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Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
Par Anonyme, le 10.05.2021
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Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
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Or près de la Croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Jésus donc voyant sa mère et, se tenant près d'elle, le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : « femme, voici ton fils. » Puis il dit au disciple: « Voici ta mère. » Dès cette heure-là, le disciple l'accueillit chez lui.
Saint Jean nous indique la présence de la mère auprès de la Croix de Jésus, mais aucun évangéliste ne parle directement d’une rencontre entre eux deux.
En réalité, dans cette présence de la mère est concentrée l’expression la plus dense et la plus élevée de la rencontre. Dans l’apparente immobilité du verbe se tenirvibre l’intime vitalité d’un dynamisme.
C’est le dynamisme intense de la prière, qui se joint à sa passivité apaisée. prier c’est se laisser envelopper par le regard amoureux et vrai de Dieu, qui nous révèle à nous-mêmes et nous envoie en mission.
Dans la prière authentique, la rencontre personnelle avec Jésus rend mèreet disciple aimé,engendre la vie et transmet l’amour. Elle dilate l’espace intérieur de l’accueil et tisse des liens mystiques de communion, en nous confiant l’un à l’autre et en ouvrant le tuau nousde l’église.
Humble Jésus,
quand les tribulations et les injustices de la vie,
la souffrance innocente et la violence impitoyable
nous font vitupérer contre toi,
tu nous invites à nous tenir, comme ta mère, au pied de la Croix.
Quand nos attentes et nos initiatives,
sans avenir ou marquées par l’échec,
nous amènent à fuir dans le désespoir,
tu nous ramènes à la force de l’attente.
Nous avons réellement oublié
la puissance de se tenir comme expression de la prière !
Viens, Esprit de Vérité,
sois le « cri de notre cœur »,
qui, incessant et inexprimable,
se tienten confident en présence de Dieu !
A quel(s) sujet(s) ai-je clairement entendu Dieu me donner des indications la semaine passée ou ces derniers temps ? Les ai-je suivies et en ai-je éprouvé de la joie ? ? Remercions-en Dieu et prions que nous restions résolument à l’écoute et accrochés à Jésus, à sa Parole et à nos responsabilités dans le royaume de Dieu
Verset à méditer : Hébreux 10,35-36:« Ne perdez pas votre assurance ; grâce à elle, vous serez largement récompensés. Car l’endurance vous est nécessaire pour accomplir la volonté de Dieu et obtenir ainsi la réalisation des promesses.»
Seigneur, tu as ouvert les yeux de Simon de Cyrène, lui donnant, par le partage de ta croix, la grâce de la foi. Aide-nous à venir en aide à notre prochain qui souffre, même si cet appel est contraire à nos projets et à nos penchants. Donne-nous de reconnaître que partager la croix des autres, et comprendre vraiment que c'est une grâce de marcher ainsi avec toi. Donne-nous de reconnaître avec joie que c'est précisément en partageant ta souffrance et les souffrances de ce monde que nous devenons serviteurs du salut et qu'ainsi, nous pouvons construire ton Corps qui est l’Église.
O Seigneur, que sans hésiter nous acceptions de prendre part à votre Passion, que nous portions, dans la joie, notre croix et celles des autres, pour la gloire de Dieu !
