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Dernière mise à jour :
14.03.2020
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A LA BENEDICTION D'UN PRETRE QU'EST-CE QUI SE PASSE ?
D'après Thérèse Neuman, la sainte femme de Konnersreuth
Connaissez-vous cette explication de Jésus à la fameuse stigmatisée concernant la Bénédiction du prêtre ? La voici :
" Quelque chose de grand se passe quand tu reçois la bénédiction de mon prêtre :
" La Bénédiction est un épanchement de ma Sainteté divine : Ouvre ton âme et laisse-la alors devenir sainte
" La Bénédiction est une rosée céleste pour l'âme : tout ce qui est fait par elle peut alors être fructueux
" Par le pouvoir de bénir J'ai donné au prêtre le pouvoir d'ouvrir le Trésor de mon Cœur et d'en verser une pluie de grâces sur les âmes : Quand le Prêtre bénit, JE BENIS !
" Alors un immense courant de grâces jaillit de mon Sacré Cœur et se répand dans l'âme, la remplissant à sa pleine capacité... Je regrette que la Bénédiction de l'Eglise soit si peu estimée et si rarement reçue :
" Ta volonté est fortifiée par elle, tes entreprises sont conduites par une Providence toute particulière, ta faiblesse est soutenue par ma Puissance, tes pensées et tes intentions sont spiritualisées et toute les mauvaises influences sont neutralisées : J'ai donné à ma Bénédiction un vaste Pouvoir :
" Il procède de l'Amour Eternel de mon Sacré-Cœur : plus on apportera de zèle à la donner ou à la recevoir plus son efficacité sera grande.
" Que ce soit un enfant ou le Monde entier qui La reçoive, la Bénédiction est encore bien des fois plus grande qu'un millier de mondes : Pense que Dieu est immense, INFINIMENT IMMENSE. Qu'un ou plusieurs reçoivent la Bénédiction, c'est la même chose : Je donne à chacun selon la mesure de sa Foi.
"Tu ne peux jamais espérer trop de ma Bénédiction : Elle surpassera toujours tes plus profondes espérances : protège donc tout ce qui t'apporte des bénédictions, estime hautement tout ce qui est béni, alors tu Me plairas, à Moi ton Dieu.
" Quand tu es béni, tu deviens plus uni à Moi, sanctifié de nouveau, guéri et protégé par l'Amour...
" Souvent, Je tiens cachés les ouvrages de ma Bénédiction de sorte que l'on ne les connaisse que dans l'Eternité, et, si souvent il semble que les bénédictions ne portent pas de fruits... merveilleuses sont-elles quand même : une bénédiction cachée dans la Sainte Bénédiction, Mystère de ma Providence que Je ne désire pas manifester...
" Quand le Prêtre bénit... jaillit un immense courant de grâces de mon Sacré-Cœur, et se répand dans l'âme, la remplissant à sa pleine capacité.
" Par le recueillement, tiens ton cœur ouvert dans l'intention de ne pas perdre le profit de la Bénédiction :
" Par Ma Bénédiction, tu reçois la grâce d'aimer, la force d'endurer la souffrance, et le secours pour le corps et pour l'âme.
" Ma sainte Bénédiction contient tous les secours pour les besoins de l'humanité.
" Par la Bénédiction, tu acquiers la force et le désir de chercher le bien, de fuir le mal, et de te réjouir de la protection de mes enfants contre la puissance des ténèbres : c'est un grand privilège que de recevoir ma Bénédiction.
" Tu ne peux comprendre quelle Miséricorde elle t'apporte de ma part, alors, ne la reçois jamais... DISTRAITEMENT... Reçois la Bénédiction sincèrement car les grâces de la bénédiction n'entrent que dans un cœur humble :
" Reçois La avec une bonne volonté et l'intention de devenir meilleur, alors la Bénédiction pénétrera dans les profondeurs de ton cœur et produira ses effets
" Sois enfant de Bénédiction, alors, tu seras toi-même une bénédiction pour les autres ! "
QUEL POUVOIR A LA BENEDICTION DU PRÊTRE ?
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Le 2 octobre, l'apparition de Mirjana a rassemblé une grande foule. Marie lui a transmis le message suivant : "Je viens à vous comme Mère. Je vous amène mon Fils, la paix et l'amour. Purifiez vos cœurs et prenez mon Fils avec vous. Donnez aux autres la vraie paix et le bonheur".
A ces paroles, Mirjana a ajouté : "La Gospa a béni chacun de nous ainsi que les objets religieux que nous avions apportés". Puis elle a insisté à nouveau sur l'importance de la bénédiction du prêtre.
