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merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
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14.03.2020
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La fête de la Sainte Croix se rattache à la consécration de la basilique de l’Anastasie (« résurrection » en grec), édifiée sur le lieu du Golgotha et du Sépulcre par Constantin, à la suite d’un pèlerinage en Terre Sainte de sa mère, sainte Hélène, qui crut y découvrir la Croix du Christ en 326. Signe de malédiction comme il est dit dans l’Écriture (Galates 3.13), la Croix est devenue signe de bénédiction, grâce à la mort du Christ en qui « nous avons le salut, la vie et la résurrection » (introït de la messe).
Les Pères de l’Église ont mis en parallèle le bois de la transgression, l’arbre du paradis par lequel est venue la mort (Genèse 3), et l’arbre de l’obéissance, la Croix d’où nous vient la vie. Une hymne de Romanos le Mélode met sur les lèvres du bon larron cet hommage rendu à la Croix « Tu as ouvert la porte des délices, fermée jadis par le péché qu’Adam avait commis dans le paradis. Tu nous as donné en grâce la vie totale, ô bois triplement béni ».
L’Église nous invite aujourd’hui 14 septembre à prendre la mesure de la miséricorde de Dieu et de notre péché. Comme les Hébreux au désert, il nous faut oser voir notre misère en face et la reconnaître comme telle pour en être guéri. L’amour miséricordieux de notre Dieu n’attend pas autre chose pour faire son œuvre en nous. « Dieu a restauré la nature humaine plus admirablement qu’il ne l’avait instaurée » (saint Anselme), telle est la source de notre émerveillement et de notre allégresse devant ce qui reste pour nous un mystère.
Aussi, l’Église nous invite à recevoir cette sagesse divine dont Marie a pleinement vécu à la Croix : la souffrance du monde, folie et scandale, deviennent, dans le sang du Christ, cri d’amour et semence de gloire pour chacun d’entre nous.
Prions: Seigneur Jésus, dans les moments de doute et d’inquiétude, aide nous à nous rappeler qu’aucune parole, aucune violence, aucune condamnation, aucune douleur des hommes n’est au delà de ce que tu as entendu et supporté, pour nous permettre de tenir ferme dans notre vie de foi. Amen !
Sainte Marie, tu appartenais
aux âmes humbles
et grandes en Israël qui, comme Syméon,
attendaient « la consolation d'Israël » (Lc 2, 25) et qui, comme Anne,
attendaient « la délivrance de Jérusalem » (Lc 2, 38).
Tu vivais en contact intime avec les Saintes Écritures d'Israël,
qui parlaient de l'espérance
– de la promesse faite à Abraham et à sa descendance (cf. Lc 1, 55).
[...]
« Voici la servante du Seigneur;
que tout se passe pour moi selon ta parole » (Lc 1, 38).
Quand remplie d'une sainte joie
tu as traversé en hâte les monts de Judée pour rejoindre ta parente Élisabeth,
tu devins l'image de l'Église à venir qui, dans son sein,
porte l'espérance du monde
à travers les monts de l'histoire.
Mais à côté de la joie que,
dans ton Magnificat,
par les paroles et par le chant
tu as répandue dans les siècles,
tu connaissais également
les affirmations obscures des prophètes
sur la souffrance du serviteur de Dieu en ce monde
Sainte Marie, Mère de Dieu, notre Mère,
enseigne-nous à croire,
à espérer et à aimer avec toi.
Indique-nous le chemin vers son règne !
Étoile de la mer,
brille sur nous et conduis-nous sur notre route!
Benoît XVI, encyclique SPE SALVI
Avant la clôture officielle qui aura lieu à Rome ce 20 novembre, par le pape François, nous rendons grâces à Dieu dans nos Eglises et dans nos pays pour cette grande et riche année. Cette année jubilaire nous a permis de connaitre et de vivre encore une fois, une des richesses de notre Foi. Cette année sainte qui a été ouverte le 8 décembre 2015, a permis à chacun de contempler Dieu notre Père à travers tous les signes visibles et invisibles de son amour, sa réconciliation, sa puissance, sa paix et sa joie manifestés dans nos Eglises et dans le monde, dans nos familles et dans la vie de chacun, dans nos lieux de travail ou de rencontres.