En ce temps-là, il y avait quelqu'un de malade, Lazare, de Béthanie, le village de Marie et de Marthe, sa sœur. Or Marie était celle qui répandit du parfum sur le Seigneur et lui essuya les pieds avec ses cheveux. C’était son frère Lazare qui était malade. Donc, les deux sœurs envoyèrent dire à Jésus : « Seigneur, celui que tu aimes est malade. » En apprenant cela, Jésus dit : « Cette maladie ne conduit pas à la mort, elle est pour la gloire de Dieu, afin que par elle le Fils de Dieu soit glorifié. » Jésus aimait Marthe et sa sœur, ainsi que Lazare. Quand il apprit que celui-ci était malade, il demeura deux jours encore à l’endroit où il se trouvait. Puis, après cela, il dit aux disciples : « Revenons en Judée. » Les disciples lui dirent : « Rabbi, tout récemment, les Juifs, là-bas, cherchaient à te lapider, et tu y retournes ? » Jésus répondit : « N’y a-t-il pas douze heures dans une journée ? Celui qui marche pendant le jour ne trébuche pas, parce qu’il voit la lumière de ce monde ; mais celui qui marche pendant la nuit trébuche, parce que la lumière n’est pas en lui. » Après ces paroles, il ajouta : « Lazare, notre ami, s’est endormi ; mais je vais aller le tirer de ce sommeil. » Les disciples lui dirent alors : « Seigneur, s’il s’est endormi, il sera sauvé. » Jésus avait parlé de la mort ; eux pensaient qu’il parlait du repos du sommeil. Alors il leur dit ouvertement : « Lazare est mort, et je me réjouis de n’avoir pas été là, à cause de vous, pour que vous croyiez. Mais allons auprès de lui ! » Thomas, appelé Didyme (c’est-à-dire Jumeau), dit aux autres disciples : « Allons-y, nous aussi, pour mourir avec lui ! » À son arrivée, Jésus trouva Lazare au tombeau depuis quatre jours déjà. Comme Béthanie était tout près de Jérusalem – à une distance de quinze stades (c’est-à-dire une demi-heure de marche environ) –, beaucoup de Juifs étaient venus réconforter Marthe et Marie au sujet de leur frère. Lorsque Marthe apprit l’arrivée de Jésus, elle partit à sa rencontre, tandis que Marie restait assise à la maison. Marthe dit à Jésus : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. Mais maintenant encore, je le sais, tout ce que tu demanderas à Dieu, Dieu te l’accordera. » Jésus lui dit : « Ton frère ressuscitera. » Marthe reprit : « Je sais qu’il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. » Jésus lui dit : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Elle répondit : « Oui, Seigneur, je le crois : tu es le Christ, le Fils de Dieu, tu es celui qui vient dans le monde. » Ayant dit cela, elle partit appeler sa sœur Marie, et lui dit tout bas : « Le Maître est là, il t’appelle. » Marie, dès qu’elle l’entendit, se leva rapidement et alla rejoindre Jésus. Il n’était pas encore entré dans le village, mais il se trouvait toujours à l’endroit où Marthe l’avait rencontré. Les Juifs qui étaient à la maison avec Marie et la réconfortaient, la voyant se lever et sortir si vite, la suivirent ; ils pensaient qu’elle allait au tombeau pour y pleurer. Marie arriva à l’endroit où se trouvait Jésus. Dès qu’elle le vit, elle se jeta à ses pieds et lui dit : « Seigneur, si tu avais été ici, mon frère ne serait pas mort. » Quand il vit qu’elle pleurait, et que les Juifs venus avec elle pleuraient aussi, Jésus, en son esprit, fut saisi d’émotion, il fut bouleversé, et il demanda : « Où l’avez-vous déposé ? » Ils lui répondirent : « Seigneur, viens, et vois. » Alors Jésus se mit à pleurer. Les Juifs disaient : « Voyez comme il l’aimait ! » Mais certains d’entre eux dirent : « Lui qui a ouvert les yeux de l’aveugle, ne pouvait-il pas empêcher Lazare de mourir ? » Jésus, repris par l’émotion, arriva au tombeau. C’était une grotte fermée par une pierre. Jésus dit : « Enlevez la pierre. » Marthe, la sœur du défunt, lui dit : « Seigneur, il sent déjà ; c’est le quatrième jour qu’il est là. » Alors Jésus dit à Marthe : « Ne te l’ai-je pas dit ? Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu. » On enleva donc la pierre. Alors Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, je te rends grâce parce que tu m’as exaucé. Je le savais bien, moi, que tu m’exauces toujours ; mais je le dis à cause de la foule qui m’entoure, afin qu’ils croient que c’est toi qui m’as envoyé. » Après cela, il cria d’une voix forte : « Lazare, viens dehors ! » Et le mort sortit, les pieds et les mains liés par des bandelettes, le visage enveloppé d’un suaire. Jésus leur dit : « Déliez-le, et laissez-le aller. » Beaucoup de Juifs, qui étaient venus auprès de Marie et avaient donc vu ce que Jésus avait fait, crurent en lui.
