>> Toutes les rubriques <<
· Au jour le jour (75)
· Déclaration d'amour (57)
· Saint Valentin (162)
· Mes creas - Jour de la semaine (307)
· Le jour du Seigneur (168)
· Mes creas - Bonne journée (456)
· La vie de l'Eglise (45)
· Gifs dieu nous bénisse (133)
· Carême 2014 Année A (52)
· Carême 2015 Année B (93)
aimer amis amour anges annonce argent background belle bisous bonjour bonne bonne journée
Rechercheramen
Par Anonyme, le 25.07.2021
j'aime vraiment ce message
Par Anonyme, le 25.07.2021
merci mon dieu pour ce nouveau jour que tu m'offres que ton nom soit glorifié à jamais.tout est grâce
Par Stéphane, le 23.06.2021
ma lumière et mon salut c'est le seigneur
Par Anonyme, le 06.06.2021
c'est mon anniversaire
Par Anonyme, le 10.05.2021
· Déclaration d'amour
· Fête st valentin... Poème
· Message d'amour en image
· Poême d'amour
· Merci Seigneur
· Poême d'amour
· Bon Dimanche dans la paix du Christ
· Les 5 préceptes ou commandements de l'église catholique
· St Valentin...Poême
· Bienvenue dans le blog de l'espérance
· Déclaration d'amour
· La prière du Rosaire
· message d'amour
· Neuvaine à St André
· Déclaration d'amour
Date de création : 13.10.2012
Dernière mise à jour :
14.03.2020
4342 articles
Toutes ces images sont trouvées sur le net
si une vous appartiens et que vous désirez que je la retire, ecrivez moi
merci
Combien ce grand saint [que nous fêtons] a été fidèle en humilité ! Cela ne se peut dire selon sa perfection, car malgré ce qu’il était, en quelle pauvreté et en quelle abjection ne vécut-il pas tout le temps de sa vie ! Pauvreté et abjection sous laquelle il tenait cachées et couvertes ses grandes vertus et dignités… Vraiment, je ne doute nullement que les anges, ravis d’admiration, ne soient venus, troupes à troupes, le considérer et admirer son humilité, lorsqu’il tenait ce cher enfant dans sa pauvre boutique, où il travaillait de son métier pour nourrir le fils et la mère qui lui étaient confiés.
Il n’y a point de doute que saint Joseph n’ait été plus vaillant que David et n’ait eu plus de sagesse que Salomon [ses ancêtres] ; néanmoins, le voyant réduit en l’exercice de la charpenterie, qui aurait pu juger cela sans être éclairé de la lumière céleste, tant il tenait cachés tous les dons remarquables dont Dieu l’avait gratifié ? Mais quelle sagesse n’avait-il pas, puisque Dieu lui donnait en charge son Fils très glorieux…, Prince universel du ciel et de la terre ?… Néanmoins, vous voyez combien il était rabaissé et humilié plus qu’il ne peut se dire ou imaginer… : il s’en va en son pays et en sa ville de Bethléem, et nul n’est rejeté de tous les logis que lui… Regardez comment l’ange le tourne à toutes mains. Il lui dit qu’il faut aller en Égypte, il y va ; il commande qu’il revienne, il s’en revient. Dieu veut qu’il soit toujours pauvre…, et il s’y soumet amoureusement, et non pour un temps, car il a été pauvre toute sa vie.
Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus et de la Sainte Face Patronne des missions, fêtée le 1er octobre
Il n’aura fallu que 24 ans à Thérèse Martin pour devenir « la plus grande sainte des temps modernes » (Pape Pie X). Elle franchit à l’âge de 15 ans de multiples obstacles pour entrer au Carmel où elle désire prouver son amour au Christ qui l’appelle à donner sa vie pour le monde.
Devenue Thérèse de l’Enfant Jésus, elle choisit de faire une confiance totale au Seigneur et de devenir de plus en plus petite pour s’abandonner à Lui. En 1896, elle découvre le sens profond de sa vocation : « Dans le cœur de l’Église, ma Mère, je serai l’amour » et elle s’offre de plus en plus pour soutenir l’effort des missionnaires.