Durant toute cette année, chacun était invité à poser un geste concret nommé traditionnellement œuvre de miséricorde :
• Donner à manger aux affamés
• Donner à boire à ceux qui ont soif
• Vêtir ceux qui sont nus
• Accueillir les étrangers
• Assister les malades
• Visiter les prisonniers
• Ensevelir les morts
• Conseiller ceux qui sont dans le doute
• Enseigner les ignorants
• Avertir les pécheurs
• Consoler les affligés
• Pardonner les offenses
• Supporter patiemment les personnes ennuyeuses
• Prier Dieu pour les vivants et pour les morts
• Favoriser la rencontre avec ces religions et les autres nobles traditions religieuses pour mieux nous connaître et nous comprendre
• Se rendre en pèlerinage dans un sanctuaire pour franchir la "porte de la miséricorde, pour ceux qui le peuvent.
Au terme de ce grand pèlerinage d’une année, soutenu dans nos prières et nos efforts par notre Mère, la sainte vierge Marie, Mère de miséricorde, nous avons tous fait l’expérience de cette miséricorde du Père, qui se donne gratuitement mais qui demande des efforts de notre part et de la part de nos proches. Beaucoup a été fait mais le travail, la moisson n’est pas terminée. Elles sont encore nombreuses, ces personnes qui n’ont pas vu de changement dans leur vie et celle de leurs proches cette année. Dieu fait toute chose belle en son temps. A l’image d’un petit enfant qui souhaite avoir une vraie voiture pour conduire ses parents à l’église tous les dimanches, aussi, certaines de nos nobles demandes resteront sans suite pour le moment. Dieu seul connait le jour et l’heure de leurs accomplissements. Demeurons donc ferme dans la prière les uns pour les autres dans l’attente de ce grand jour pour certains de nos frères et sœurs. Dieu est amour et son amour sans limite se manifeste admirablement tous les jours dans ses sacrements. Puissions-nous continuer sans aucune peur, à prier, demander conseils et nous préparer convenablement pour la réception de ces dons et ces grâces de Dieu, indispensable pour notre quête de la sainteté chaque jour de notre vie.
C’est le 20 novembre 2016, en la solennité liturgique du Christ, Roi de l’Univers, que sera conclue l’Année jubilaire. En refermant la Porte Sainte ce jour-là, nous serons animés de sentiments de gratitude et d’action de grâce envers la Sainte Trinité qui nous aura donné de vivre ce temps extraordinaire de grâce.Nous confierons la vie de l’Eglise, l’humanité entière et tout le cosmos à la Seigneurie du Christ, pour qu’il répande sa miséricorde telle la rosée du matin, pour une histoire féconde à construire moyennant l’engagement de tous au service de notre proche avenir. Combien je désire que les années à venir soient comme imprégnées de miséricorde pour aller à la rencontre de chacun en lui offrant la bonté et la tendresse de Dieu! Qu’à tous, croyants ou loin de la foi, puisse parvenir le baume de la miséricorde comme signe du Règne de Dieu déjà présent au milieu de nous.
« La miséricorde est le propre de Dieu dont la toute-puissance consiste justement à faire miséricorde ».Ces paroles de saint Thomas d’Aquin montrent que la miséricorde n’est pas un signe de faiblesse, mais bien l’expression de la toute-puissance de Dieu. C’est pourquoi une des plus antiques collectes de la liturgie nous fait prier ainsi : « Dieu qui donne la preuve suprême de ta puissance lorsque tu patientes et prends pitié ». Dieu sera toujours dans l’histoire de l’humanité comme celui qui est présent, proche, prévenant, saint et miséricordieux.
Pape François, le visage de la miséricorde n° 5-6
Bonne fête de fin d'année de la miséricorde à tous, à chacune et à chacun. Excellente semaine à tous !
