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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
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Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Quand vient pour nous l'heure de la décision
Marie de l'Annonciation, aide-nous à dire "oui"
Quand vient pour nous l'heure du départ
Marie d'Egypte, épouse de Joseph, allume en nous l'Espérance
Quand vient pour nous l'heure de l'incompréhension
Marie de Jérusalem, creuse en nous la patience
Quand vient pour nous l'heure de l'intervention
Marie de Cana, donne-nous le courage de l'humble parole
Quand vient pour nous l'heure de la souffrance
Marie du Golgotha, fais nous rester aux pieds de ceux en qui souffre ton Fils
Quand vient pour nous l'heure de l'attente
Marie du Cénacle, inspire-nous une commune prière
Et chaque jour, quand sonne pour nous l'heure joyeuse du service
Marie de Nazareth, Marie des Monts de Juda, mets en nous ton cœur de servante
Jusqu'au jour où, prenant ta main,
Marie de l'Assomption, nous nous endormirons, dans l'attente du jour de notre résurrection.
Je ne t'accuse pas pour tes sacrifices ;
tes holocaustes sont toujours devant moi.
Je ne prendrai pas un seul taureau de ton domaine,
pas un bélier de tes enclos.
« Qu'as-tu à réciter mes lois,
à garder mon alliance à la bouche,
toi qui n'aimes pas les reproches
et rejettes loin de toi mes paroles ?
« Voilà ce que tu fais ;
garderai-je le silence ?
Penses-tu que je suis comme toi ?
Je mets cela sous tes yeux, et je t'accuse.
« Qui offre le sacrifice d'action de grâce,
celui-là me rend gloire :
sur le chemin qu'il aura pris,
je lui ferai voir le salut de Dieu. »
Je ne crois pas qu’il existe quelqu’un qui ait besoin du secours et de la grâce de Dieu autant que moi. Parfois je me sens si désarmée, si faible. C’est pour cela, je crois, que Dieu se sert de moi. Puisque je ne peux pas compter sur mes propres forces, je me tourne vers lui vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Et si la journée comptait encore plus d’heures, j’aurais besoin de son aide et de sa grâce toutes ces heures durant. Tous nous devons nous accrocher à Dieu par la prière. Mon secret est très simple : je prie. Par la prière, je deviens une dans l’amour avec le Christ. J’ai compris que le prier, c’est l’aimer…
Les gens ont faim de la Parole de Dieu qui apportera la paix, qui apportera l’unité, qui apportera la joie. Mais on ne peut pas donner ce qu’on n’a pas. C’est pour cela qu’il faut approfondir notre vie de prière. Sois sincère dans tes prières. La sincérité, c’est l’humilité, et on n’acquiert l’humilité qu’en acceptant les humiliations. Tout ce qui a été dit sur l’humilité ne suffira pas à te l’enseigner. Tout ce que tu as lu sur l’humilité ne suffira pas à te l’enseigner. On n’apprend l’humilité qu’en acceptant les humiliations, et tu rencontreras l’humiliation tout au long de ta vie. La plus grande des humiliations est de savoir qu’on n’est rien ; voilà ce qu’on apprend lorsqu’on se retrouve face à Dieu dans la prière.
Souvent un regard profond et fervent sur le Christ constitue la meilleure des prières : je le regarde et il me regarde. Dans le face-à-face avec Dieu, on ne peut que savoir qu’on n’est rien et qu’on n’a rien.
Bienheureuse Teresa de Calcutta
Seigneur Jésus aujourd'hui je voudrais te rencontrer dans le saint sacrement exposé. Te regarder et me laisser regarder. Parle à mon coeur Seigneur et fais moi connaître ta volonté.
Je voudrais te suivre de tout mon coeur; donne-moi la force et la lumière de ton esprit saint. Seigneur Jésus tu es la joie de mon coeur, mon sauveur et mon Dieu,
viens me purifier par ton sang précieux,
viens me guérir et me restaurer par le soufflr vivifiant de ton esprit saint,
redonne-moi la joie de vivre et relève-moi.