Pour cela, elle vit jusque dans les petites choses sa « voie de confiance et d’amour » qu’elle voudrait transmettre au monde. C’est ce qui se réalise, après sa mort, avec la publication de « Histoire d’une âme ». Ce livre, où elle raconte sa vie, va conquérir le monde (traduction en plus de 60 langues) : « la petite voie » née de l’évangile est un chemin de sainteté proposé à chacun là où il en est.
Le témoignage de sa vie
Thérèse a beaucoup souffert au cours de sa brève existence. A l’âge de quatre ans et demi, elle perd sa mère ; quatre ans plus tard, Pauline, sa « seconde maman » part au Carmel et Thérèse en tombe malade. Guérie à l’âge de dix ans par le sourire de la Vierge Marie, elle n’est libérée qu’à l’âge de quatorze ans de ses pleurnicheries interminables d’enfant trop sensible.
Moins d’un an après son entrée au Carmel, elle voit son père enfermé dans un hôpital psychiatrique - un « asile de fous », disait-on à l’époque : l’artériosclérose lui a fait perdre la tête.
Elle souffre beaucoup de l’humidité glaciale de certains hivers normands : il n’existait alors aucun chauffage dans les chambres de monastère. Elle est atteinte par la tuberculose et mourra à la suite d’une agonie particulièrement terrible.
De l’avis de tous les témoins, Thérèse conserva néanmoins un merveilleux sourire au milieu de toutes ces épreuves. Un sourire qu’aucune photographie ne nous a conservé puisque les instantanés n’existaient pas à la fin du siècle dernier : pour qu’un cliché ne soit pas raté, il fallait contracter son visage et rester immobile devant l’objectif pendant sept secondes.
Les raisons de cette joie ? Thérèse avait reçu la grâce de comprendre de façon lumineuse à quel point elle était une « enfant chérie » de Dieu.
En relisant l’histoire de sa vie, Thérèse se plaît à repérer toutes les délicatesses du Seigneur à son égard. « Tout est grâce », aimait-elle redire. Si je n’ai pas commis beaucoup de péchés durant ma jeunesse, pense-t-elle, c’est que j’en ai été spécialement préservée par la Miséricorde du Seigneur : je suis si « faible’ que Jésus s’est arrangé pour que je ne sois pas trop tentée ! Si le visage de papa a été défiguré par sa maladie, c’est sans doute pour que je comprenne davantage tout l’amour avec lequel Jésus a supporté les crachats qu’on a lancés sur sa »Sainte Face« durant sa Passion. Si Jésus a permis que je sois terriblement tentée de douter de l’existence du Ciel à partir du moment où la tuberculose a commencé à ravager mon organisme, c’est pour que je puisse communier davantage au drame de tous les incroyants et offrir pour eux l’épreuve de cette »nuit" spirituelle.
Une étonnante célébrité
Thérèse est la plus connue des saintes françaises à l’étranger, alors que presque personne n’avait assisté à ses funérailles. Morte à 24 ans le 30 septembre 1897 au carmel de Lisieux, elle y était entrée le 9 avril 1888 à l’âge de 15 ans.
Elle a été canonisée en 1925 par le pape Pie XI et déclarée patronne secondaire de la France en 1944 - au moment de la bataille de Normandie - par le pape Pie XII.
Le 19 octobre1997, sur la place Saint-pierre de Rome, le pape Jean-Paul II l’a proclamée « Docteur de l’Église ». Un titre réservé à ceux et à celles qui ont particulièrement bien compris et mis en valeur le message de l’Évangile. C’est la plus jeune des 33 « docteurs ».
La basilique érigée en son honneur sur la colline qui surplombe la ville de Lisieux a été construite en un temps record grâce aux offrandes venues du monde entier. Commencée en 1929, elle était pour l’essentiel achevée en 1937.