Nous approchons de la fin du Carême. Les textes bibliques de ce dimanche nous laissent entrevoir la joie de Pâques, la victoire de la vie sur la mort. Nous sommes invités à participer à cette victoire en nous engageant au service de la paix et de la vie.
Pour ce combat, c’est vers le Seigneur que nous nous tournons. Les textes bibliques de ce dimanche voudraient nous y aider.
L’Évangile de ce dimanche nous fait assister à la sortie de Lazare de son tombeau. À travers ce geste extraordinaire, Jésus exprime pleinement son pouvoir sur la mort. Les disciples savent que cette montée vers Jérusalem est une marche vers la mort. Malgré leur incrédulité, il veut leur faire comprendre que cette route s’achèvera par la victoire de la vie.
De cet Évangile, nous devons surtout retenir la déclaration solennelle de Jésus : « Je suis la résurrection et la vie ; celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ». Puis nous avons la réponse de Marthe : « Oui, Seigneur, je crois. » En lisant cet Évangile, nous prenons conscience d’une réalité importante : ce n’est pas seulement Lazare qu’il faut sortir de son tombeau ; c’est l’humanité tout entière qu’il faut délivrer de la mort. Nous sommes tous appelés à sortir de notre égoïsme, notre indifférence, notre péché. Comme pour Lazare, le Seigneur nous dit à tous : « Viens dehors ! »
Un simple retour à la vie ne fait que reculer l’échéance. Le Christ veut nous faire émerger à une autre vie. Il nous appelle à une vie nouvelle. Ce sera le triomphe de la vie sur la mort. C’est une vie qui ne passera pas. Mais avant toute chose, il nous faut entendre l’appel du Christ qui veut nous faire sortir de notre tombeau. Avec lui, c’est l’avènement merveilleux de la victoire de la vie sur la mort. Nous sommes invités à vivre ce carême comme un passage vers une vie plus juste, plus solidaire, plus ouverte à Dieu et aux autres. Avec le Christ, nous pouvons toujours triompher de nos peurs et retrouver le courage et l’espérance de repartir en avant. C’est chaque jour qu’il nous faut ressusciter avec lui.
Aujourd’hui, le même Christ compte sur nous pour participer à cette œuvre de libération. Beaucoup de nos frères et sœurs sont un peu comme s’ils étaient enfermés dans des tombeaux. Nous pensons à tous ceux qui sont opprimés, sans travail, affamés ou malades. Nous croyons que le Seigneur peut ouvrir ces tombeaux-là. Mais nous savons aussi que sa parole et son action passent par nos engagements.
Le Christ nous apprend à écouter et à nous laisser toucher par leur souffrance. Il nous invite à ouvrir notre cœur, nos yeux, nos oreilles et nos mains. Les bandelettes qui entourent Lazare sont le symbole de notre égoïsme, de notre froideur et de notre indifférence. C’est de cela que Jésus veut nous libérer.
En appelant Lazare à venir dehors, Jésus s’adresse aussi à tous les hommes. Il les appelle tous par leur nom. Avec lui, la mort ne peut avoir le dernier mot. Elle est devenue un passage, une porte vers l’éternité. En ce jour, nous faisons nôtre la profession de foi de Marthe: « Je crois, Seigneur ; tu es le Fils de Dieu qui vient sauver le monde. »
Délivre-nous, Seigneur, de toutes les formes de puissance visible ou invisible, du terrorisme et de la violence, du mensonge, de la méchanceté et surtout de la bonne conscience.
Délivre-nous, Seigneur, du mal que nous avons subi et du mal que nous avons fait, du mal que nous n'avons pas voulu, du mal que nous avons désiré, cherché et aimé. Délivre-nous et le monde de toutes perversions.
Délivre-nous, Seigneur, du mal que nous n'avons pas pardonné et du mal que nous n'avons pas oublié, du mal que nous avons rendu et de celui que nous avons gardé.