Suivre le christ est très exigent. Nous sommes appelés à dépasser l'idéale de perfection du monde et être parfaits comme notre Pére céleste. Dans cette quête de perfection nous seront confrontés à des difficultés quotidiennes mais le Christ nous invite à un dépassement de soi.
La croix que nous avons à porter est toute difficulté que nous rencontrons chaque jour dans notre vie de foi: humiliation, raillerie, persécution etc.
Seigneur donne-moi la force de te suivre malgré mes épreuves; soutiens-moi et renouvelle-moi par la puissance de ton esprit saint.
La petite voie de Thérèse : désirer la sainteté
Sainte Thérèse de Lisieux a choisi de croire en l’Amour infini de Dieu… Après nous avoir invités à choisir de consentir à nos limites et à nos pauvretés, elle nous appelle cette semaine à croire à notre vocation à la sainteté. Nous avons commencé lors de la 1ère semaine de ce temps de Carême par regarder nos limites, nos pauvretés…
C’est cela en effet que nous percevons en premier et qui nous pèse bien souvent, sans parler des limites et des défauts des autres. Mais nous aurions pu commencer par cette autre dimension constitutive de la « petite voie » : le désir de la sainteté.
Pourquoi sommes-nous sur la terre ? Espé-rons que nous nous posons parfois la question ! Nous sommes sur terre car Dieu qui est en lui-même communion d’Amour a désiré gratuitement et librement donner à d’autres (c’est nous !) d’expérimenter cette communion. Dieu est un Dieu qui se donne. Il est donc l’origine et la source de notre vie. Jésus vit en plénitude cette communion. Il est Dieu fait homme pour ouvrir l’humanité,
blessée par le mal et le péché, à cette grâce de communion. Recevoir et vivre de ce don de Dieu, unique source de la Sainteté, c’est devenir saint. Nous comprenons alors com-bien l’appel à la sainteté est le fondement de toute vie chrétienne et non une vocation
réservée à une élite. Par le mystère de l’Incarnation, Dieu, révèle que nous sommes appelés à partici-per à la vie divine grâce à Jésus.
Thérèse choisit de répondre à cet appel de Dieu en éveillant sans cesse son désir, en l’orientant vers le projet de Dieu. Le désir est au coeur de la dynamique de la foi. Il ne s’agit pas de n’importe quel désir, mais d’un désir qui ré-pond au désir de Dieu lui-même
Nous désirons bien des choses que nous utilisons parfois pour tenter de nous combler nous-mêmes. Thérèse nous invite à nous rappeler d’où nous venons (du désir de Dieu) et où nous allons : nous ne pour-rons jamais être totalement comblés si ce n’est par Dieu lui-même. Thérèse nous invite donc à élargir et à approfondir le champ de notre désir. Par exemple, nous pouvons désirer réussir, vivre de bonnes choses, que les rencontres avec les autres soient fructueuses …
Mais il arrive bien souvent que nous soyons frustrés, déçus, fatigués voire lassés…
Un premier réflexe consiste à se plaindre, à reje-ter la faute sur soi ou sur les autres et peut-être à chercher à compenser cette situation par la quête d’une autre gratification…
Thérèse a rencontré bien des frustrations dans sa vie, mais elle a cherché à les traverser en se rappelant le terme de sa vie (sa finalité). Aussi une déception devient une occasion de se souvenir que Dieu veut lui donner bien plus qu’une somme de satisfactions passagères. Cela ne veut pas dire qu’il s’agit de fuir toute satisfaction. Les joies de nos vies nous invitent au contraire à rendre grâce et à prendre conscience combien nous sommes
bénéficiaires des réalités qui nous sont sans cesse données. Tout peut et doit être
orienté vers Dieu
Le partage (ou l'aumône) est un point sur lequel nous sommes appelés à faireun effort particulier pendant le Carême. Comme expression de l'ouverture de
notre cœur aux autres. Lorsqu'on parle d'aumône, on pense spontanément àdes dons matériels faits aux plus démunis.Le jeûne que je demande - dit le Seigneur - le voici : partage ton pain avec celuiqui a faim, recueille chez toi les malheureux sas abri, habille celui que tu vois nu,ne te détourne pas de ton frère. Alors, ta lumière éclatera comme l'aurore. (Is 58, 6.8). Mais, en réalité, cela comprend tout ce qui a trait à l'attention aux autres et au don desoi, ce qui est tout à fait personnel à chacun.Cela comprend non seulement les œuvres de la miséricorde corporelle, mais aussi -
et on n'y pense moins souvent - toutes les œuvres de miséricorde spirituelle.