La statue qui la représente portant un crucifix dans les mains et faisant tomber une pluie de roses sur la terre existe à plus de 300.000 exemplaires. On la trouve un peu partout dans le monde, jusque dans les plus petites églises de village ou de brousse.
Trois mois avant de mourir, Thérèse avait prévu qu’elle passerait son ciel à faire du bien sur la terre, à y faire tomber une « pluie de roses », comme elle avait dit un jour. Son pressentiment s’est réalisé. Très peu de temps après sa mort, des guérisons et des conversions en grand nombre ont été obtenues grâce à son intercession. C’est à cause de toutes ces faveurs que le peuple chrétien s’est mis à la prier de plus en plus et à réclamer au Vatican sa canonisation.
Un an après sa mort, en 1898, on a publié l’Histoire d’une âme, un ouvrage de 475 pages contenant des extraits de ses lettres, des poésies et des pièces de théâtre qu’elle avait composées, mais surtout le récit de sa vie. La supérieure de la communauté - qui était l’une de ses propres sœurs - lui avait en effet demandé en 1895 de raconter ses souvenirs d’enfance. Ce qu’elle fit. La petite carmélite de 22 ans ne s’imaginait évidemment pas que ces pages allaient être traduites quelques années plus tard dans plus de cinquante langues et permettre à des millions de lecteurs de mieux comprendre le message de l’Evangile.
Saint François d'Assise (1182-1226) fête 4 octobre
Car François vit une relation fraternelle avec tous, respectueux de chacun, il n'exerce aucun pouvoir sur personne et ne fait pas de différence entre le riche et le pauvre, entre le fort et le faible. Il porte la paix à tous.
Il inspire les amoureux de la nature comme les écologistes mais il donne à penser plus loin par son regard pénétrant sur la création. Il la chante non seulement par sensibilité, mais dans la conviction que toute vie trouve son origine en Dieu.
Il peut inspirer l'action des non violents par son sens de la personne humaine, son respect de l'autre et sa foi dans le dialogue.
Sans le savoir, en réparant des églises, François se préparait à restaurer l'Eglise. Son intuition fondamentale fut de faire confiance à cette institution en ruines. Il crut à son renouveau possible par sa conversion personnelle, dans l'espérance d'une évolution collective. Son rapport à l'Eglise fut un rapport de dialogue mais aussi de conviction, de créativité sans rupture. Exigeant pour lui-même et pour ses frères, il crée une dynamique qui donne un nouveau visage à une Eglise engourdie.
François d'Assise a révélé la force de l'Evangile. Il a donné espoir aux pauvres, aux exclus, aux mal aimés par son sens de l'humain et sa passion pour le Christ. Il entre dans l'éternité de Dieu le 3 octobre 1226.
Saint Gilles Abbé (640-720) Fête 1er septembre
Saint Gilles était d’Athènes. Son éducation fut brillante, comme elle devait être pour un jeune homme de race royale. On lui a attribué de remarquables ouvrages de médecine et de poésie ; mais sa science était surtout celle des Saints.
Un jour qu’il se rendait à l’église, il rencontre un pauvre mendiant malade et presque nu, qui lui demande l’aumône. Ému de compassion, Gilles se dépouille de sa riche tunique et la lui donne : à peine le malheureux en est-il revêtu, qu’il se trouve en parfaite santé. Le jeune homme comprit, à ce miracle, combien l’aumône est agréable à Dieu. Peu de temps après, à la mort de ses parents, il distribua tous ses biens aux pauvres et se voua lui-même à la pauvreté, à la souffrance et à l’humilité. Mais Jésus-Christ ne Se laissa pas vaincre en générosité, et les miracles se multiplièrent tellement sous les pas du saint jeune homme, qu’il en fut effrayé lui-même et se résolut à quitter son pays et à faire voile pour l’Occident. Pendant la traversée, il calma par ses prières une effroyable tempête et débarqua bientôt à Marseille, où il guérit la fille de son hôtesse.