Délivre-nous, Seigneur, de tout ce dont nous n'avons pas réussi nous-mêmes à nous délivrer et de tout ce qui nous éloigne de toi.
Seigneur, prend-nous en pitié, Ô Christ prend-nous en pitié, Seigneur prend-nous en pitié.
Donne nous ta paix, Seigneur, laisse-nous Ta paix.
Amen !
En cette dernière semaine de carême avant la semaine sainte nous sommes invités à recevoir le sacrement de la réconciliation. C'est très important si nous voulons bénéficié des fruits de nos différentes pénitences et privations.
Il convient de se poser tout à nouveau cette question devant Dieu : « Qui est-ce que je sers vraiment ? » Un idéal, la communauté, une entreprise, l’argent, la sécurité ou bien Dieu ?
Si c’est Dieu que nous servons, nous pouvons, comme le psalmiste, Lui demander : grâce, compréhension, intelligence et sagesse. Il nous les donnera volontiers.
VERSETS A MÉDITER
Jean 12 (25-26):«Qui aime sa vie la perd ; qui s’en détache en ce monde la gardera pour la vie éternelle. Si quelqu’un veut me servir, qu’il me suive ; et là où moi je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera. »
Colossiens 3, 23: «Quel que soit votre travail, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur et non pour plaire à des hommes »
2 Corinthiens 6, 4: «Au contraire, en tout, nous nous recommandons nous-mêmes comme des ministres de Dieu : par beaucoup d’endurance, dans les détresses, les difficultés, les angoisses.»
Il est dit dans Actes 17 :31: « Dieu a fixé un jour où il jugera le monde avec justice par l’homme qu’il a désigné. Il en a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant. » Nous élevons Jésus comme Roi sur toutes les nations, Il viendra et jugera les nations selon la justice et la vérité.
Versets à méditer
Psaume 9, 9:« il juge le monde avec justice et gouverne les peuples avec droiture.»
Psaume 96, 13:« devant la face du Seigneur, car il vient, car il vient pour juger la terre. Il jugera le monde avec justice, et les peuples selon sa vérité !»
Psaume 98, 9:« à la face du Seigneur, car il vient pour gouverner la terre, * pour gouverner le monde avec justice et les peuples avec droiture ! »
Psaume 145, 17:« Le Seigneur est juste en toutes ses voies, fidèle en tout ce qu'il fait. »
Apocalypse 15 (3-4):« Ils chantent le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l’Agneau. Ils disent : « Grandes, merveilleuses, tes œuvres, Seigneur Dieu, Souverain de l’univers ! Ils sont justes, ils sont vrais, tes chemins, Roi des nations.»
Jésus, qui avez dit aux femmes de Jérusalem: « Ne pleurez pas sur Moi, mais sur vous et sur vos enfants »,donnez-nous la grâce de la vraie contrition qui transforme le cœur et l’esprit et de contribuer ainsi à la transformation du monde.
Ayez pitié de nous, Seigneur.
Ayez pitié de nous.
Que, par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix.Amen !
Ce verset nous invite à confier à Dieu, dès l’aube, tout ce qui nous arrivera aujourd’hui ! Voici deux autres promesses à ce sujet : « Recommande ton activité à l’Eternel et tes projets seront affermis. ». (Proverbes 16 :3), et « Lorsque je t’ai appelé, tu m’as répondu, tu m’as encouragé, tu m’as fortifié. » (Psaume 138:3).
Une dernière fois, Seigneur, tu tombes. Comment demeurer insensible devant tant de douleurs? Comment ne pas vouloir tout donner pour soulager, ne serait-ce qu’un instant, le Cœur souffrant du Christ ? Seigneur, que nous consolions ton pauvre Cœur, en faisant de notre vie un chant d’amour et de louange et qu’en toi nous trouvions le repos!
Ayez pitié de nous, Seigneur.
Ayez pitié de nous.
Que, par la miséricorde de Dieu, les âmes des fidèles défunts reposent en paix.Amen !