Les œuvres de miséricorde sont les actions charitables par lesquelles nous venonsen aide à notre prochain dans ses nécessités corporelles et spirituelles. Instruire,
conseiller, conforter sont des œuvres de miséricorde spirituelle, comme pardonneret supporter avec patience. Les œuvres de miséricorde corporelle consistent notammentà nourrir les affamés, loger les sans-logis, vêtir les déguenillés, visiter les malades et les
prisonniers, ensevelir les morts. Parmi ces gestes, l'aumône faite aux pauvres est l'un desprincipaux témoignages de la charité fraternelle : elle est aussi une pratique de justice qui plaît à Dieu. (CEC 2447)
Quelles que soient nos actions, ce qui importe, c'est qu'elles soient faites "par amour", en vue de plaire à Dieu : l'aumône expie les péchés et fait trouver miséricorde" (To 12, 9).La religion pure et sans tache aux yeux de Dieu le Père, la voici : visiter les orphelinset les veuves dans leur détresse... (Jc 1, 27) nous pouvons donc inscrire à notre programme les visites ou l'accueil des personnes âgées ou isolées, les visites aux malades, les soins aux handicapés...
Parmi les œuvres de miséricorde spirituelle, il y a encore une autre forme d'aumône, à laquelle on ne pense pas toujours, qui consiste à prier et faire pénitence pour ceux qui ne le font pas.
Le surplus dont nous nous priverons pendant ce Carême (friandises pour les enfants ; pour les adultes : tabac, alcool, spectacles …) nous donnera la possibilité d'aider au loin ceux qui souffrent des malheurs de la guerre ou des persécutions.
Les enfants, souvent plus généreux que nous, savent ouvrir leur cœur à la souffrance des autres. Encore faut-il les y inciter et les encourager. Là encore, l'exemple des parents est déterminant.
« La fête »… Et quelle fête ! Une des plus belles qu’il était possible de voir à Jérusalem, selon le témoignage des auteurs antiques. Une fête où la joie était un commandement de Dieu, où les inégalités sociales semblaient nivelées, tous séjournant dans des huttes en mémoire de la fin de l’esclavage et de la sortie d’Égypte. Sept jours de réjouissances, où les chants et les danses côtoyaient la liturgie du Temple, avec sa symbolique d’eau et de lumière. Et de nombreux, très nombreux sacrifices. « Vous vous réjouirez pendant sept jours en présence du Seigneur votre Dieu. » (Lv 23,40) Jésus, quand les siens lui demandent de monter à Jérusalem avec eux, décline leur invitation : « le moment n’est pas encore venu ». Ils sont pourtant nombreux ceux qui l’attendent à Jérusalem : la foule est partagée à son sujet, et déjà, on cherche à le tuer. Et voici que Jésus apparaît au Temple, il enseigne, et tous sont subjugués par sa sagesse et sa lucidité. Il n’est pas surpris des propos haineux, des projets homicides des grands prêtres, des pharisiens. Il le leur avait déjà dit : « vous n’avez pas en vous l’amour de Dieu. » (Jn 5, 42) Mais personne ne peut l’empêcher d’enseigner : « celui qui m’a envoyé dit la vérité, lui que vous ne connaissez pas. Moi, je le connais parce que je viens d’auprès de lui, et c’est lui qui m’a envoyé » (Jn 7, 28-29) Beaucoup croient en lui, et il sait qu’il doit aller jusqu’au don de sa vie, pour que eux aussi vivent de l’amour qui est en lui : « Je leur ai fait connaître ton nom, et je le ferai connaître, pour que l’amour dont tu m’as aimé soit en eux, et que moi aussi, je sois en eux. » (Jn 17, 26). Mais son « heure », qui se fait proche, n’est pas encore venue.