Mais il lui fallait la solitude ; il la trouva dans une grotte sauvage, où, dégagé de toute préoccupation terrestre, il ne vécut que pour Dieu. Ses jours, ses nuits presque entières s’écoulaient dans une prière continuelle, dans l’adoration et la contemplation. Il jeûnait tous les jours ; le lait d’une biche de la forêt, que Dieu lui envoyait, suffisait à son entretien.
Depuis trois ans, Gilles habitait ce lieu solitaire, quand un jour Wamba, roi des Visigoths d’Espagne, vint chasser jusque dans les forêts voisines avec une suite nombreuse. La biche qui nourrissait le saint ermite, poursuivie par les chiens allait succomber ; enfin, exténuée de fatigue, elle vint se jeter aux pieds de son maître. Gilles, ému jusqu’aux larmes, pria le Seigneur de protéger la vie de l’innocent animal. Une flèche, lancée par un chasseur, vint frapper la main de l’homme de Dieu et lui fit une blessure qui ne devait jamais guérir. La biche était sauvée, car le roi, plein d’admiration pour cet homme qui lui apparaissait avec l’auréole de la sainteté sur le front, donna ordre de cesser la poursuite. Il fit même, à la demande de Gilles, bâtir là un monastère. Après avoir dirigé quelques temps ce monastère, Gilles chercha de nouveau la solitude, et revint enfin terminer ses jours parmi ses chers religieux.
Né à Lisbonne, ce contemporain de saint François d'Assise s'appelait en réalité Fernando. De famille noble aux traditions militaires, il entra tout jeune chez les Chanoines Réguliers de Saint Augustin à Coïmbra où il fut ordonné prêtre. En 1220, quand les restes des premiers martyrs franciscains furent ramenés du Maroc au Portugal, il entra chez les Frères Mineurs et prit le prénom d'Antoine. Il désirait lui aussi aller au Maroc afin d'y mourir martyr. Tombé malade pendant le voyage, il dut rentrer en Europe.
En 1221, il est à Assise au chapitre de l'Ordre et ses frères découvrent alors ses talents de prédicateur et de théologien. Ayant remplacé "au pied levé" un prédicateur empêché, il étonne ses frères qui, désormais, l'envoient prêcher plutôt que de balayer. Avec la permission de saint François, il enseigne à Bologne, Toulouse, Montpellier et Limoges. A Brive-la-Gaillarde, on conserve même le souvenir des grottes où il se retira quelque temps dans la prière solitaire. C'est aussi dans cette ville qu'il retrouva miraculeusement un manuscrit dérobé, y gagnant du même coup sa spécialité posthume pour lui faire retrouver les objets perdus. En 1229, il est élu provincial de l'Italie du Nord.
La fin de sa vie est dominée par la prédication où il excelle. Il se trouve à Padoue pour prêcher le Carême en 1231. C'est là qu'il meurt d'épuisement à 36 ans, dans cette ville qui le vénère et qui lui donne son deuxième nom, saint Antoine de Padoue. Il est "Docteur de l'Église", mais la piété populaire préfère en lui l'intercesseur efficace.
Il a été nommé saint patron du Portugal en 1934 par le pape Pie XI.
Sainte AgatheVierge et Martyre (+ 254)
Deux villes de Sicile, Palerme et Catane, se disputent l’honneur d’avoir donné naissance à sainte Agathe ; ce qui est certain, c’est qu’elle fut martyrisée à Catane, sous l’empereur Dèce.
Dénoncée au préteur Quintianus, comme chrétienne, Agathe lui fut amenée. La beauté de la jeune fille le séduisit ; il conçut pour elle une passion criminelle et crut venir à bout de son dessein en la remettant aux mains d’une femme débauchée, nommée Aphrodisia. Aphrodisia employa son art et son artifice afin de séduire Agathe, sans pouvoir y réussir ; et après un mois de tentatives, elle s’en fut trouver le préfet pour lui annoncer l’inutilité de ses efforts.
