibier magnifique est recherché pour la qualité de sa chair et les trophées. On le retrouve dans presque toutes les régions du Québec, sauf dans le Nord-du-Québec. L'orignal se chasse l'automne lors de la saison des amours. Dans certaines pourvoiries, les chasseurs peuvent profiter d'une saison devancée. Informez-vous sur la réglementation en vigueur dans votre zone de chasse et sur la limite de prise qui peut varier d'un orignal par 2, 3 ou 4 chasseurs
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
L'Ours noir représente un défi de taille pour le chasseur et demande de la patience. Il possède une ouïe et un odorat des plus fins et il peut atteindre des vitesses allant jusqu'à 55 km/h. La population d'ours noirs au Québec est estimée à environ 60 000 ours. La chasse à l'ours noir se pratique surtout au printemps, mais il y a également une chasse d'automne dans certaines zones
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
imide et discret, le lièvre d'Amérique passe souvent inaperçu en été, mais dès la première neige, il se trahit par des traces caractéristiques. Le changement saisonnier de la couleur de son pelage passe d'un gris brun en été au blanc presque immaculé au milieu de l'hiver. On peut chasser le lièvre du mois de septembre au mois d'avril.
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
La gélinotte huppée, appelée à tort perdrix, est le petit gibier le plus populaire dans l'est du Canada. Sa chair blanche est très recherchée des chasseurs, car elle est vraiment délicieuse. La marche lente est la meilleure méthode pour la chasse à la gélinotte huppée. On la retrouve parfois dans les chemins forestiers, où elle mange de petits cailloux qui facilitent sa digestion. Elle se chasse l'automne, alors que nos forêts se parent de couleurs flamboyantes.
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
Les « canards barboteurs » font partie du groupe de canards qui se nourrissent en eau peu profonde en s'immergeant l'avant du corps, laissant la queue à la verticale hors de l'eau; ils s'alimentent aussi au sol. Les « canards plongeurs » s'alimentent en plongeant; ils ont les pattes placées très en arrière et courent sur l'eau à l'envol, contrairement aux barboteurs qui s'envolent directement à la verticale. Le groupe des canards barboteurs comprend les espèces telles le canard colvert, le canard noir, les sarcelles et le canard pilet, alors que les canards plongeurs sont les espèces telles les fuligules (anciennement appelés morillons), les garrots, les harles (becs-scies), et les canards marins tels les eiders et les macreuses.
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La chasse à la bécasse est un défi pour les chasseurs, car elle s'envole rapidement, surprend avec ses vols non annoncés et sait très bien se camoufler avec ses teintes de feuilles mortes. Il a toutes les qualités dignes d'une chasse sportive capable de donner un sentiment de victoire incroyable! Les non-résidents du Canada doivent s'informer sur la limite de prise qui est différente de celle des résidents.
Publié à 12:00 par georgessylviemarie

Le reconnaître à la hutte
Trop de mauvaises imitations circulent désormais dans la nature. Ne voit-on parfois un colvert possédant un cou anormalement long et même un bec bleu ou une cane avec un large sourcil blanc ? Ne cherchez pas ils proviennent d'un croisement colvert-pilet et colvert-sarcelle d’été.
Evitons que de telles anomalies ne se reproduisent dans la nature. Il convient rester très vigilants lors de lâchers et de ne surtout pas mettre en liberté, après la saison de chasse, les mauvaises canes appelants. L'Association Nationale des Chasseurs de Gibier d'Eau (ANCGE) s'élève d'ailleurs régulièrement contre cette pratique.
Particulièrement présent lors des coups de froid, périodes où il se déplace par bandes d'une dizaine d'individus, il se différencie déjà par sa taille. Il est facile à identifier par rapport aux autres espèces sauvages car il ressemble comme un frère aux appelants. Avant la pose il adopte des attitudes bien caractéristiques. Il chante en vol, une attitude particulièrement flagrante pour les canes qui lancent des « kin-kin » reconnaissables. Les appelants ne s’y trompent généralement pas et forcent à tout va. Lorsqu'il se décide à poser il fait un bruit important un peu semblable à celui d'un hélicoptère. Il n'est cependant pas moins méfiant. Il reste généralement à l'écart des appelants et des formes. Il reste un bon moment aux aguets comme le prouve son cou tendu.
Lorsqu'ils sont plusieurs ils se déplacent alors en file indienne et finissent par se rapprocher des canes appelants, tout en restant méfiants avec les formes. Une fois en confiance ils n'hésitent pas à plonger jusqu'à mi corps dans l'eau pour se nourrir et battent fréquemment des ailes.
Avec un minimum de précaution la prise est assurée. Même si cette es se révèle commune, même en été où les colverts se déplacent en famille, le sauvaginier est toujours très satisfait de tirer et de rapporter à la maison un vrai sauvage ! C'est ce que nous vous souhaitons pour la prochaine saison.
Publié à 12:00 par georgessylviemarie

Chasse à la baleine: Le gouvernement australien entre en croisade contre la volonté japonaise.
On attendait une action diplomatique contre le projet Nippon d'augmenter ses tueries de baleines, là voici enfin.
Ian Campbell, ministre australien de l'Environnement, a juré de lutter jusqu’au bout contre l’accroissement des prises de baleine par le Japon. La promesse fait suite à un courrier particulièrement virulent de John Howard, le premier ministre australien à son homologue japonais Junichiro Koizumi dans lequel ont été une nouvelle fois mis en doute les raisons scientifiques avancées par le Japon pour justifier sa chasse aux cétacés. Cette lettre, rédigée en terme « exceptionnellement forts » montre la détermination de Camberra dans la lutte contre les massacres japonais de baleines. Le premier ministre australien a ajouté le que le grand nombre d’eco touristes baleiniers représente « la preuve évidente du grand intérêt public dans le bien être des baleines et qu'une inquiétude considérable du public peut être attendue, pas seulement en Australie mais sur l'ensemble de la planète, si la chasse à la baleine était intensifiée ».
La chasse commerciale à la baleine, que le Japon mène sous couvert de fins "scientifiques", fait régulièrement l’objet de condamnations internationales. Pourtant, un directeur adjoint à l'Agence nippone des pêches a assuré que la "position (du Japon) sur la chasse à la baleine à des fins scientifiques ne changera pas simplement parce qu'il y a des pressions étrangères". Il a ajouté que "La chasse à la baleine fait partie de la culture japonaise". Tokyo a l'intention de presque doubler ses prises de baleines de Minke, actuellement de 440 par an, et de pêcher des baleines de plus grande taille, les rorquals communs et les baleines à bosses qui sont des espèces menacées.
Selon les experts, "le projet japonais est irresponsable et pourrait compromettre l'augmentation des populations et même conduire à la diminution de leurs faibles effectifs". Le sujet sera au centre des discussions de la prochaine réunion annuelle de la Commission Baleinière Internationale (CBI), qui se tiendra en Corée du Sud du 20 au 24 juin 2005.
Publié à 12:00 par georgessylviemarie
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