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l'amour.
Là où est l'offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l'union.
Là où est l'erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l'espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu'à consoler,
à être compris qu'à comprendre,
à être aimé qu'à aimer.
Car c'est en se donnant qu'on reçoit,
c'est en s'oubliant qu'on se retrouve,
c'est en pardonnant qu'on est pardonné,
c'est en mourant qu'on ressuscite à l'éternelle vie.
La foule se divisa." Comme souvent chez Jean, une division s’opère entre ceux qui croient et ceux qui ne croient pas. Il n’y a pas d’autre alternative. Personne ne reste indifférent au message du Christ. A nous aussi il est demandé de prendre position : croyons-nous ou pas ? Et si nous croyons, comment vivons-nous notre foi ? Nous ne pouvons pas être chrétiens de façon anecdotique : participer à l’eucharistie le dimanche et laisser le Christ de côté le reste de la semaine. Tout notre être, toute notre vie doit être un témoignage de ce que le Christ vient transformer en nous. C’est pourquoi il ne faut pas avoir peur de s’engager à la suite du Christ, de lui donner notre oui. Frère Roger, fondateur de la communauté de Taizé, écrivait en 1973 dans Lutte et contemplation : "Renonçant à regarder en arrière, celui qui prononce ce oui dit et redit au Christ, sa vie durant : "Je te fais confiance, je te crois sur parole." Attendre une totale lucidité pour dire un oui qui reste oui, n’est-ce pas s’exposer à n’avoir plus que des restes à offrir ? Une fois prononcé, le oui est le pivot autour duquel s’élabore une créativité continue, il est une colonne autour de laquelle l’homme virevolte dans la liberté, une source près de laquelle il danse."
Nous te prions, Seigneur, pour que de nombreux jeunes aujourd’hui découvrent la beauté et la force de l’engagement, la joie de prononcer un oui pour toujours, de se donner sans réserve, de te faire confiance.
Dans la foi d’Israël, Dieu est celui qui donne la vie ou la mort (Dt 30,15-20). A l’époque de Jésus, beaucoup de juifs croyaient en la vie après la mort, tandis que d’autres, comme les sadducéens, n’y croyaient pas (Cf. Ac 23,6). L’enjeu ici, pour Jésus, est de redire cette espérance en la résurrection et de faire comprendre à Marthe et Marie qu’il est lui-même, Jésus, porteur de ce don : Celui qui croit en lui ne mourra jamais.
La bonne nouvelle de la résurrection pour les chrétiens est double : elle concerne la vie dans l’au-delà, mais aussi la vie présente. Pour l’au-delà, celui qui vit en communion avec Jésus a l’assurance d’une vie heureuse après la mort. Quant au temps présent, de la même manière que nous faisons tous et toutes sur terre l’expérience de multiples « morts » spirituelles et morales (péché, détresses, dépressions, ruptures relationnelles…), le christ propose à ceux qui le suivent de multiples résurrections, des capacités à « renaître » selon l’expression que Jésus emploie avec Nicodème (Jn 3,3), ces moments où, porté(e)s par l’Esprit du Christ, nous faisons l’expérience de la vie qui jaillit à l’intérieur de nous et redonne vie à ce que nous pensions perdu, malade ou mort.
Seigneur donne à tous les chrétiens de savoir témoigner avec force de la vitalité intérieure qui les anime.