En ce temps-là, voyant les foules, Jésus gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent de lui. Alors, ouvrant la bouche, il les enseignait. Il disait :
« Heureux les pauvres de cœur, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
Heureux les doux, car ils recevront la terre en héritage.
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés.
Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde.
Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu.
Heureux les artisans de paix, car ils seront appelés fils de Dieu.
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice, car le royaume des Cieux est à eux.
Heureux êtes-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense est grande dans les cieux ! »
C’est aujourd’hui la fête de tous ceux et celles qui sont près de Dieu.Le livre de l’Apocalypse nous dit qu’ils sont une foule immense que nul ne peut dénombrer.
C’est en Jésus que nous trouvons le vrai bonheur. Lui-même nous en montre le chemin dans son sermon sur la montagne. Cet Évangile des béatitudes c’est celui de la joie. Ce bonheur est à recevoir dans l’immédiat. C’est lui qui donne tout son sens à notre vie actuelle ; nous sommes en marche vers ce monde nouveau que Jésus appelle le Royaume de Dieu. Dans cet Évangile des béatitudes, Jésus ne commande rien : simplement, il déclare heureux ceux qui se comportent d’une certaine manière, ceux dont le cœur est conforme à la Parole de Dieu.
« Heureux les pauvres de cœur… ceux qui pleurent… ceux qui sont persécutés pour la justice… les cœurs purs… les miséricordieux… » Nous sommes loin de la mentalité de notre société actuelle. Quand les chrétiens veulent proclamer la vérité de l’Évangile, ils sont tournés en dérision, on les traite d’intégristes. On a recours à la violence pour posséder toujours plus. Mais au bout du compte, l’accumulation de biens matériels ne pourra jamais nous combler.
L’Évangile des béatitudes est là pour nous rappeler que Dieu seul peut nous combler pleinement. C’est en allant vers lui que nous trouvons « la meilleure part ». Mais cela ne sera possible que si nous restons vraiment ouverts à ce cadeau de Dieu. Si nous restons accaparés par la course à l’argent et aux richesses, nous passons à côté du but.Ce qui fera la valeur de notre vie c’est notre amour pour Dieu et pour les autres. C’est en donnant la priorité à Dieu, et en renonçant à tout ce qui nous détourne de lui que nous trouverons le chemin du vrai bonheur. Lui seul pourra nous combler pleinement. Tout cela, c’est l’œuvre du seigneur : Avec une infinie délicatesse, il nous fait avancer d’étape en étape ; il nous fait abandonner ce qui nous retient loin de lui ; il guérit nos blessures, il redresse ce qui est faussé à nous, sans le briser.
En cette année 2016, la 5ème béatitude doit plus fortement attirer notre attention :« Heureux les miséricordieux car ils obtiendront miséricorde ».Nous vivons l’année sainte de la miséricorde voulue par le pape François. Nous sommes tous invités à écouter Jésus« qui a établi la miséricorde comme idéal de vie et comme critère de crédibilité de notre foi ». Oui, « heureux les miséricordieux ! ». C’est la béatitude qui doit susciter notre engagement tout particulier en cette année sainte.
Le grand message de ce jour c’est que Dieu seul est saint. Mais il veut nous associer tous à sa sainteté. Il fait sans cesse le premier pas vers nous. Quand nous lisons la Bible, nous voyons que son amour n’est pas seulement affirmé ; il est agissant, il est visible, il est concret. Il ne demande qu’à venir en nous pour nous combler de joie et de paix. Avec tous les chrétiens du monde entier nous pouvons le chanter et l’acclamer :« Dieu nous te louons, Seigneur, nous t’acclamons dans l’immense cortège de tous les saints. »
BONNE FÊTE DE LA TOUSSAINT
QUE D'ABONDANTES GRÂCES NOUS SOIENT ACCORDEES EN CE JOUR
Je vous invite à écouter ce magnifique chant qui nous transporte au ciel !