Le juge alors fit comparaître la servante du Seigneur devant son tribunal. "Qui es-tu ?
Je suis noble et d’une illustre famille, toute ma parenté le fait assez connaître.
Pourquoi donc suis-tu la chétive condition des chrétiens ?
Parce que la véritable noblesse s’acquiert avec Jésus-Christ dont je me dis la servante.
Quoi donc ! sommes-nous dégradés de noblesse pour mépriser ton Crucifié ?
Oui, tu perds la véritable liberté en te faisant esclave du démon jusqu’au point d’adorer des pierres pour lui faire honneur."
Afin d’apprendre à la jeune fille à mieux parler, Quintianus la fit frapper sur la joue, et commanda qu’on la conduisit en prison, lui disant qu’elle eût à se préparer à renier Jésus-Christ ou à mourir dans les tourments. Le lendemain, le juge essaya de gagner Agathe par des promesses, mais il la trouva inébranlable, et ses réponses excitèrent tellement la rage du persécuteur, que, sur son ordre, on arracha un sein à la Sainte. Elle dit à Quintianus : "N’as-tu pas honte, ô cruel tyran, de me faire souffrir de cette façon, toi qui as sucé ta première nourriture du sein d’une femme ?"
Quand elle fut rentrée dans la prison où le préfet avait défendu de lui rien donner, saint Pierre lui apparut et la guérit au nom du Sauveur ; la Sainte s’écria : "Je Vous rends grâces, ô mon Seigneur Jésus-Christ, de ce qu’il Vous a plu de m’envoyer Votre Apôtre afin de guérir mes plaies et de me rendre ce que le bourreau m’avait arraché," et la prison fut remplie d’une si éclatante lumière que les gardiens s’enfuirent épouvantés, laissant les portes ouvertes.
Les autres prisonniers conseillaient à Agathe de prendre la fuite, mais elle répondit : "Dieu me garde de quitter le champ de bataille et de m’enfuir en voyant une si belle occasion de remporter la victoire sur mes ennemis."
Quatre jours après, Agathe fut ramenée devant le juge qui, la voyant saine et sauve, fut rempli d’étonnement ; sa rage n’en devint que plus grande. Par son ordre, on roula la Sainte sur des têts de pots cassés et sur des charbons, en même temps que l’on perçait son corps de pointes aiguës. Pendant ce supplice, un tremblement de terre survint, et les principaux ministres de la cruauté de Quintianus furent écrasés. La ville, épouvantée, vit là un châtiment du Ciel, et le persécuteur, craignant qu’on ne lui enlevât sa victime, se hâta de la renvoyer en prison. Quand elle y fut rentrée, Agathe dit : "Ouvrez, Seigneur, les bras de Votre miséricorde, et recevez mon esprit qui désire Vous posséder avec tous les transports d’amour dont il est capable," et en achevant ces mots elle expira (254).
Aussitôt que la nouvelle de cette mort se fut répandue, toute la ville accourut pour honorer les restes de sainte Agathe, et au moment où on voulut la mettre dans le tombeau, cent Anges, sous la figure de jeunes hommes, apparurent, et au front d’Agathe inscrivirent ces mots : "C’est une âme sainte ; elle a rendu un honneur volontaire à Dieu et elle est la rédemption de sa patrie." Quintianus, de son côté, était parti pour se mettre en possession des biens de la servante de Dieu, mais au passage d’une rivière, un cheval le mordit au visage et un autre, à coups de pieds, le précipita dans l’eau où il se noya.
La dévotion à sainte Agathe ne tarda pas de se répandre partout, mais nulle part elle ne fut plus honorée qu’à Catane. Plusieurs fois sa protection a sauvé cette ville des éruptions de l’Etna, et pour cela il suffisait aux habitants de donner, comme barrière aux torrents de lave qui descendaient de la montagne, un objet qui avait touché le corps de la Sainte.