Il y a plusieurs types de bénédictions, qu'il est important de ne pas confondre. En effet, quand un prêtre bénit (ou un évêque, un cardinal ou le Pape) c'est Jésus lui-même qui bénit à travers son ministre ordonné. Jésus lui-même épanche alors sa sainteté divine sur nous. Il prend de son bien pour nous le communiquer.
Cette bénédiction est une immense grâce et elle ne dépend pas de l'état intérieur du prêtre. Si l'âme qui reçoit cette bénédiction est ouverte et recueillie, alors Jésus ouvre les trésors de son Cœur et les répand avec abondance, selon l'ouverture de cette âme et dans la mesure de sa foi. L'âme humble reçoit le maximum.
Comme la bénédiction rejoint l'âme directement, l'intelligence n'est pas toujours consciente de cette effusion qui la dépasse, c'est pourquoi il nous est si facile d'être distrait et de manquer le cadeau offert. Cela est bien dommage, car l'âme recueillie se trouve enrichie, fortifiée, apaisée, protégée par chaque bénédiction, et le fruit le plus appréciable est qu'elle peut alors s'unir à Dieu de manière plus intime.
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Les fruits de la bénédiction sont tels qu'ils s'inscrivent déjà dans l'éternité, donnant à l'âme une beauté particulière. Comme pour tous les dons de Dieu, plus on met de zèle à donner ou à recevoir la bénédiction, plus son efficacité est grande.
A Medjugorje, la Vierge a dit : " Si les prêtres savaient ce qu'ils donnent lorsqu'ils bénissent, ils béniraient jour et nuit !" Et encore : "La bénédiction du prêtre est plus grande que la mienne". Car le prêtre a reçu le sacrement de l'ordre.
Les laïcs aussi peuvent bénir, et l'Eglise recommande aux parents, par exemple, de bénir chaque jour leurs enfants. La Vierge demande que les enfants soient bénis le matin et le soir.
Les enfants eux-mêmes peuvent bénir leurs parents ! La puissance de cette bénédiction dépend beaucoup de celui qui la donne, c'est pourquoi la bénédiction de Marie est particulièrement forte ! Si une mère de la terre peut bénir son enfant, combien plus notre Mère du Ciel !
A Medjugorje, la Gospa donne sa bénédiction à chacune de ses venues, après nous avoir salué en disant : "Loué soit Jésus, mes chers enfants" et avant de prier pour nous avec les mains étendues. Un jour j'ai demandé à Marija pourquoi la Gospa nous donnait tantôt "sa bénédiction de joie", tantôt "sa bénédiction maternelle", tantôt "sa bénédiction solennelle" etc… quelle différence y avait-il entre ces bénédictions ?
Marija m'a répondu : "La Gospa n'a pas expliqué cela…". Il nous faut donc recevoir le don avec confiance et gratitude, et notre Mère Céleste fait le reste selon nos besoins !
Jésus, le crucifié, est maintenant ressuscité des morts. Il est vivant. La défaite la plus radicale a été transformée en une victoire irréversible.
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La mort s’est acharnée contre l’Oint de Dieu, le Messie. Elle a fait tout ce qu’elle pouvait pour réduire à néant le courage et la fidélité du Sauveur.
Elle a tiré toutes ses flèches, tout son arsenal de haine, d’injustice, d’humiliation, de douleur. Elle a livré une bataille impressionnante, sanglante, mais le Messie de Dieu est sorti vainqueur du tombeau.
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Qu’est-ce que cela veut dire pour nous ?Cela veut tout dire, absolument tout.
La résurrection est le sceau qui valide tout ce que Jésus a dit et fait : sa prétention d’être Fils de Dieu, d’avoir autorité pour pardonner les péchés et pour rétablir la communion entre Dieu et l’homme ; son appel universel à nous défaire de l’égocentrisme pour aimer Dieu et notre prochain comme une voie vers le bonheur véritable ; sa promesse de donner sa grâce par l’Eglise qui demeurera jusqu’à la fin.
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Si Jésus n’était pas ressuscité de morts, aucune de ces prétentions ne mériterait que l’on s’y arrête. Dans ce cas, Jésus aurait été l’un de ces hommes, un de plus, bien intentionné sans doute, mais un doux rêveur dont les rêves auraient été anéantis par la dure réalité de la vie.
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Avez-vous remarqué que chaque fois que des gens se mettent à vivre en ignorant les enseignements et l’exemple du Christ, ils finissent toujours par mettre en doute le réalisme de sa résurrection? Après tout, si le Christ n’est pas ressuscité des morts, il n’a pas plus d’autorité sur nous que Socrate ou Confucius ou Bouddha ou Mohammet …
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Mais Jésus est bel et bien ressuscité des morts. Sa victoire sur le mal et le mensonge, sur l’injustice et la souffrance est totale, irréfutable, et irréversible. Personne ne peut nier qu’en vingt siècles d’histoire on a pu voir un flot ininterrompu de saints, une croissance durable de l’Eglise catholique et une vitalité chrétienne qui ne se dément pas, quoi qu'en disent les médias en Occident...