NOTRE PRIÈRE DU JOUR 06 OCTOBRE 2016
Notre Dame du Rosaire, bien que nous ayons nous-mêmes besoin de secours, nous osons te prier : Va secourir et consoler ceux qui ont besoin de ton aide. Voici que sévit la violence et la haine, le mépris et le orgueil entraînant la souffrance de millions d’hommes, de femmes et d’enfants nuit et jour dans leur corps et âme. Montre-toi mère et fortifie-les.
Des millions de familles divisées, des personnes ont perdu leur chez-soi et errent démunis, parmi des étrangers. Tu as connu cette déréliction durant ta fuite en Egypte : sois-leur recours et force.
Par toute la douleur que tu as endurée sous la Croix, nous te prions de consoler les malades et les blessés, de donner du courage aux prisonniers, et d’assister à l’heure de leur mort ceux qui doivent mourir.
Beaucoup d’églises sont fermées ou détruites ; beaucoup de paroisses sont sans pasteur. Partout l’Enfer mène son assaut. Montre que tu es mère, et protège l’Eglise de ton divin Fils et ses pasteurs. Protège aussi les prêtres qui, au front et dans les hôpitaux, font l’office du Bon Samaritain. Donne la force aux séminaristes qui aspirent à l’ordination. Éveille des vocations malgré les difficultés de l’heure, et veille à ne pas laisser s’éteindre l’ardeur de la foi et de la vertu, ni se briser la fidélité à la Sainte Eglise.
Bénie et fortifie nos évêques en leur lourde tâche. Protège et soutiens avant tout notre Saint-Père, dont le cœur se brise à la pensée de son impuissance à soulager les misères, à calmer les souffrances et à rétablir la paix.
Et si tu passes là où nos parents et nos familles, nos amis et ceux qui ont œuvré avec nous et qui prient depuis si longtemps pour un monde de paix, de justice et de charité dis-leur, ô Notre-Dame du Rosaire, que tu veilles sur nous, maintenant et à l’heure de notre mort. Notre Dame du Rosaire, dans notre extrême détresse, montre-toi mère et prie ton divin Fils pour ce monde.
Amen !
L’Église nous invite aujourd’hui à contempler Marie debout au pied de la Croix, en cette heure où elle fut associée aux souffrances de son Fils et donnée pour mère à Jean, figure de tous les disciples présents et à venir. La ‘Mère Pleurante’ de Warfhuizen, Notre-Dame des Douleurs est aussi appelée Notre-Dame de la Miséricorde, Notre-Dame du Soledade, Notre-Dame des Angoisses, Notre-Dame des Larmes, Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, Notre-Dame du Calvaire ou encore Notre-Dame du Pranto, et invoquée en latin comme Beata Maria Virgo Perdolens, ou Mater Dolorosa est l’un des titres par lesquels l’Église Catholique vénère la Vierge Marie.
La compassion de Marie nous dit ce qu’« accomplit une charité qui après celle de Jésus n’a pas son pareil » (Saint Bernard). Vraiment mère, « elle n’abandonnait pas son fils, pas même dans les terreurs de la mort », elle « “dont l’amour était fort comme la mort” et même est-il dit “plus fort que la mort” » (Guerric d’Igny). De même, par amour, Marie consentait pleinement au sacrifice rédempteur de son Fils nous enfantant à une vie nouvelle, « souffrant comme une femme qui donne la vie » (Rupert de Deutz). Marie est la première à avoir souffert « ce qui manque à la passion du Christ » (Colossiens 1.24). Saint Bernard ira jusqu’à parler du martyre de Marie, accompli dans son âme. Figure de l’Église, qui est toute entière mariale (C. Journet). Marie nous invite à nous unir, nous aussi, à la passion du Christ pour avoir part, comme elle, à la gloire de sa résurrection.