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Tous les grands conquérants de l’histoire auraient aimé vivre pour toujours, mais aucun d’entre eux n’a pu vaincre son plus grand ennemi : la mort. Le Christ seul l’a fait.
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L’un des plus fameux d’entre eux a essayé, d’une certaine manière, de le faire. Il s’appelait Napoléon Bonaparte. Il était un officier militaire qui a pris le pouvoir en France pour rétablir l’ordre après la Révolution française. Mais il avait des ambitions qui dépassaient les frontières françaises. Il se considérait comme une sorte de Messie, destiné à établir un Empire français aussi étendu et durable que l’Empire romain.
Pendant un certain temps, il semblait pouvoir réussir. En l’espace de seulement trois années son armée avait conquis toute l’Europe continentale, depuis la frontière russe jusqu’à la Grande Bretagne. Mais la Russie et l’Angleterre résistaient. En 1812 Napoléon entreprit une nouvelle campagne et envahissait la Russie avec une armée de 600.000 hommes venant de toute l’Europe. Cette campagne fut un désastre, et bientôt une alliance des nations conquises repoussera les armées impériales pour envoyer l’Empereur en exil. Et c’est là que les choses deviennent intéressantes…
Durant les douze mois qui ont suivi, le général encore jeune arrange secrètement une évasion de son exil, rassemble son ancienne armée et reconquiert la ville de Paris. Sans prendre le temps de se reposer et de savourer son succès, il lance une nouvelle attaque contre ses adversaires internationaux. Il semble alors renouer avec son invincibilité. Et voilà que toute l’Europe tremble à nouveau devant l’ombre de l’Empereur. C’était comme une résurrection.
Mais au centième jour après son retour, Napoléon connaît une lourde défaite, lourde et défintive, cette fois, lors de la bataille de Waterloo. Il est renvoyé en exil, et meurt six années plus tard, âgé de 52 ans.
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C’est le sort de tous les royaumes terrestres, qu’ils soient militaires, politiques, académiques, économiques ou sportifs. Après une centaine de jours, ils s’évanouissent comme la fumée. Seul le Christ a fait un retour gagnant définitif, lui seul a remporté une victoire irréversible. De lui seul on peut dire : "Son règne n’aura pas de fin".
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Aujourd’hui savourons donc cette joie pascale, et rendons grâce à Dieu de nous permettre d’avoir part à cette victoire, pour le don de l’espérance.
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Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin. Ne nous contentons pas de nous réjouir, mais changeons nos cœurs. La résurrection du Christ n’est pas seulement une belle idée; c’est la puissance de la vie éternelle qui est à l’œuvre en chacun de nous.
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Alors pourquoi ne pas prendre une bonne résolution pour les huit semaines du Temps pascal pour nous connecter à cette source d'énergie durable?
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Nous avons à peu près tous, je pense, pris des résolutions de Carême. Nous avons pu faire des sacrifices. C’était un moyen pratique de permettre à Dieu d’agir par sa grâce dans nos cœurs.
Alors, si nous avons fait des sacrifices, si nous avons renoncé à quelque chose durant le temps de pénitence du Carême, pourquoi ne pas maintenant accueillir quelque chose comme une façon de vivre la joie du Temps pascal ?
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Dans la deuxième lecture, saint Paul nous a encourages à tendre vers « les réalités d’en haut, et non pas vers celles de la terre ». Pourquoi ne pas prendre une résolution pascale qui pourra nous aider à le faire, qui nous aidera à garder en mémoire la vie éternelle dans le Christ qui nous attend, si nous lui sommes fidèles ?
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Pas besoin de compliquer les choses : par exemple, en invitant un(e) ami(e) ou un membre de notre famille qui a oublié la victoire du Christ à venir à la messe un dimanche, et ensuite à déjeuner à la maison ; ou bien en regardant un beau film ensemble, en famille, chaque dimanche jusqu’à la Pentecôte, un film joyeux, qui fait du bien ; ou bien encore en prenant le temps de lire ou de relire un bon livre, un livre qui est une nourriture pour l'âme et pour l'esprit…
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Si nous demandons au Saint Esprit de nous éclairer, il ne manquera pas de le faire. Il suffit de décider de faire quelque chose pour permettre à la grâce pascale de transformer nos cœurs.