De la même façon que la Sainte Vierge a pris soin de son Fils, l’a éduqué, l’a soutenu, l’a consolé, l’a aimé de tout son cœur de mère et ne l’a jamais abandonné jusqu’au moment de sa mort, elle le fait avec chacun d’entre nous. Quelquefois il est difficile de le voir car, comme nous le montre l’Evangile, elle agit avec beaucoup de discrétion. Elle ne veut pas faire ombrage à son Fils, mais elle est bien là, comme elle l’a toujours été avec Jésus au cours de sa vie mais de différentes façons suivant ses besoins. Tout ce qu’elle a fait pour Jésus, elle le fera pour nous ; car son cœur de mère est pour tous. C’est profondément touchant et presque « scandalisant » de voir que tout ce que Dieu le Père a donné à son Fils unique, Il veut aussi nous le donner : Il nous fait ses fils à l’image de son Fils unique, Il nous fait participer de sa vie divine au travers des sacrements, Il nous fait don du Saint Esprit, qui demeure dans notre cœur, et Il nous donne Marie pour mère... Dieu est vraiment fou d’amour pour chacun d’entre nous.
Seigneur, merci, car dans ta grande miséricorde, tu ne nous as pas laissés orphelins, mais tu nous as donné ta mère pour que nous ne soyons jamais seuls face aux difficultés de la vie. Pour que du haut du ciel Marie n’hésite pas à descendre et à voler à notre secours, parfois en grande pompe comme à Lourdes, mais aussi chaque jour en étant à notre côté. Merci, Seigneur. Aide-moi à être un bon fils/une bonne fille pour ta mère. À accepter son aide dans ma vie. À chercher à la rendre heureuse, à la prier chaque jour. Seigneur, tu m’invites à ne pas négliger le don de la grâce qui est en moi. Tu veux que tous constatent mes progrès. Ô Dieu, en l’honneur de Notre-Dame des Douleurs, préserve-moi de la tiédeur. Aide-moi à reprendre mon essor, pour que tes dons surabondants puissent produire une plénitude de beaux et bons fruits pour ta gloire et le salut du monde, amen !
Cette fête de la Sainte Croix se rattache à la consécration de la basilique de l’Anastasie (« résurrection » en grec), édifiée sur le lieu du Golgotha et du Sépulcre par Constantin, à la suite d’un pèlerinage en Terre Sainte de sa mère, sainte Hélène, qui crut y découvrir la Croix du Christ en 326. Signe de malédiction comme il est dit dans l’Écriture (Galates 3.13), la Croix est devenue signe de bénédiction, grâce à la mort du Christ en qui « nous avons le salut, la vie et la résurrection » (introït de la messe).
Les Pères de l’Église ont mis en parallèle le bois de la transgression, l’arbre du paradis par lequel est venue la mort (Genèse 3), et l’arbre de l’obéissance, la Croix d’où nous vient la vie. Une hymne de Romanos le Mélode met sur les lèvres du bon larron cet hommage rendu à la Croix « Tu as ouvert la porte des délices, fermée jadis par le péché qu’Adam avait commis dans le paradis. Tu nous as donné en grâce la vie totale, ô bois triplement béni ».
L’Église nous invite aujourd’hui 14 septembre à prendre la mesure de la miséricorde de Dieu et de notre péché. Comme les Hébreux au désert, il nous faut oser voir notre misère en face et la reconnaître comme telle pour en être guéri. L’amour miséricordieux de notre Dieu n’attend pas autre chose pour faire son œuvre en nous. « Dieu a restauré la nature humaine plus admirablement qu’il ne l’avait instaurée » (saint Anselme), telle est la source de notre émerveillement et de notre allégresse devant ce qui reste pour nous un mystère.
Aussi, l’Église nous invite à recevoir cette sagesse divine dont Marie a pleinement vécu à la Croix : la souffrance du monde, folie et scandale, deviennent, dans le sang du Christ, cri d’amour et semence de gloire pour chacun d’entre nous.