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Cette grâce de Pâques, nous en avons besoin autant que de la grâce du Carême, celle de la pénitence et de la contrition. L’Eglise est une maman qui fait preuve de sagesse en nous donnant six semaines de Carême et huit semaines de Temps pascal.
Aujourd’hui, en communiant au Christ ressuscité dans l’Eucharistie, promettons-lui de trouver un moyen de bénéficier de cette sagesse.
La Lectio Divina (ou "Lecture croyante" ou encore "Lecture sainte")
La Lectio Divina (ou "Lecture croyante" ou encore "Lecture sainte") cherche à s'accorder à ce que la Bible est profondément : à la fois paroles d'hommes et Parole de Dieu.
La Lectio Divina - littéralement "lecture divine" - est une manière de lire la Bible qui cherche à s'accorder à ce qu'elle est profondément. Pour un croyant en effet, Juif ou chrétien, la Bible est à la fois paroles d'hommes et Parole de Dieu.
Dans un contact patient, respectueux, voire amoureux du texte biblique, c'est le souffle même de cette Parole qui pénètre dans le corps de l'être humain, c'est sa "divinité" qui rejoint l'humanité, la façonne, la convertit, la transporte, l'ouvre aux autres et à l'Autre... De ce point de vue, la Lectio Divina pourrait s'appeler aussi "Lecture sainte".
La Lectio Divina (Lecture sainte), est une lecture croyante et familière, dans un climat de prière. Elle permet de se forger une mentalité biblique et d'accueillir le message de bonheur que Dieu nous transmet par le témoignage des croyants qui ont écrit la Bible. Il existe diverses manières de faire cette Lecture, mais elles reposent toutes sur une même exigence : rester proche du texte biblique.
Cette lecture croyante peut se déployer en 3 étapes :
L'observation ou lecture : s'efforcer de bien lire le passage biblique pour lui-même sans pour l'instant chercher la foi qui s'y exprime. Faire attention aux mots clés, aux personnages, à ce qui se passe...
La méditation : À partir de l'observation précédente, faire ressortir les convictions de foi, sur Dieu, l'être humain, l'Alliance, qui s'expriment dans le texte. Ces convictions paraissent-elles ou non importantes ?
La prière ou contemplation : Après un temps de silence, reprendre les mots et les expressions du texte médité, et exprimer au Seigneur comment la méditation rejoint ou provoque notre foi en lui.
Les étapes de la Lectio Divina (Benoît XVI)
Les étapes de la "Lectio Divina" (ou "lecture croyante" ou encore "Lecture Sainte") précisées par le pape Benoît XVI
« Elle s’ouvre par la lecture (lectio) du texte qui provoque une question portant sur la connaissance authentique de son contenu : que dit en soi le texte biblique ? Sans cette étape, le texte risquerait de devenir seulement un prétexte pour ne jamais sortir de nos pensées.
S’en suit la méditation (meditatio)qui pose la question suivante : que nous dit le texte biblique ? Ici, chacun personnellement, mais aussi en tant que réalité communautaire, doit se laisser toucher et remettre en question, car il ne s’agit pas de considérer des paroles prononcées dans le passé mais dans le présent.
L’on arrive ainsi à la prière (oratio)qui suppose cette autre question : que disons-nous au Seigneur en réponse à sa Parole ? La prière comme requête, intercession, action de grâce et louange, est la première manière par laquelle la Parole nous transforme.
Enfin, la lectio divina se termine par la contemplation (contemplatio), au cours de laquelle nous adoptons, comme don de Dieu, le même regard que lui pour juger la réalité, et nous nous demandons : quelle conversion de l’esprit, du cœur et de la vie le Seigneur nous demande-t-il ? Saint Paul, dans la Lettre aux Romains affirme : « Ne prenez pas pour modèle le monde présent, mais transformez-vous en renouvelant votre façon de penser pour savoir reconnaître quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait » (Rm 12
La contemplation, en effet, tend à créer en nous une vision sapientielle de la réalité, conforme à Dieu, et à former en nous « la pensée du Christ » (1 Co 2,16). La Parole de Dieu se présente ici comme un critère de discernement : « elle est vivante, […] énergique et plus coupante qu’une épée à deux tranchants ; elle pénètre au plus profond de l’âme, jusqu’aux jointures et jusqu’aux moelles ; elle juge des intentions et des pensées du cœur » (He 4,12).
Il est bon, ensuite, de rappeler que la lectio divina ne s’achève pas dans sa dynamique tant qu’elle ne débouche pas dans l’action (actio), qui porte l’existence croyante à se faire don pour les autres dans la charité. »
Benoit XVI, Verbum Domini n° 89.