Ô DIEU QUI ÉLÈVE LE CHRIST AU DESSUS DE TOUT, OUVRE NOUS
A LA JOIE ET A L’ACTION DE LA GRÂCE, CAR L’ASCENSION DE TON
FILS EST DÉJÀ NOTRE VICTOIRE. IL NOUS A PRÉCÉDÉS DANS LA GLOIRE AUPRÈS DE TOI, ET C’EST LÀ QUE NOUS VIVONS EN ESPÉRANCE. PAR JÉSUS, LE CHRIST, NOTRE SEIGNEUR. AMEN !
L’Église nous propose de célébrer ce 19 mars, la fête de saint Joseph, époux de Marie.Saint Joseph eut pour mission de « veiller sur Jésus comme un père » . Aussi le Seigneur a-t-il voulu qu’il continue à remplir la même tâche dans l’Église, qui est le Corps du Christ. Si Marie est la Mère de l’Église, Joseph en est le Protecteur. C’est pour cela que sa fête est une solennité en liturgie. Par sa foi et son abandon à la volonté de Dieu, dans les moments aussi difficiles que d’accueillir Marie dans sa maison ou la fuite en Égypte pour sauver Jésus des mains du roi Hérode, saint Joseph est un modèle imminent de tout chrétien.Dieu a conclu avec lui une alliance particulière, que l’Église compare avec celle de Dieu avec Abraham et David. Abraham crut contre toute espérance au fait de pouvoir devenir père d’une multitude de peuple - contre toute espérance parce que, humainement, il ne pouvait attendre un fils.
Saint Joseph,
Père nourricier si fidèle de l’enfant divin, époux virginal de la mère de Dieu, protecteur puissant de la Sainte Église, je viens vers toi pour me recommander à ta protection spéciale.
Tu n’as rien cherché en ce monde sinon la gloire de Dieu et le bien du prochain.
Tout donné au Sauveur, c’était ta joie de prier, de travailler, de te sacrifier, de souffrir, de mourir pour lui.
Tu étais inconnu en ce monde et cependant connu de Jésus, ses regards reposaient avec complaisance sur ta vie simple et cachée
en Lui. Saint Joseph, tu as déjà aidé tant d’hommes, je viens vers toi avec une grande confiance. Tu vois dans la lumière de Dieu ce qui me manque, tu connais mes soucis, mes difficultés, mes peines.
Je recommande à ta sollicitude paternelle mes divers besoins. Je les mets entre tes mains qui ont sauvé Jésus enfant.
Mais avant tout implore pour moi la grâce de ne jamais me séparer de Jésus par le péché mortel, de Le connaître et de L’aimer toujours plus,ainsi que sa sainte Mère, de vivre toujours en présence de Dieu, de tout faire pour sa gloire et le bien des âmes, et d’arriver un jour à la vision bienheureuse de Dieu pour Le louer éternellement avec toi. AMEN !
L’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. » Marie dit à l’ange : « Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ? » L’ange lui répondit : « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile. Car rien n’est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole. » Alors l’ange la quitta.
Daigne recevoir ma louange, ô Vierge bénie,
Immaculée Conception, Reine du ciel et de la terre,
Refuge des pécheurs et Mère très aimante
À qui Dieu voulut confier tout l'ordre de la miséricorde. Me voici à tes pieds. Moi ...pauvre pécheur.
Je t'en supplie, accepte mon être tout entier
Comme ton bien et ta propriété.
Agis en moi selon ta volonté, en mon âme et mon corps,
En ma vie et ma mort et mon éternité.
Dispose avant tout de moi comme tu le désires
Pour que se réalise enfin ce qui est dit de toi:
La femme écrasera la tête du serpent. Et aussi:
Toi seule vaincras les hérésies dans le monde entier.
Qu'en tes mains immaculées si riches de miséricorde,
Je devienne un instrument de ton amour
Capable de ranimer et d'épanouir pleinement
Tant d'âmes tièdes ou égarées.
Ainsi, s'étendra sans fin le Règne du Coeur divin de Jésus.
Vraiment ta seule présence attire les grâces
Qui convertissent et sanctifient les âmes
Puisque la grâce jaillit du Coeur divin de Jésus
Sur nous tous en passant par tes mains maternelles.